Quantcast
Channel: Faits divers – Zinfos974
Viewing all 97587 articles
Browse latest View live

Willy Incana et Jean Danio Morby condamnés à 4 et 3 ans de prison pour extorsion de fonds

$
0
0

Jugés le 6 octobre dernier devant le tribunal correctionnel de St-Denis, les deux prévenus, l’un à la barre et l’autre en visio de la prison située dans l’Isère (38) ou il est incarcéré depuis 2021 pour des faits d’extorsion, ont affiché leur incompréhension devant les faits qui leur sont reprochés. Le gérant d’une station service de St-Pierre s’est réclamé de pression, d’intimidation régulière qui l’ont poussé à régler des pseudo frais de sécurité réclamés par les deux mis en cause qui prétendent avoir simplement mis à sa disposition leurs services afin d’assurer la sécurité des lieux.

Pendant l’audience, Jean Danio Morby a déploré que son passé de grande délinquance ait été instrumentalisé par celui qu’il considérait « comme son grand frère » pour faire peur au gérant. De son côté, Willy Incana physiquement marqué par ses 14 mois de détention provisoire, a expliqué au tribunal qu’il avait tenté d’aider son dalon qui venait de sortir de prison en lui trouvant un travail.

Après une leçon de morale bien sentie à l’égard des deux Portois, le représentant du ministère public avait requis 6 ans de prison pour chacun des prévenus également poursuivis pour avoir utilisé les fonds de leur association respective pour améliorer leur train de vie.

Au total, ce sont plus de 19.963 euros qui ont été extorqués au gérant de St-Pierre et 131.939 euros prélevés sur le compte de KFA, Kritik fé avancé, l’association de Willy Incana, à des fins personnelles.

Willy Incana est condamné à 4 ans de prison et l’interdiction d’exercer toute fonction publique. Jean Danio Morby écope de 3 ans de prison. Le président dans le rendu de son jugement dénonce une « organisation mafieuse » et « une atteinte grave à la vie économique ». Tous deux devront rembourser les sommes rackettées au gérant de la station service.


SML Réunion et Dom-Tom : Le médecin libéral réunionnais se doit de faire grève

$
0
0

Communiqué :

En effet du jamais vu, une unité intersyndicale nationale exceptionnelle ce 10 octobre 2023, rassemblant les 22 syndicats de médecins libéraux et d’étudiants en médecine de France.

Afin de porter un signal très fort aux pouvoirs publics, une unité intersyndicale pour l’arrêt à partir du 13 octobre de toutes activités libérales de consultation, la déprogrammation des actes techniques, le transfert des urgences et des gardes à l’hôpital public, seules les urgences vitales restant prises en charges.

Le message est clair : non à une accélération de la dégradation de notre système de santé. Non à son sous-financement. Non à la destruction de la médecine libérale. Non au transfert de tâches à des paramédicaux officiers de santé. Non à la généralisation des dispensaires

Inutile d’aller manifester, mais par contre pour une efficacité du mouvement de grève le devoir de solidarité du médecin libéral réunionnais. Soit de suivre le mot d’ordre national de FERMETURE AU GRAND MINIMUM INDISPENSABLE DU VENDREDI 13 AU MERCREDI 18 OCTOBRE, et au delà si nécessaire, seule susceptible de provoquer un nouveau paradigme, avec un financement correct de la Santé correspondant aux besoin de la population, avec un retour à une médecine conventionnelle libérale viable très attractive des jeunes médecins.

Bois de Nèfles Saint-Leu : Inauguration de la nouvelle Résidence INDIGO 1

$
0
0

Plus de 80 familles accèdent à un logement

Ce mardi 10 octobre, la SODEGIS a livré la première partie de l’opération Indigo, un programme de construction de logements sociaux dont les travaux ont commencé il y a trois ans, dans le quartier de Bois de Nèfles.

C’est en présence du Maire de Saint-Leu, Bruno DOMEN, des élus du Conseil municipal et du Président de la SOGEDIS, Olivier RIVIÈRE, que plus de 80 familles ont reçu les clés de leur nouveau logement.

Un nouveau départ très attendu pour ces familles

Un nouveau départ pour ces familles, en émotion pour celles et ceux qui attendent souvent depuis longtemps, une solution de logement adapté et abordable.

Le Maire de Saint-Leu et le Président de la SODEGIS ont salué de concert l’aboutissement de cette première tranche, saluant l’engagement financier de la CDC, de l’État, de l’EPFR, du TCO et d’EDF pour un programme d’investissement à hauteur de 12,7 millions d’euros.

Idéalement situés, à quelques minutes de la route des Tamarins, de la ZAC Portail et du littoral, 84 logements ont été livrés dont 9 T1, 18 T2, 30 T3 et T4. Répartis sur deux niveaux avec 19 logements accessibles aux personnes à mobilité réduite.

La deuxième tranche de cette opération devrait être livrée d’ici le premier semestre 2024 avec 56 logements supplémentaires dont des LLS et des LLTS.

La difficulté à faire sortir des logements sociaux

Bruno DOMEN a rappelé le souhait de la Ville de se voir développer le logement social pour répondre aux besoins des familles tout en rappelant les difficultés que rencontrent les partenaires pour faire sortir des opérations de logements sociaux. Celles-ci sont liées notamment à des problématiques de fonciers et de coûts.

Le Maire de Saint-Leu a rappelé l’ensemble des projets en cours avec : à la Chaloupe, une opération de construction d’une trentaine de logements sociaux ; l’opération JADE au sein de la ZAC Roche Café, pour une livraison de 31 logements LLTS/LLS et 12 logements intermédiaires ; l’opération Elie, dans le cadre de la RHI Portail avec 46 logements au total.

Avant de souhaiter aux familles présentes, venues récupérer les clés de leur nouveau logement, une bonne installation et de beaux jours à Saint-Leu, Bruno Domen a également rappelé la nécessité de prendre soin de ces équipements, des logements et des espaces collectifs.

Marché Péi – Samedi 14 octobre

$
0
0

Marché Péi 2023

 

Ce samedi 14 octobre, c’est le Marché Péi au Jardin de l’État à Saint-Denis !

Rendez-vous de 7h à 13h.

 

Venez profiter des produits de qualité de nos agriculteurs :

  • ail & oignons péi,
  • achards,
  • poulets rôtis,
  • produits bio,
  • légumes et fruits de saison,
  • miel,
  • potées fleuries,
  • produits transformés…

 

Venez samedi 14 octobre au Jardin de l’État !

 

Le Département soutient le monde agricole et la production péi !

Le Grand Raid 2023 : une course hors du commun à La Réunion

$
0
0

Si vous voulez assister à cette course mythique, rendez-vous à Saint-Pierre, la ville qui accueille le départ du Grand Raid. Les retraits de dossard auront lieu le mercredi 18 octobre à l’espace Salahin de la Ravine Blanche, où vous rencontrerez les organisateurs, les bénévoles et les élites qui participeront à la course. Vous pourrez aussi profiter de l’ambiance festive et conviviale qui règne dans la ville avant le grand départ.

Le jeudi 19 octobre à 21h00, venez encourager les coureurs qui s’élanceront sur le boulevard Hubert Delisle pour relever le défi de la Diagonale des Fous. Suivez leur progression en direct sur le site officiel du Grand Raid ou sur les réseaux sociaux. Et surtout, soyez prêts à vivre des émotions fortes et à partager l’esprit du Grand Raid !

Arrêté de circulation et stationnement

Pacte capacitaire : Le Dash 8 n’arrive pas seul

$
0
0

Bien qu’il ait manqué le premier incendie d’importance de la saison au Cap La Houssaye, le Dash 8 est de retour dans l’île pour faire face à d’éventuelles catastrophes majeures. Présent pour cette arrivée à l’aéroport de Pierrefonds, le préfet a rappelé la promesse d’Élisabeth Borne en mai dernier que l’avion bombardier d’eau reviendrait chaque année.

Après avoir visité l’appareil, Jérôme Filippini s’est rendu au côté d’André Thien Ah Koon, le président de la Casud, et de Dominique Gonthier, conseiller départemental et 1er vice-président du SDIS, afin de signer le pacte capacitaire.

Ce pacte prévoit une aide financière de l’Etat pour l’achat de véhicules à hauteur de 66% des 5,5 millions d’euros. Le SDIS de La Réunion va donc obtenir 26 véhicules supplémentaires de lutte contre le feu et notamment de lutte contre le feu d’espace naturel.

« Cela va permettre de renforcer les moyens mobiles du SDIS. À la fois lorsque dans des situations exceptionnelles où l’on aurait besoin de renforts avec des colonnes de l’Hexagone, que l’on ait les véhicules pour que les gens puissent monter à bord en arrivant pour nous renforcer. Bien évidemment, ces véhicules vont servir d’abord pour le SDIS 974 et seront utilisés régulièrement », indique le préfet.

Pour le président de la Casud, la venue systématique du Dash 8 est une bonne nouvelle pour La Réunion, mais également pour l’aéroport de Pierrefonds. « Les incendies du Maïdo nous ont fait comprendre que l’installation pérenne du Dash 8 à Pierrefonds est devenue indispensable« , estime André Thien Ah Koon. Il insiste également sur le fait que les pique-niques sauvages soient réglementés afin d’atténuer les feux de brousailles qui « démarrent un peu partout.« 

Un ouvrier écrasé par un chariot élévateur, l’entreprise relaxée par le tribunal

$
0
0

Georget M. est décédé le 14 novembre 2017 sur le site de la société, basée à la ZI du Chaudron. Chef d’équipe et référent sécurité de l’entreprise, il est écrasé par le capot d’un chariot élévateur alors qu’il veut accéder au compartiment moteur. À défaut de manilles d’origines pour soulever le capot, il se sert de sangles pour pallier ce manque. Une des sangles cède brutalement, écrasant Georget M. 

Ils étaient plusieurs ce jour-là pour effectuer cette opération. La victime avait, par ailleurs, reçu l’ordre de son supérieur d’effectuer ce contrôle. Suite à ce décès, une enquête avait été ouverte. L’inspection du travail était également intervenue pour faire des constatations et recueillir les témoignages des différents témoins. Le rapport de l’inspection mettait en exergue quatre infractions imputables imputable à la SRCB (Société Réunionnaise de Construction et Bâtiment), dont la présence sur site de ce chariot en panne depuis plusieurs mois ainsi que le non-respect des modalités d’intervention et d’équipement par des personnes non habilitées et compétentes pour réaliser ces opérations. 

« Je ne comprends pas pourquoi il a ordonné cette opération »

Lors de l’audience du 8 septembre 2023, le chef d’entreprise s’est défendu d’avoir une quelconque responsabilité dans l’exécution de cette opération : « Je ne sais absolument pas pourquoi ils ont fait cette manœuvre. Il n’y avait aucune raison d’intervenir car nous avions mis à disposition un chariot de location« , s’explique le chef d’entreprise. « Je ne comprends pas pourquoi il a ordonné cette opération« , ajoute-il. Précision que le donneur d’ordre a été licencié plus tard pour une raison autre que l’accident. 

« Lorsqu’on part travailler le matin, on peut s’attendre simplement à rentrer vivant chez soi »

« Lorsqu’on part travailler le matin, on peut s’attendre simplement à rentrer vivant chez soi. Ça parait simple mais le 14 novembre 2017, ça n’a pas été le cas pour la victime« , fustige la partie civile qui conclut : « Vous ne pensez pas qu’il est temps d’assumer vos responsabilités devant la justice aujourd’hui ?« . Pour sa part, le parquet indique qu’il a fait « le choix de poursuivre car il y a de nombreuses infractions qui débouchent sur un drame« , estimant que « le chef d’entreprise a été dans une déresponsabilisation et le déni, n’ayant eu que peu de mots pour la victime« . Le procureur requiert une peine de 80.000 euros dont 40.000 euros de sursis ainsi que la publicité de la décision. 

« Je dis qu’il a une part de responsabilité dans la méthode employée »

« On lui reproche son peu de mot pour la victime mais qu’en est-il de son accueil par le tribunal« , répond la défense. « On bâillonne la défense et on vient dire que toute défense est une insulte. On a tout fait pour nous rendre illégitime. Je ne dis pas que la victime est responsable de son décès mais je dis qu’il a une part de responsabilité dans la méthode employée. Il n’y a ni responsabilité personnelle, ni morale dans cette affaire. Je vous demande la relaxe« , plaide la défense. 

Ce mardi 10 octobre, le tribunal a considéré dans son délibéré que les infractions présumées au code du travail ne sont pas constituées et prononce la relaxe de l’entreprise des faits d’homicide involontaire.


Un événement musical exceptionnel à Saint-Pierre : Les 40 Ans de Baster !

$
0
0

La ville de Saint-Pierre est heureuse de vous convier à une célébration musicale sans précédent : le groupe Baster célèbre son 40e anniversaire. Le dimanche 15 octobre, de 15h à 17h au Parc Tardif (Les Casernes), les fans sont invités à se rassembler pour cette expérience inédite. Thierry Gauliris et son groupe vous entraîneront dans une rétrospective musicale à travers leurs plus grands succès et leurs créations emblématiques. Il s’agit d’une occasion unique de célébrer la carrière exceptionnelle de ce groupe mythique saint-pierrois et de partager des moments de joie, d’amitié et de musique en compagnie de ces artistes talentueux. Nous vous attendons pour une rencontre en famille, entre amis et amateurs de musique de tous horizons. La ville de Saint-Pierre est fière de soutenir cet événement culturel. L’entrée est libre et gratuite.

Notez la date : Dimanche 15 octobre, de 14h à 17h, au Parc Tardif (Les Casernes).

Pour plus d’informations, veuillez contacter :
0262326200

Grève nationale : Le Port appelle les parents à prendre leurs dispositions

$
0
0

Le communiqué :

En raison de l’appel de l’intersyndicale à la journée de grève nationale du 13 octobre 2023 contre l’austérité, nous informons les parents d’élèves que le service minimum d’accueil, les services de restauration, de surveillance de la pause méridienne et de garderie de fin de journée pourraient ne pas être assurés dans les écoles de Le Port à cette date.

Nous invitons les parents d’élèves à s’informer auprès de la direction de l’école et, le cas échéant, à prendre leurs dispositions au regard des perturbations.

Par ailleurs, la crèche Isnelle Amelin et le jardin d’enfants municipal ne pourront pas accueillir les enfants.

Le Maire

Olivier HOARAU

Kwé la fé : une matinée destinée à l’insertion et à l’emploi !

$
0
0

Le KWÉ LA FÉ organisé par le Pole Emploi en partenariat avec la Ville de Saint-Paul est un événement destiné à l’insertion des Saint-Paulois.

Cette manifestation aura lieu dans le bassin de vie du Guillaume et plus précisément à la salle polyvalente de Bellemène, à proximité de l’école primaire et du stade.

L’objectif de la matinée est de favoriser l’échange entre les acteurs clés de l’insertion professionnelle et de l’emploi à Saint-Paul.

Ce qui vous attend à la Matinée de l’Insertion et de l’Emploi :

  • Stands d’information : rencontrez des entreprises locales, des organismes de formation et des associations engagées dans l’insertion professionnelle.
  • Atelier de job dating : échangez avec des entreprises réunionnaises qui recrute.
  • Réseautage : Établissez des contacts avec des professionnels, échangez des idées et explorez des opportunités.

Cet événement gratuit est ouvert à tous les résidents de Saint-Paul qui souhaitent en apprendre davantage sur les opportunités d’emploi, de formation et d’insertion professionnelle.

Saint-Paul, terre apprenante et participative, encourage la jeunesse Saint-Pauloise à participer à cette matinée !

Le Département veut faciliter les transferts sanitaires

$
0
0

Du fait de son éloignement géographique et de la mise en œuvre récente d’un CHU, les établissements de soins de La Réunion ne disposent pas encore d’une offre de soins complète pour le traitement de l’ensemble des pathologies ou la prise en charge de situations médicales complexes. Certaines d’entre elles nécessitent parfois un transfert sanitaire vers l’Hexagone. Ce dispositif est encadré par le code de la Sécurité sociale.

La convention signée entre le Département de La Réunion, le Centre hospitalier universitaire (CHU), la CGSS et l’Union départementale des Centres communaux d’action sociale (UDCCAS) vise à promouvoir une politique innovante, concertée, pluri partenariale, pour un service public de qualité, dans le cadre des accompagnements des malades réunionnais hospitalisés dans l’Hexagone lors d’un transfert sanitaire validé par la CGSS, tout comme dans le rapatriement des dépouilles funéraires.

Elle a pour objet de :­

– Simplifier les démarches des bénéficiaires ouvrant droit à la prise en charge des frais de transports et d’hébergement lors d’un transfert sanitaire ;
– Permettre la coordination des interventions des professionnels de chaque institution ;
– Formaliser les engagements de chaque acteur dans le cadre des accompagnements des patients résidant à La Réunion hospitalisés en Métropole lors d’un transfert sanitaire autorisé par la CGSSR ;
– Octroyer une aide financière en lien avec les décès, sous conditions de ressources, et après analyse sociale ;
– Préciser les niveaux et les champs d’intervention de chacune des parties signataires en fonction de ceux déclinés dans les textes visés dans la convention

Les travailleurs sociaux de chaque institution vont ainsi mutualiser leurs pratiques en introduisant plus de complémentarité dans les interventions pour éviter les aides redondantes attribuées sans concertation, le renvoi de familles d’une institution à l’autre et l’obligation pour les familles d’exposer plusieurs fois leur situation. Ils mettront également en place des instances techniques territoriales, et un référent par institution, pour partager leurs informations et gérer les situations complexes.

« Ce dossier a été érigé en priorité dès le début de notre mandature, commentait Jean-Marie Virapoullé. Nous avons alors posé la volonté de moderniser le cadre d’action autour de ces deux sujets essentiels. » Et de continuer : « Face au deuil et à la maladie, nous devons être davantage présents et bienveillants, plus solidaires, plus offensifs dans nos politiques sociales. Cette convention permettra de rassembler tous les chainons de la solidarité réunionnaise tout en éclairant le parcours du patient et des familles. C’est un travail d’intelligence collective, qui promet une avancée décisive. »

Mobilités : « Faire entrer La Réunion dans une nouvelle ère des mobilités »

$
0
0

La Réunion fait un pas de plus vers la mobilité de demain

La restitution de cette phase 1 s’est faite en présence des représentants des cinq intercommunalités de l’île (Territoire de l’Ouest, CINOR, CIVIS, CASUD et CIREST), du Syndicat mixte des Transports (SMTR), du Département, de l’Association des maires sans oublier ceux de la Commission nationale du Débat Public (CNDP). Pour Huguette Bello, qui souhaite faire entrer La Réunion « dans une nouvelle ère des mobilités », les résultats obtenus sont particulièrement « éclairants » et actent la volonté des Réunionnais « de changer de modèle face au tout-auto ».

En effet, 7 grands objectifs ressortent des propositions du public : l’amélioration et le développement du réseau de transport en commun, la réalisation de projets structurants de transport collectif, l’amélioration des conditions actuelles de circulation, la promotion des déplacements en mode doux, la limitation des déplacements au quotidien, l’organisation d’une gouvernance partagée et enfin, l’intégration de la participation citoyenne aux décisions.

Bus, trams, téléphériques : Aux Réunionnais de choisir

Durant toute la durée de cette consultation, les participants pouvaient répondre au questionnaire aussi bien en ligne sur le site dédié que lors des ateliers répartis sur l’ensemble des bassins géographiques de l’île. Et les réponses aux questions posées sont particulièrement riches d’enseignements. À commencer par le tout-voiture : s’il reste le modèle dominant, l’enquête nous apprend que ce modèle est désormais perçu comme dépassé.

Si les Réunionnais sont encore 59% à se déplacer principalement en voiture (contre 20% en transports en commun), ils sont néanmoins 66% à vouloir moins l’utiliser à l’avenir. Par ailleurs, si la majorité des répondants (62%) assurent l’utiliser « par obligation », ils sont dans le même temps près de 40% à voir l’aspect pratique de son usage.

Concernant la place des transports en commun, près de 52% des répondants assurent ne jamais les utiliser. En revanche, ils sont 58% à voir en eux la première alternative à la voiture. À la question « Qu’est-ce qui vous inciterait à prendre davantage les transports en commun à l’avenir ? », 58% des personnes interrogées estiment que c’est le renfort de la fréquence de passage des bus qui pourrait leur faire changer d’avis, et 51% si les horaires des différents bus et réseaux étaient mieux coordonnés. Assez surprenant, et alors que pas mal de collectivités se lancent dans le tout-gratuit pour séduire de plus en plus d’usagers, seulement 30% des répondants assurent qu’ils seraient incités à prendre les transports en commun s’ils étaient gratuits.

Et parmi les investissements à mener en priorité à l’avenir, 77% des personnes interrogées plaident pour la création d’un transport ferré pour relier les villes entre elles, 62% souhaitent la modernisation et le développement des réseaux existants, que ce soit les bus ou les téléphériques et 41% la création de nouvelles pistes cyclables. En complément de ces investissements, les aménagements sécurisés pour la marche à pied et les personnes à mobilité réduite (PMR) recueillent 42% des suffrages, suivi des actions pour mieux coordonner les heures d’entrée et de sortie des établissements scolaires, des administrations ou encore des entreprises (39%). Pour finir sur la question des investissements, 53% des sondés estiment que ces investissements devraient permettre une réduction volontaire de la place de la voiture sur l’île.

États généraux de la mobilité : « On attend le ferroviaire »

Enfin, 49% des répondants souhaitent à l’avenir utiliser différents modes de déplacement facilement sur un même trajet, à l’image du réseau Citalis qui permet de prendre aussi bien un bus du réseau que le téléphérique du Moufia avec un ticket unitaire.

« Cette première phase nous donne raison sur la nécessité d’avoir un outil comme le SMTR qui est au service des intercommunalités. Ces dernières ont travaillé sur une cohérence globale de nos différents projets de transport. Nous avons encore beaucoup de choses à mener pour qu’il y ait encore plus de cohérence et de coordination afin que le transport soit plus simple d’un réseau à un autre », indique Patrice Boulevart, vice-président de la Région délégué aux mobilités durables, par ailleurs président du SMTR.

Place désormais à l’Assemblée citoyenne qui se réunira le 14 octobre sous l’égide du CNDP, et dont les propositions serviront à l’élaboration d’une feuille de route partagée avec l’ensemble des partenaires. « Ce ne sera pas la Région Réunion qui prendra la décision de manière unilatérale mais bien l’Assemblée citoyenne », insiste Huguette Bello. Elle ajoute : « Les Réunionnais participent véritablement à la décision qui sera prise pour ne pas faire d’erreurs parce que beaucoup d’erreurs ont été faites ».

Les chiffres clés de la participation :

• 2,5 mois de concertation
• 10 994 contributions recueillies
• 35 animateurs mobilisés sur le terrain
• 130 rendez-vous sur le terrain, aux 4 coins de l’île, jusqu’à Mafate !
• 6 700 personnes rencontrées (réunions publiques, ateliers, rencontres de terrain, …)
• 6 578 visites du site internet de la consultation
• 21 ateliers thématiques
• 8 réunions publiques

Geode Group : Les projet immobiliers réalisés grâce à des emprunts obligataires étaient une arnaque

$
0
0

« Acteur incontournable de l’Immobilier à La Réunion et Mayotte », telle qu’elle se décrit, l’entreprise Géode Group créée 2018 s’était engagée avec la SHLMR dans une opération immobilière à la Chaloupe Saint-Leu. Pour la réalisation financière du projet, Géode Group avait eu l’ingénieuse idée de faire appel à des emprunts obligataires en faisant miroiter aux prêteurs des intérêts plutôt alléchants. Pour un prêt de 100.000 € par exemple, Géode Group s’engageait  à rembourser la somme prêtée par des particuliers dans les deux ans ainsi que 15 % d’intérêt, soit un gain de 15.000 euros en 24 mois.

A l’appui de leur argumentation, les deux dirigeants de Géode Group, le Tamponnais Jonathan L., 41 ans, et son associé Gérôme H., 38 ans, un métropolitain installé dans le département, mettaient en avant une documentation rassurante ainsi que la garantie représentée par la présence de la SHLMR dans le projet. Un second programme, « Les Frangipaniers », avait également vu le jour à Mayotte. Dans celui-ci, les prêteurs étaient invités à débourser 50.000 € avec, au bout d’un an, l’assurance que la somme prêtée serait remboursée ainsi que 6000 € au titre des intérêts.

A la Chaloupe Saint-Leu, si les travaux ont pu commencer, les entrepreneurs n’ont bientôt plus été payés. Le projet s’est arrêté alors qu’à Mayotte, l’achat du terrain n’avait en fait jamais été réalisé. Et tous ceux qui avaient investi leurs économies – enseignants, retraités et autres courtiers – ont tout perdu, intérêt et principal.

En avril 2022, la société Géode Group inscrite au registre du commerce de Paris a été liquidée. Malgré les procédures de référé qui ont ciblé l’entreprise et les décisions favorables obtenues par les plaignants, ces derniers n’ont rien pu récupérer du fait de la liquidation judiciaire. Quant aux deux gérants qui auraient promis que les remboursements allaient venir, ils vont probablement devoir s’expliquer prochainement devant un  tribunal.

Selon nos informations, Jonathan L. serait mis en examen par un juge d’instruction à St-Pierre pour banqueroute, détournement de fonds et abus de bien social. Son train de vie exceptionnel, voitures de luxe, voyage à Dubaï, intrigue les enquêteurs. Tout comme les nombreux montages juridiques qui gravitent autour de Géode Group. Quant à son associé reconverti dans la vente de camping et d’hôtel, il aurait expliqué au magistrat instructeur avoir un différent avec son acolyte et se serait porté partie civile dans cette affaire.

Une affaire dont le préjudice pourrait atteindre plusieurs millions d’euros.  » Pour la dizaine de plaignants dont nous défendons les intérêts, le préjudice s’élève à 600.000 euros », détaille Me Lenaig Labouré, du cabinet KER avocats. Mais il y en a beaucoup d’autres.

 

Place publique donne sa position sur le conflit israëlo-palestinien

$
0
0

Le communiqué :

Nous condamnons sans réserve les attaques terroristes du Hamas contre les Israéliennes et Israéliens. Ces crimes ignobles qui nous ont tous bouleversés ne peuvent souffrir d’aucune justification. Les assassinats de civils désarmés, les prises d’otages ne sont pas des actes de résistance, mais de terrorisme. Alors que de nombreux civils sont aux mains des terroristes du Hamas, nous appelons évidemment à leur libération immédiate.

Nous sommes solidaires des populations civiles victimes du conflit. Des deux côtés, elles subissent les violations du droit international commises et les conséquences d’une guerre qui n’en finit pas.

Nous refusons toute forme de punition collective envers la population palestinienne, à commencer par le fait de les priver d’eau et d’électricité comme cela vient d’être annoncé. Ce sont le Hamas et ses créanciers iraniens et qataris – sans lequel il serait incapable de mener de telles attaques – qui doivent être ciblés, pas une population palestinienne qui a déjà tant souffert.

La paix s’éloigne encore. Pour y parvenir, la lutte contre le Hamas ne suffira pas: la colonisation et l’oppression des palestiniens doivent cesser pour un jour retrouver le chemin d’une solution à deux états et assurer l’existence viable d’un État Palestinien.

Cela doit se faire en assurant le droit absolu des israéliens et des palestiniens à la sécurité. Nous sommes et resterons toujours viscéralement attachés à la dignité des deux peuples, à leur droit à vivre libres et en paix.


Le pont de la ravine Divon sécurise la population de la Grande Fontaine

$
0
0

Le communiqué :

L’inauguration du pont de la ravine Divon s’est déroulée ce mardi 10 octobre 2023 à la Grande Fontaine. Cet ouvrage garantit la sécurité des biens et des personnes de ce quartier historique de Saint-Paul.

Sa construction correspond pleinement à l’ambition de la Municipalité : placer au cœur de son action les Saint-Pauloises et les Saint-Paulois. Le Maire de Saint-Paul, Emmanuel SÉRAPHIN, salue cet aménagement structurant d’un montant d’1,4 million d’euros pris en charge à 90% par l’Europe.

Aujourd’hui, le secteur est maintenant en sécurité durant les fortes pluies ou les cyclones. Quand l’eau monte, il est désormais possible de circuler en voiture et de franchir la ravine Tête dure à pied grâce à une passerelle également installée à Laperrière,

Cet ouvrage sécurise aussi l’école élémentaire qui sert de centre d’hébergement en cas de besoin. Les secours peuvent maintenant intervenir en cas d’événements climatiques. Ce pont permet à la Grande Fontaine d’être connectée en permanence au reste de la Ville.

Un nouveau Parc d’accrobranche au cœur du Maïdo !

$
0
0

«  Enlèr Pied’ Bois » insuffle une nouvelle énergie dans le Bassin de vie du Guillaume pour satisfaire les petits comme les grands. Ce parc niché en plein cœur de la forêt du Maïdo propose dix parcours ludiques et sécurisés. Certaines passerelles atteignent des hauteurs vertigineuses de 20 mètres pour les plus intrépides, de même que des activités adaptées aux enfants dès l’âge de trois ans. Cette nouvelle offre contribue également à renforcer l’attractivité de la Ville de Saint-Paul.

« Ce parc Accrobranche contribuera à accroître la renommée du Maïdo, déjà prisé par les familles et les touristes les week-ends. La Ville a travaillé d’arrache-pied ces derniers mois pour promouvoir une économie de proximité […]. Le Jardin de Petite France, bientôt livré, s’inscrit dans cette dynamique, tout comme le projet de création d’un camping dans les hauts, pour renforcer l’attractivité touristique », précise le Maire de Saint-Paul, Emmanuel SÉRAPHIN.

En effet, le Maïdo attire chaque année plus de 400 000 visiteurs, avec une augmentation de sa fréquentation de 57% en 2022. Des stages et des formations dans les domaines sportif et touristique verront bientôt le jour, donnant aux jeunes l’opportunité de découvrir des secteurs d’activité passionnants. Saint-Paul se félicite donc de l’accueil de ce nouvel acteur économique sur son territoire en plein développement.

Le CCAS de Saint-Denis se mobilise pour sensibiliser aux enjeux de la santé et de la prévention

$
0
0

Le communiqué :

Saint-Denis, La Réunion – Dans le cadre de la Semaine de la Fraternité et de la Solidarité, et de la semaine de prévention des addictions, La Ville de Saint-Denis et son Centre Communal d’Action Sociale (CCAS), en transversalté avec la Direction Santé Publique et la Direction Jeunesse, sensibilise les jeunes aux addictions, à la santé mentale, sexuelle et aux gestes de premiers secours. Rencontres et bons réflexes !

La Ville Fraternelle et le CCAS de Saint-Denis dans le cadre de la Semaine de la Fraternité et de la Solidarité a organisé une journée « santé jeunesse » de sensibilisation aux addictions, à la santé mentale, sexuelle et aux gestes de premiers secours, place Bancoul, ce mercredi 11 octobre. Cette initiative s’inscrit dans la continuité des efforts de la Ville et du CCAS pour promouvoir le bien-être et la santé des habitants de la commune, notamment des jeunes. Elle vise spécifiquement à informer et à sensibiliser les jeunes sur les enjeux cruciaux qui touchent leur santé et leur bien-être au quotidien. « Nos jeunes sont vulnérables : devant la télé où ils ont accès à tout, derrière leur smartphone où ils peuvent être la cible de n’importe qui, dans les fêtes auxquelles ils participent… Les dangers sont multiples et en tant que père, je sais que c’est inquiétant de voir son marmaille prendre de l’autonomie. Avec les réseaux sociaux, ces dangers peuvent même arriver à la maison. Les collectivités, les élus, les associations, nous devons tous contribuer à faire de la prévention, à sensibiliser et donc à protéger nos enfants », explique simplement David Belda, Président délégué du CCAS.

Les actions prévues au sein du Village Santé du CCAS de Saint-Denis comprennent :

  1. Sensibilisation aux addictions : Les jeunes ont été informés des dangers liés à l’alcool, au tabac, au zamal et à la chicha. L’objectif est de les aider à prendre conscience des risques associés à ces substances et à les encourager à faire des choix éclairés. L’équipe des maillons de l’espoir propose des tisanes pour sensibiliser aux abus d’alcool.
  2. Sensibilisation aux dispositifs M’T Dents, Cancer, et addictions : Les participants ont été informés des dispositifs de santé disponibles pour les jeunes, notamment en ce qui concerne la prévention bucco-dentaire, la détection précoce du cancer, et l’accès aux ressources pour lutter contre les addictions.
  3. Sensibilisation aux gestes de premiers secours : La sécurité étant une priorité, des ateliers de formation aux gestes de premiers secours étaient proposés. Les jeunes ont pu s’entraîner aux gestes essentiels qui peuvent sauver des vies en cas d’urgence. A l’instar des élèves ambulanciers qui sont actuellement en formation avec l’Institut de formation des ambulanciers (IFA).
  4. Sensibilisation aux dangers des écrans : L’utilisation excessive des écrans et ses effets sur la santé mentale seront abordés. Les jeunes ont reçu des conseils pour une utilisation plus responsable et équilibrée des technologies, alors que les statistiques le montrent, ils passent beaucoup trop de temps devant les écrans et que leur usage peut avoir des incidences dramatiques en terme de harcèlement.
  5. Sensibilisation aux risques de violences sexuelles et au harcèlement : Des discussions ouvertes et des ateliers de sensibilisation ont permises aux jeunes de mieux comprendre les risques liés à la violence sexuelle et au harcèlement. Ils ont été encouragés à parler de leurs préoccupations et à demander de l’aide si nécessaire.

Ces actions de sensibilisation coïncident avec la Semaine de Prévention des Addictions portée par des associations telles que Les maillons de l’Espoir, soulignant ainsi l’importance de l’engagement communautaire dans la promotion de modes de vie sains et de comportements responsables.

La Ville et le CCAS de Saint-Denis invite la population à participer activement à ces initiatives et à soutenir les jeunes dans leur quête d’informations et de connaissances pour une vie plus saine et épanouissante.

Cet événement a été organisé en lien avec toutes les actions de la Semaine de la Fraternité et des Solidarités.

Éricka Bareigts déplore le « cynisme » de Frédéric Miranville

$
0
0

Communiqué :

L’Université de La Réunion connaît une crise sans précédent et je reste attentive à sa situation. Nous devons travailler collectivement pour qu’un projet d’établissement puisse se réaliser dans le respect des personnes en charge de l’avenir de nos étudiantes et étudiants et dans une gouvernance partagée.

Je défends en effet un pacte réunionnais d’excellence éducative, un projet ambitieux autour de notre établissement d’enseignement supérieur. Néanmoins, le climat délétère qui s’ajoute aux difficultés budgétaires de l’établissement et aux tensions avec les partenaires financiers n’est pas propice à l’accomplissement des enseignants, du personnel administratif et de notre jeunesse.

Dans ces conditions, j’avais en mars 2023 alerté le Ministère de l’Enseignement Supérieur sur ces dérives. Je remercie la Ministre pour l’écoute des plaignantes et le fait que l’enquête administrative a pu être menée à bien. C’est cette enquête qui débouche sur une information aux autorités judiciaires et à la suspension du Président de l’Université.

Je suis néanmoins surprise par la réaction de monsieur Miranville s’estimant victime d’une cabale politique. Il semble confondre l’empathie et la solidarité que chaque responsable politique doit aux plaignantes, victimes présumées d’autant plus quand elles dénoncent un véritable système qui met à mal la bonne gestion de l’Université, et une décision de la plus haute autorité administrative appuyée par la Ministre.

Il y a une forme de cynisme à se poser en victime quand chacun garde en mémoire que sa première élection rocambolesque en 2016 avait été le fruit d’une intervention appuyée du Président de la Région de l’époque et de ses équipes et que sa réélection en 2020 a été annulée pour être réorganisée. L’enquête judiciaire doit maintenant se poursuivre sereinement. L’avenir de nos enfants, le bienêtre du personnel doivent être nos priorités collectives.

St-Pierre : L’ancien directeur du greffe du tribunal judiciaire placé en détention pour faux certificats de nationalité

$
0
0

C’est sur un signalement de la préfecture de La Réunion que le parquet de Saint-Denis a ouvert une enquête pour faux en écriture publique, aide à l’entrée et au séjour d’étrangers en bande organisée et corruption.

Une quarantaine de pièces d’identité fournies grâce à la délivrance de faux certificats de nationalité seraient concernées.

L’ancien directeur du greffe de Saint-Pierre, parti à la retraite depuis environ six mois, est mis en examen par un juge d’instruction du tribunal judiciaire de Saint-Denis ce mercredi soir pour avoir établi ces faux documents.

Un second individu, un quinquagénaire suspecté d’être le cerveau, est également poursuivi pour avoir organisé l’opération de délivrance de pièces d’identité grâce à ces faux. Il aurait monnayé ses services à des étrangers en quête de documents d’identité contre rémunération. La somme de 3.000 euros par dossier traité est avancée selon les premiers éléments.

Une fonctionnaire territoriale de la mairie saint-pierroise est également inquiétée. Cette dernière, affectée au service des cartes d’identité et des passeports, est suspectée d’avoir été complice de la manœuvre lors de la saisie des documents nécessaires à l’obtention d’une carte d’identité ou d’un passeport. Elle a été mise en examen pour corruption et placée sous contrôle judiciaire.

À l’issue d’un débat à huis clos devant le juge des libertés et de la détention de Saint-Denis, Thierry D., 62 ans, et Radjoul G., 56 ans ont été placés en détention provisoire.

Viewing all 97587 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>