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"Un poids, deux mesures"

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« Deux poids, deux mesures », expression usitée par beaucoup par méconnaissance, et qui est liée à l’histoire entre les monnaies d’échange et la pesée selon les régions. Certains ne manqueront pas de faire des recherches pour me confirmer mon annonce, et surtout anticiper ma réponse. Si cet abus de langage, utilisé par tout un chacun, est aujourd’hui désuet et sorti de son contexte, il n‘a plus la même résonnance, ni la même signification.

Aujourd’hui, les mesures sont standardisées, normalisées, et l’expression , de ce fait, inappropriée. Lorsque vous avez deux poids et deux mesures, selon les même standards, il est normal que les mesures soient équivalentes . Et puis, lorsque vous avez la même pesée avec la même balance pour deux  produits semblables et que le résultat est différent alors que l’objet est le même, c’est qu’il y a tricherie en faveur de l’un.   

Dans l’expression populaire, cela signifie qu’i y a favoritisme.

Actualisée, l’expression est « un poids, deux mesures ».

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Assemblée plénière du Conseil Maritime Ultramarin du Bassin Sud Océan Indien (CMUB)

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Assemblée plénière du Conseil Maritime Ultramarin du Bassin Sud Océan Indien (CMUB)
Sous la présidence conjointe des préfets de La Réunion, de Mayotte et des Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF), le conseil maritime ultramarin du bassin Sud océan Indien (CMUB) s’est réuni en assemblée plénière le mercredi 22 novembre 2017 à Saint-Denis. Cette troisième séance du CMUB a été l’occasion de dresser un bilan des travaux réalisés pour l’élaboration du Document Stratégique de Bassin Maritime (DSBM) Sud océan Indien et d’évoquer le fonctionnement du Conseil depuis la dernière séance plénière du 14 décembre 2016.

Une première version de l’état des lieux du bassin Sud océan Indien, fruit des travaux des 4 groupes de travail (protection de l’environnement, prévention des risques et gestion du trait de côte, connaissance, recherche, innovation et éducation-formation, activités maritimes et littorales) a ainsi pu être présentée. Ce document a vocation une fois finalisé à constituer, en complément des enjeux identifiés par les groupes de travail, le diagnostic ou état zéro du bassin, préalable à l’adoption du plan d’action qui devrait intervenir d’ici un an.

La feuille de route sur les actions à conduire au cours de l’année 2018 a été validée : elle prévoit notamment des synergies avec des projets concomitants en particulier en matière de planification spatiale maritime. Le CMUB Sud océan Indien s’est par ailleurs prononcé en 2017 sur deux projets l’intéressant directement : l’extension de la réserve naturelle nationale des Terres Australes Françaises et le schéma régional de développement de l’aquaculture de Mayotte. Le Plan de Surveillance et de contrôle des activités pour la protection du milieu marin du bassin Sud océan Indien, document procédant d’une instruction du Secrétaire général de la mer de novembre 2016 et co-signé par les  préfets de La Réunion, de Mayotte et des TAAF le 30 août 2017 a également été présenté à l’occasion de cette réunion.

Le conseil maritime ultramarin du bassin Sud océan Indien (CMUB) a été installé en mars 2016, sous la présidence conjointe des préfets de La Réunion, de Mayotte et des Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF). Il s’agit d’une instance de concertation et d’échanges sur les sujets liés à la mer et au littoral. Les différents acteurs (élus locaux, professionnels, organisations de salariés, représentants du monde associatif, personnalités scientifiques et services de l’État) répartis en 6 collèges ont pour mission principale la rédaction d’un document stratégique de bassin maritime (DSBM) pour la zone Sud océan Indien.

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Nouloutou fait la révolution : Un parking aéroport gratuit ou à 5€ par jour

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[Publi video] Le concept est totalement novateur et devrait ravir les nombreux voyageurs amenés à s'envoler au départ de Gillot. La dynamique start-up Nouloutou lance deux nouveaux produits qui vont permettre à ceux qui partent de réaliser de substantielles économies.
La clé de cet ingénieux système se situe dans les hauteurs de Sainte-Marie à moins de 7 minutes de l'aéroport. Le Village Bienvenue abrite dès ce samedi l'immense parking surveillé de Nouloutou : 300 places proposées à des prix plus que compétitifs, et ce dès le premier jour. Le parking est équipé de 5 caméras de sécurité, 5 détecteurs de mouvement et d'une alarme anti-intrusion.

Deux formules s'offrent aux voyageurs... La première est une offre parking classique mais à seulement 5€/jour ,soit jusqu'à 85% moins cher qu'un parking classique.

Le deuxième concept est novateur à La Réunion comme l'explique Badis Aggoune, le président de Nouloutou Réunion, le premier site de location de particuliers et professionnels à La Réunion. Le voyageur dépose son véhicule dans le parking, et accepte que son véhicule soit loué pendant son absence. Nouloutou s'occupe de tout et notamment de faire assurer en tous risques le véhicule par son partenaire la MAIF. A chaque location, le vacancier touchera 50% du montant de la location. A titre d'exemple, une Clio en parking gratuit formule location, en haute saison peut rapporter jusqu'à 600€/mois à son propriétaire.

Dans les deux cas une navette Nouloutou est mise à disposition des voyageurs pour les emmener à leur vol à Gillot et viendra les récupérer à leur arrivée.

Pour bénéficier des services de Nouloutou, tout se fait sur le web, en quelques clicks sur www.nouloutou.re
Pour la  période de pointe des vacances de fin d'année, il est vivement conseillé de s'y prendre dès maintenant !

Nouloutou fait la révolution : Un parking aéroport gratuit ou à 5€ par jour

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Une statue crée la polémique dans une école catholique en Australie

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Une statue crée la polémique dans une école catholique en Australie
La scène se déroule à Adélaïde en Australie dans une école catholique. 

Selon les termes du directeur de l’école est en cause le caractère " potentiellement suggestif " de l’œuvre. 

Dévoilée récemment à l’école Blackfriars Priory, la statue de Saint Martin de Porres, montre le religieux tendant un bout de pain à un jeune garçon. 

Mais la position malheureuse de cet objet, en apparence anodin, prête à confusion et déchaîne les réseaux sociaux. Le directeur de l'école explique qu'il s'agit d'un problème d'interprétation des plans. 

A plat, tout semblait bon et a été approuvé par la direction de l'école. 

Lorsque la statue est arrivée en 3D, il a été considéré qu'il y avait un problème avec la position du pain par rapport au visage de l'enfant. 

Le directeur de l'école a fait appel à un artiste local afin de modifier l'oeuvre et s'est excusé pour les inquiétudes et la publicité occasionnées par cette affaire.

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Notre indignité

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Notre indignité
Bonjour,

Ce qui est en train de se passer en Corse fait rêver (voir l'article du Monde), tant nous sommes loin, très loin, à des années-lumière de toutes ses problématiques touchant à la dignité d'un peuple !

Nous sommes plus préoccupés par le maintien de la perfusion "alimentaire" venant de la métropole en ayant abandonné toute velléité d'exister autrement qu'en tendant la main pour des contrats aidés, des dotations budgétaires, des sur rémunérations…
Bref, La Réunion, notre Réunion de plus en plus vénale est devenue une vraie p…de la République.

Pour moi qui ai fait le choix de vivre ici et de m'y enraciner définitivement quoi qu'il arrive cette situation est insupportable, mais je ne désespère pas d'un sursaut populaire qui finira par balayer les élites (sic) pour retrouver notre dignité bafouée chaque jour qui passe…

Il y a bien quelques rescapés de la dignité comme Paul Hoarau mais on voit bien que ses appels à la mise en place de la conférence territoriale, petit embryon timide d'une prise en main de notre destin par nous-mêmes, reste sans écho…même pas de rejet ! le silence, l'indifférence…il faut remplir son caddie pour le prochain pique-nique…l'indignité quoi…

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Attouchements et viols pendant des années, leur père jugé 30 ans plus tard

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Attouchements et viols pendant des années, leur père jugé 30 ans plus tard
Jugé en correctionnel ce vendredi, Joseph L. niait tout. Les caresses, les fellations, les pénétrations… Tout cela sur ses filles dès l’âge de 4 ans jusqu’à l’adolescence. 10 ans de calvaire pour les plus âgées, moins pour la plus jeune. Fatiguait-il peut-être…
 
Elles sont quatre filles, nées entre 72 et 88. La première n’a jamais porté plainte contre son père. Les trois autres l’ont fait une fois majeures. La plus âgée a 37 ans lorsqu’elle dénonce les agressions en 2011. Malheureusement, la loi du délai de prescription à l’époque des faits ne permet un jugement que 10 ans après la majorité de la victime. Elle a donc raté le coche. Joseph L. se serait introduit dans son lit pendant plusieurs années, une à deux fois par semaine, pour lui baisser le pyjama et "frotter son sexe contre le (sien)" jusqu’à éjaculation. Rien d’anormal selon la petite de 4 ans qui réalise ensuite, en grandissant, que ça ne se passe pas comme ça dans les autres familles. Puis, entre 8 et 12 ans, place aux fellations et aux diffusions de films porno. Les relations ne se seraient arrêtées que lorsqu’elle a eu un petit copain à l’âge de 15 ans.
 
Même scénario pour la deuxième. Entre l’âge de 6 et 16 ans, elle raconte avoir subi des fellations, cunnilingus, pénétrations vaginales et sodomies. Puis, c’est sa première relation avec un garçon qui met fin au cauchemar.
 
La dernière semble plus résistante que ses grandes soeurs. Peut-être avait-elle été prévenue. Des caresses à la limite de la pénétration. Rien de plus car elle refuse les fellations et lui dit d’arrêter à l’âge de 13 ans ; ce qu’il fait. C’est d’ailleurs elle qui portera plainte la première à l’âge de 23 ans. Elle dit avoir suivi une psychothérapie qui a "beaucoup aidé". Sa sœur aînée, quant à elle, souffrirait de trauma post-traumatique, d’un manque de confiance en soi, de dépression et de crises d’angoisse. Bref, une réaction typique au vu de ce qu’elle a vécu, selon l’analyse médicale.
 
Il "aurait pu déraper parfois"
 
Mais bonne nouvelle pour elles, la loi du 17 juin 2008 portant réforme de la prescription a augmenté le délai de 10 à 20 ans après la majorité. Les faits ont donc pu être jugés ce vendredi en correctionnel, même si les plaintes ont été retirées, les victimes voulant "passer à autre chose et laisser faire la justice".
 
Le voilà ainsi à 71 ans répondant aux questions du président du tribunal qui énumère les plaintes des femmes. "Je ne comprends pas", répète le gramoune. Difficile en effet de l’imaginer, vu son âge, en train de commettre de tels actes. Surtout qu’il nie depuis le début. Ou presque. Lors de l’enquête, il aurait reconnu des "attouchements non contrôlés" tels que "des pincements aux fesses, aux seins" et "des caresses sur le corps". Il avait également avoué qu’il "aurait pu déraper parfois". Des expressions que retient la procureure, Véronique Maugendre, malgré l’assurance du prévenu quant au fait qu’il n’est pas "un monstre", qu’il "ne pense pas avoir caressé sur la partie du bas" ou encore qu’il "ne pratique pas ce genre de choses". Il va même jusqu’à rappeler que ses filles lui en auraient fait voir des vertes et des pas mûres mais qu’il a toujours été très généreux, s’assurant qu’elles ne manquaient de rien et voulant "réparer les choses". "Réparer quoi ?" demande la procureure. Pour les filles, il ne s’agissait que de cadeaux "contre des gâteries".
 
Un père qui aurait lui-même subi des attouchements étant petit, une mère également victime lorsqu’elle était enfant et qui savait, mais ne disait rien… Que d’excuses qui n’excusent rien, selon la procureure qui a requis cinq à six ans de prison ferme et cinq ans de suivi socio-judiciaire.
 
Son avocat, Me Julien Barraco, rappelle le délai de prescription et une instruction incomplète qui ne permettraient pas de juger son client.
 
Le gramoune a néanmoins été condamné à cinq ans de prison, dont trois avec sursis et une obligation de soins psychologiques. Une peine aménageable, au vu du lieu de résidence du coupable, en métropole.

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[Etats-Unis]Licencié pour avoir éjaculé dans le pot de miel de sa collègue

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[Etats-Unis]Licencié pour avoir éjaculé dans le pot de miel de sa collègue
L’histoire vient des Etats-Unis et débute en novembre 2016 en Californie plus précisément. Stevens Millancastro qui travaille dans une entreprise basée à La Palma est âgé de 27 ans.

Il prend pour habitude de s’introduire dans le bureau de sa collègue afin d’éjaculer dans son pot de miel.

La victime mangera dans le pot de miel jusqu’au 13 janvier 2017.

Il va ensuite éjaculer à trois reprises dans la bouteille d’eau de sa jeune collègue mais celle-ci finira par se méfier, alertée par par la couleur et le trouble de l’eau.

Elle finit par en parler à son patron qui fera placer une caméra pour surveiller son bureau.

C’est en découvrant le 13 janvier sa souris engluée de sperme que son chef ordonne le visionnage de la télésurveillance où l’on voit Millancastro entrer dans la pièce avant les faits.

Licencié sur le champ et porté devant les tribunaux par une plainte de la victime, il risque jusqu’à 2 ans et demi de prison.

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Une journée pour dire NON aux violences envers les femmes - 25 novembre 2017

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soci violences-intra-familiales 2017, n’échappera malheureusement pas aux statistiques tragiques liées aux violences faites aux femmes. Nicole, Arlette, Jessie Sophie, Marie, Corine … elles sont cinq à avoir été massacrées parce qu’elles aspiraient à  leur liberté.

En 2016, c’est Géraldine, Jocelyne Marie, Marie Andrée, Patricia, Julita et Ingrid qui sont mortes sous les coups de leur conjoint.

Une liste funeste derrière laquelle se cachent des visages, des sourires échangés avec leurs enfants. Des enfants qui ne reverront jamais plus leur maman. Pour agir efficacement et arrêter cette spirale de la violence, le Conseil Départemental accueille au quotidien, dans les services sociaux territorialisés, les femmes en situation de détresse. Beaucoup d’entre elles ont pu être sauvées grâce aux dispositifs mis en place par le Département de La Réunion.



Source : http://www.cg974.fr/index.php/Une-journee-pour-dir...

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Elle se fait payer un hôtel 5 étoiles à Maurice, faisant croire à un "hébergement d’urgence"

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Elle se fait payer un hôtel 5 étoiles à Maurice, faisant croire à un
Comment passer plusieurs nuits dans un hôtel cinq étoiles à Maurice, tous frais payés ? Trouvez une cousine bien gentille qui vous donne une autorisation de prélèvement sur son compte bancaire. C’est ce qu’a fait cette jeune femme de 24 ans en juillet 2016.
 
Le 13 juillet, la victime reçoit un coup de fil de sa cousine en détresse qui lui explique n’avoir pas reçu le solde tout compte de son employeur – une somme qui devait être sur son compte – et la voilà à Maurice sans hébergement, susceptible de passer une nuit à la rue. Ce qu’il lui faut : 586 euros pour payer l’hôtel, le Sofitel Imperial.
 
En toute urgence, sa cousine lui donne alors une autorisation de prélèvement. Mais elle remarque que plusieurs prélèvements de montants conséquents sont effectués, la somme finale atteignant 3660 euros. Que s’est-il passé ? La vacancière aurait demandé une modification de son billet d’avion ainsi que celui de son copain – car un hôtel à Maurice c’est plus amusant à deux – qui lui aurait coûté 50 euros par billet. Pas question de modifier les dates, évidemment. Il était bien plus prudent (et économe) de rester plusieurs nuits à l’hôtel aux frais de sa très chère cousine.
 
Le 20 juillet, remarquant le débit plus que conséquent sur son compte, la victime porte plainte pour abus de confiance. Sa cousine dit avoir rédigé une reconnaissance de dettes signée afin de l’indemniser. Un document qu’elle dit n’avoir jamais vu. Aucune nouvelle de sa cousine depuis.
 
La somme a été remboursée à la victime par son assurance. Le tribunal correctionnel a condamné la cousine voleuse à verser une amende de 4000 euros.

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Assises des Outre-mer à La Réunion: Donnez votre avis

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Dans le cadre des Assises des Outre-Mer, la préfecture appelle les Réunionnais à "donner leur avis". Voici le communiqué :
Assises des Outre-mer à La Réunion: Donnez votre avis
Lancées au mois d’octobre par la ministre des Outre-mer, les Assises des Outre-mer ont pour objectif de recueillir auprès des populations ultramarines les propositions de mesures et de projets susceptibles d’apporter une réponse aux enjeux de nos territoires. La méthode de travail vise à associer le plus largement possible l’ensemble des acteurs de la société réunionnaise.

Douze ateliers thématiques abordent de nombreux enjeux pour l’île afin de recueillir les propositions de projets et de mesures pour l’île. Pilotés par des rapporteurs issus de la société civile, ces ateliers se déroulent jusqu’en décembre 2017. Tous les Réunionnais peuvent envoyer par mail leur contribution sur un ou plusieurs thèmes (renseignements sur www.reunion.gouv.fr).

Afin de diversifier et de multiplier les modalités de participations, des animateurs  iront interroger directement les Réunionnais dans des lieux publics pour recueillir leurs contributions.

Chacun ainsi appelé à donner son avis le mardi 23 novembre de 11 h à 15 h à l’Université de La Réunion, mardi 28 novembre de 7 h à 11 h à la gare routière de Saint-Paul et le vendredi 1er décembre de 7 h à 11 h au marché forain de Saint-André.

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Saint-André: Une mère de famille perd tout dans un incendie

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Saint-André: Une mère de famille perd tout dans un incendie
Les faits se sont déroulés dans la nuit de dimanche à lundi dernier. Soagar Soundron apprend que sa maison située à Saint-André est en feu.  C'est son beau-frère, habitant la même rue, qui est réveillé par le bruit des pompiers qui passent devant chez lui. Il découvre alors que la maison de sa belle-soeur est ravagée par les flammes et l'alerte.

Soagar n’était pas présente sur les lieux car elle réside au Tampon. Pour se rapprocher de sa fille, elle a décidé il y a quelques temps de déménager. Afin de pouvoir assurer financièrement la location de son habitation au Tampon, elle avait alors décidé de louer sa maison de Saint-André.

Il y a deux mois ses locataires avait quitté le domicile. Soagar, qui gagne sa vie en faisant des animations, s'était alors retrouvé en difficulté financière, devant faire face sans ce revenu supplémentaire.

La maison était entièrement vide au moment du sinistre car elle n'était toujours pas relouée. Selon le beau-frère de Soagar, qui a échangé avec les forces de l'ordre, la piste criminelle est envisagée. Un bidon d’essence et des allumettes ont été retrouvés sur place ainsi que des pneus disposés dans chaque pièce de la maison. L’incendiaire aurait mis le feu en arrosant les pneus d'essence. Elle a déposé plainte lundi en expliquant notamment qu’elle n’aurait de conflits avec personne et pas d’ennemis.

La police a effectué les prélèvements nécessaires à la recherche d’empreintes. La procédure s’annonce longue; le tout a été envoyé en métropole à Lyon dans un service spécialisé.

Problème de taille, sa maison n’était pas assurée. La solidarité s'est installée dans le quartier. Certains lui viennent en aide spontanément en prêtant main forte pour commencer à remettre en état sa maison.

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Tourisme: La découverte de la route du volcan à travers une application et de nouveaux aménagements

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Tourisme: La découverte de la route du volcan à travers une application et de nouveaux aménagements
500 000 visiteurs par an empruntent la route qui mène au volcan, l’un des sites touristiques les plus remarquables de l’île. Dans le cadre de son programme de valorisation, le Département et son gestionnaire, l’ONF ont ce vendredi présenté deux scenarii pour partir à la découverte de la route du volcan. 

Le premier se fait par le biais des nouvelles technologies, l'application "La route du volcan au fil du temps ". Un personnage, le Gardien Volcan invite au voyage dans l’histoire géologique mais surtout humaine du site. La visite se fait en 12 étapes géolocalisées : marronnage, catastrophe de Mahavel, expédition moderne, incendie de 2010, construction de la route… autant de thèmes déclinés à travers des interviews, des témoignages et des jeux. 



"Cela permet de conduire le visiteur du premier effondrement jusqu’au dernier il y à 5 000 ans", indique Sylvain Léonard, directeur régional de l’ONF. L’objectif est aussi d’inciter les visiteurs à rester sur le massif et d'induire des retombées économiques. "Les visiteurs jusqu’à présents réalisaient des allers-retours. Avec cette démarche innovante, ils pourront chacun à leur rythme entrer en profondeur dans l’histoire et le patrimoine naturel", ajoute Claudette Grondin, vice-présidente déléguée à l’environnement au Département. L’application simple d’utilisation est traduite en anglais et en mandarin.

"Dans le respect du caractère des lieux"

Coût de l’opération: Plus de 63 000 euros pour un financement Europe, Département, et Cité du Volcan pour l’achat des tablettes. L'offre pourrait être enrichie par la suite sur d'autres sites remarquables de l'île. 

L’autre scénario repose sur ce que le Département nomme "la route d’interprétation du volcan". Quatre belvédères ont déjà fait l’objet d’aménagements "dans le respect du caractère des lieux", insiste l’ONF: l’entrée Cryptoméria, le Nez de Boeuf, le cratère Commerson et le Pas des Sables. Le belvédère du Pas des Sables ayant été déplacé quelques mètres plus haut à flanc de rempart "pour une expérience sensationnelle en toute sécurité". Celui situé en bord de route est désormais réservé aux personnes à mobilité réduite (PMR). 

Au total, le Département avec l’aide de l’Europe prévoit d’investir près 1,3 million d’euros pour la valorisation des équipements de la route du volcan. Egalement en projet, à compter de 2018, une nouvelle offre de pique-nique au plateau Nez de Boeuf accessible aux PMR mais aussi la rénovation du relais du Pas de Belcombe et ses extérieurs prévue pour 2019. 
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Sans réseau 3G ni wifi sur la route du volcan, il est conseillé de télécharger l’application sur google play et apple store avant son départ. Des tablettes sont également en location à la Cité du Volcan.


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Congrès des Maires : Les maires de St-Joseph, Petite Ile, Bras Panon et Cilaos nous prennent pour des imbéciles

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Congrès des Maires : Les maires de St-Joseph, Petite Ile, Bras Panon et Cilaos nous prennent pour des imbéciles
Pris la main dans le sac avec la publication par Zinfos vendredi dernier de la liste de 188 élus, administratifs et accompagnants ayant effectué le déplacement au Congrès des Maires, les 1ers magistrats de St-Joseph, Petite Ile, Bras Panon et Cilaos ont essayé de se disculper en envoyant un communiqué à la presse.

Leur défense est tellement pitoyable qu'on est raisonnablement en droit de se demander s'ils ne nous prennent pas pour des imbéciles.

En fait, leurs explications sont simples, voire simplistes. "Ce n'est pas nous, c'est les autres".

Pour Bras Panon par exemple, Daniel Gonthier nous explique que "les charges inhérentes à cette participation ont été financées par la CIREST (2 billets), l'AMD (4 billets) et l'AMDR (2 billets)" avant d'affirmer que "la commune de Bras-Panon n'a pas financé directement les frais de participation à ce congrès". Vous apprécierez le "directement"...

Paul Franco Técher nous affirme de son côté que Cilaos est également adhérente à l’AMDR et l’AMD et que "ces adhésions lui confèrent un quota de places réparti comme suit: Trois places dans le cadre de l’AMD, deux places dans le cadre de l’AMDR et deux places ont été octroyées par la CIVIS pour les conseillers communautaires de Cilaos". Et le maire rajoute que "s’agissant des accompagnateurs : ils sont au nombre de deux. Ils ont chacun pris en charge leur billet d’avion, les frais afférents à leur logement ainsi que ceux correspondant à leur inscription au congrès".  Paul Franco Técher aurait pu en rester là, mais il rajoute sournoisement que "la commune n’a aucunement déboursé des fonds publics qu’il s’agisse des élus communaux se rendant au congrès que des accompagnateurs".

Même son de cloche du côté de St-Joseph qui se défausse sur l'AMDR qui aurait pris en charge le déplacement de deux élus. Par contre, différence notable : la mairie reconnait qu'elle a bien pris en charge le déplacement du directeur général des services.

Enfin, du côté de Petite Ile, la CIVIS a pris en charge un élu, l'association des maires deux, et un élu "a financé personnellement" son voyage.

Notre réponse aux quatre maires

Comme Air Austral l'a fait en offrant un prix de gros à nos élus voyageurs, nous allons en faire de même en faisant une réponse globale à ces quatre maires. Et en même temps aux autres, encore moins courageux, qui ont préféré faire le dos rond en espérant que le bon peuple, comme d'habitude, finira par oublier et passera à autre chose.

Pour leur répondre, nous allons nous contenter d'une série de questions. Vous affirmez que ce sont les intercommunalités et les deux associations de maires qui ont financé ces voyages. Parfait. Mais qui finance les Interco? Qui finance l'AMD et l'AMDR, si ce n'est les communes.

Il est trop facile de voter d'énormes subventions à chacune de ces entités et ensuite de venir nous affirmer, la main sur le coeur, avec des airs de vierges outragées : "Mais je ne comprends pas, ce n'est pas moi, c'est l'autre"...

"L'autre" ce n'est personne d'autre que vous car, en plus de verser les subventions, c'est vous -ou vos représentants- qui siégez dans les instances dirigeantes de ces associations ou collectivités, et qui donc prenez les décisions de financer ces voyages.

La seule différence que je veux bien vous concéder, c'est que comme le dit fort justement Daniel Gonthier avec toute la naïveté dont il est capable, vous ne financez pas ces voyages "directement", mais indirectement...

Alors, de grâce, arrêtez de nous prendre pour des imbéciles !

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Taxe d'habitation: Macron prend l'exemple de St-Denis pour montrer l'"injustice territoriale"

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Taxe d'habitation: Macron prend l'exemple de St-Denis pour montrer l'
Pendant le Congrès des maires qui se tenait à Paris, Emmanuel Macron s'est exprimé ce jeudi sur la réforme de la taxe d'habitation, qu'il entend supprimer.

Pour la justifier devant les élus, dont certains redoutent une baisse des ressources, le président de la République a comparé Saint-Denis de La Réunion et Paris pour démontrer que cet impôt est "injuste territorialement".

"Le montant moyen pour un couple avec deux enfants est à Paris de 481 euros, mais il est de 1207 euros à Saint-Denis de La Réunion", a-t-il en effet indiqué, déclarant que les "victimes" de cette taxe étaient "les territoires les plus modestes et les classes moyennes". 

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Elle veut adopter le chiot Newton, on le lui refuse car elle est Réunionnaise

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Elle veut adopter le chiot Newton, on le lui refuse car elle est Réunionnaise
Audrey a recueilli quatre chiots en septembre, qu'elle a trouvés près de l'église des Colimaçons dans un état de maigreur incroyable, infestés de parasites externes et internes, et en grande carence. Audrey, qui vit chez ses parents à Saint-Gilles, a déjà deux chattes qu'elle a adoptées à Lyon pendant ses études, et ses parents ont deux chiennes. Inconcevable donc de garder les petits chiens, et difficile de prendre en charge les frais de vétérinaire.

Elle poste alors un appel à l'aide sur Facebook, demandant qui voudrait adopter les chiots. C'est une association métropolitaine, Four new life qui lui répond, lui proposant de prendre tous les frais de nourriture et de vétérinaire en charge, contre le fait qu'Audrey devienne famille d'accueil, et envoie les chiots en métropole en vue d'adoption. Audrey accepte, ravie de cette solution. Elle envoie tous les jours des photos des petits à l'association, et rédige des "fiches personnalité" de chacun des chiots, afin d'aider à l'adoption.

Début novembre, les choses se gâtent. Trois des chiots ont trouvé une famille d'adoption, mais l'association peine à en trouver une pour le petit Newton, le plus chétif des quatre, le plus timide, aussi. Entre temps, Audrey s'est terriblement attachée au petit chien, qu'elle choie depuis trois mois, et sa personnalité réservée lui plait tout spécialement. Elle propose alors d'adopter Newton, contre le paiement des frais d'adoption.

C'est un refus catégorique qu'elle reçoit, à son immense surprise "On ne fait pas d'adoption à La Réunion". Aux demandes d'explication de la jeune femme, l'association répond que les chiens sont trop maltraités sur notre île, et que les statuts de l'association précisent que les adoptions ne peuvent se faire qu'en France. "Mais ici, c'est la France!" s'indigne Audrey, sans réponse. 

L'association en question, basée à Strasbourg, a déjà fait parler d'elle en laissant sur sa page Facebook des commentaires ouvertement racistes envers les Réunionnais, et au vu de sa réponse, l'on comprend pourquoi...

Ce soir, les petits chiens prennent l'avion vers la métropole, mais il est à peu près certain que Newton ne sera pas du voyage, malgré les menaces de l'association de porter plainte contre Audrey, qui ne demande qu'à prendre soin du petit chien, et dont elle a proposé de payer les frais d'adoption. Seule réponse de la directrice de l'association Four new life: "Si vous en voulez un pour sauver ou adopter, il vous suffit d'ouvrir votre porte, vous aurez même le luxe de choisir tellement il y en a qui trainent". 

Elle veut adopter le chiot Newton, on le lui refuse car elle est Réunionnaise

Elle veut adopter le chiot Newton, on le lui refuse car elle est Réunionnaise

Elle veut adopter le chiot Newton, on le lui refuse car elle est Réunionnaise

Elle veut adopter le chiot Newton, on le lui refuse car elle est Réunionnaise

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100-80=20

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100-80=20
Et voilà ! C’est une vérité mathématique qui ne surprend personne. Tous les français savent faire cette opération de base. Mais tous les français ne mettront pas cette vérité mathématique en application ou plutôt 20 % des contribuables seront forcés de s’inscrire dans cette démarche scientifique basique. 

Où veut-il en venir se diront d’aucuns ? Eh bien, c’est très simple, il suffit d’écouter les actualités et les propos de ceux qui sont chargés de gérer les deniers publics, le chef de l’Etat et les ministres (dont ceux chargés de l’économie et des finances). Oui, je veux parler de la Taxe d’Habitation que je mettrai dans le triptyque  « Liberté, Egalité, Fraternité » dont nous devons nous enorgueillir.

La bonne nouvelle pour beaucoup de français (80 %) est la suppression progressive de cet impôt. Combien de personnes (en milliers de contribuables) seront concernées par ce positionnement politique ? Mais, hélas, ne sont-elles pas les mêmes qui ne paient pas grand-chose habituellement ? Et qui demandent le plus quotidiennement ?

L’argument du président de la République est clair et ferme : « la Taxe d’Habitation est un impôt injuste ». La déduction est que cette injustice ne concerne que 80 % des contribuables. Et, par conséquent, en dépit d’un élément du triptyque cité, on peut déduire que tous les contribuables ne peuvent pas être traités selon ce principe fondamental. Qu’il est juste que 20% de foyers fiscaux continuent de payer cette taxe et je n’irai pas murmurer « pour tous les autres ». Et qui sont ces citoyens financeurs ? Toutes les personnes composant la classe sociale dite « moyenne » qui sont responsables de tous les maux et à qui on peut toujours demander plus d’efforts, ce que l’on peut définir comme « fraternité ».

Mais cette injustice ne s’arrête pas là. Elle frappe, disent les maires, toutes les communes, qui ne peuvent plus s’en sortir car la Taxe d’Habitation compose pour 20% les crédits de fonctionnement des collectivités. Ah ! Quel malaise et comment trouver une compensation à cette perte, avant de commencer par réfléchir à comment éviter les dépenses et les emprunts inutiles. Oui, il existe une solution, que beaucoup mettront sans doute en œuvre, l’augmentation des Taxes Foncières ou des bases servant à les calculer ou les deux. Nous devons cependant nous rassurer car ce sont les mêmes 20 % de contribuables qui les paieront.

Le ministre de l’Economie dit, contrairement au Président de la République, du moins jusqu’à ce jour, que cet impôt sera totalement supprimé. Une première question s’impose : « Comment l’Etat va-t-il compenser les effets financiers liés à cette éventuelle mesure ? ». A l’Euro près ? Souvenons-nous de la décentralisation ! Les collectivités attendent encore aujourd’hui les recettes financières promises. Mais les politiques  et les crises passent et on oublie vite. Deuxième question, car Il faudra bien trouver cet argent : « Qui paiera ? ».

On parle donc d’un nouvel impôt qui sera plus juste et précisé bientôt. Mais juste cela ne veut pas dire pour tous. Ce seront les mêmes qui trinqueront, en « laissant des plumes supplémentaires », sans aucun doute. L’Etat ne donne pas. Il reprend de la main gauche ce qu’il a « donné » de la main droite. C’est un mouvement perpétuel. Mais enfin, nous avons  les dirigeants que nous méritons et qui ne nous veulent que du bien. 

Vive la République de la Liberté, de l’Egalité, de la Fraternité.

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Au moins 235 morts dans l'attaque islamiste d'une mosquée en Égypte

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Au moins 235 morts dans l'attaque islamiste d'une mosquée en Égypte
C'est l'une des attaques les plus meurtrières qu'ait connue l'Egypte. 235 personnes au moins sont mortes dans une mosquée au nord du Sinaï, massacrées par des hommes en armes. Le dernier bilan fait également état de 125 blessés. Les meurtriers ont surgi à l'heure de la Grande Prière, en ce vendredi 24 novembre, autour de la mosquée Al-Rawda dans le village de Bir el-Abed, à l’ouest d’El-Arich, la capitale de la province du Nord-Sinaï, région où les forces de sécurité combattent la branche égyptienne du groupe jihadiste Etat islamique.

D'après les premiers témoignages, les assassins ont tout d'abord déclenché une explosion, avant d'ouvrir le feu sur les fidèles, dont il est connu que nombreux sont des soufis, branche mystique de l'Islam, considérée comme hérétique par l'état islamique. Les adeptes du soufisme sont persécutés par l'EI, comme les chrétiens  et les coptes. Les jihadistes ont décapité l’an dernier un chef soufi, l’accusant de pratiquer la magie, et kidnappé plusieurs soufis, libérés après s’être "repentis".

La présidence égyptienne a décrété trois jours de deuil national en hommage aux victimes de la mosquée Al-Rawda.
 

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Météo : Un gris week-end

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Météo : Un gris week-end
Les entrées maritimes occupent une large moitié du département dès le lever du jour. Les nuages s'étendent de Saint-Pierre à Saint-Philippe, de la Pointe de la Table à Champ Borne et jusque dans les hauts. Des précipitations sont attendues vers Takamaka, Salazie et au Sud du volcan. Ailleurs le ciel est dégagé.

Au fil des heures la couverture nuageuse s'étale vers l'Ouest jusqu'à mi-pente. Les pluies gagnent le cirque de Cilaos et les hauts de Saint-Paul. La frange côtière reste en marge de la grisaille, selon Météo France.

L'après-midi reste maussade dans l'Est et dans les cirques où des pluies sont toujours présentent. Peu à peu les nuages se délitent dans le Sud et dans l'Ouest.

Le vent de secteur Est reste soutenu avec des rafales de l'ordre de 50 à 60 km/h le long du Sud Sauvage et dans une moindre mesure vers Sainte-Marie.

Les températures maximales prévues oscillent entre 27 et 30°C sur le littoral, 14°C au Maïdo, 16°C au Pas de Bellecombe, 23 à 24°C à Takamaka et Cilaos. La mer est peu agitée à agitée au vent. Petite houle de Sud-Est.

Suivez la météo en direct grâce aux webcams de Zinfos 974.

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[REVUE DE PRESSE] Samedi 25 novembre 2017

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[REVUE DE PRESSE] Samedi 25 novembre 2017
La journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, qui est célébré ce samedi 25 novembre, fait la une de presse écrite péï du jour. Le Quotidien recense dans ses colonnes l’ensemble des manifestations qui ont lieu aujourd’hui dans l’île pour cette "mobilisation générale". Le Journal de l’île, pour sa part, appelle à "briser le mur du silence". Le média est parti à la rencontre du Groupe Violences intra familiales de la gendarmerie.

[REVUE DE PRESSE] Samedi 25 novembre 2017
FAITS-DIVERS

Déjà condamné à 12 ans de réclusion criminelle en première instance pour le viol d’une auto-stoppeuse en juillet 2014, un Tamponnais âgé d’une trentaine d’années a écopé hier d’une peine plus sévère en appel. Sa peine a été alourdie d’un an. Au cours de ce procès en appel, le prévenu était particulièrement "virulent" dans sa défense nous apprend le Journal de l’île, assurant aux robes noires que la victime était consentante pour une relation sexuelle tarifée. Or, la victime a indiqué péniblement à la cour qu’elle avait refusé les avances du Tamponnais, avançant qu’elle avait le Sida pour lui faire peur, mais que cela n’avait pas réfréné les pulsions de son agresseur. N’exprimant aucun remords ni regrets, le détenu n’a pas été acquitté par le tribunal, qui a alourdi sa peine d’une année supplémentaire.

Deux chauffeurs de bus de l’Est de l’île ont été contrôlés positifs à des stupéfiants hier lors d’une opération menée par les forces de l’ordre aux abords des établissements scolaires de Bras-Panon, Salazie, Saint-Benoît,  Sainte-Marie, Sainte-Suzanne et La Plaine-des-Palmistes. Plus de 175 bus ont été contrôlés lors de ces contrôles nous apprend la presse écrite du jour. Hormis les deux chauffeurs contrôlés positifs aux stupéfiants, aucun chauffeur n’a été alcoolisé. Le gendarmes ont tout de même relevé 42 infractions, pour des éléments de sécurité manquants principalement.
 

[REVUE DE PRESSE] Samedi 25 novembre 2017
JUSTICE

Ça bouge du côté des avocats. Comme relaté par Le Quotidien, les robes noires du barreau de Saint-Denis, "ont décidé de renouer avec la tradition et les symboles" lors de la passation de pouvoir entre le bâtonnier Chendra Kichenin et son successeur, Me Laurent Payen. Une cérémonie a été organisée jeudi soir dans le salon de l'hôtel de ville du chef-lieu. Le fameux bâton de pèlerin, sculpté à l’image de celui de Saint-Nicolas, saint-patron des juristes a été remis au nouveau bâtonnier.

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Lutte contre les dépôts sauvages de déchets : Une opération "route verte" menée sur la route des Laves

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Lutte contre les dépôts sauvages de déchets : Une opération
Le Parc national de La Réunion, la gendarmerie, la police municipale de Saint-Philippe et de Sainte-Rose, la CASUD, la CIREST ont uni leur force pour lutter ce vendredi 24 novembre contre les dépôts sauvages de déchets sur le territoire de La route des Laves. A l'instar des opérations "route bleue" menées par la gendarmerie, les partenaires ont décidé de mener ensemble des opérations "route verte".

La première opération "route verte" a été réalisée ce vendredi entre 14h00 et 19h00 sur la RN2 dans le Grand Brûlé.

L'axe routier entre Sainte-Rose et Saint-Philippe, la route des laves, est un itinéraire à fort potentiel touristique et pédagogique. En effet, il dispose de millésimes de coulées volcaniques (Notre-Dame des Laves 1977, Coulée 1986, 2007, 2004, 1998, la vierge au parasol) permettant de comprendre le fonctionnement du massif du volcan "Piton de La Fournaise" dans ses facettes littorales et les liens d'histoire et de vie que les habitants entretiennent avec le volcan.

Le Grand-Brûlé, composante majeur de ce territoire, classé parc national et inscrit sur la liste des biens naturels du patrimoine mondial de l'humanité, présente des paysages remarquables du point de vue esthétique. Chaque coulée est un spectacle féerique et un événement rappelant aux Hommes les défis qu’ils ont à relever pour occuper et vivre sur le territoire d’un volcan vivant. Aussi, le Parc national anime avec l'ensemble des acteurs réunionnais, un projet de mise en découverte de la Route des laves pour en faire une vitrine touristique internationale pour La Réunion.

Or, l'image du Grand Brûlé est ternie par des dépôts volontaires de déchets et l'abandon d'animaux domestiques au bord de la route. Malgré les campagnes de sensibilisation, près de 30 m³ de déchets, soit 5 tonnes, ont déjà été évacués lors d'opérations citoyennes de Gran Met Propre en septembre 2017. L’abandon de déchets en milieu naturel constitue une atteinte au patrimoine paysager et au cadre de vie. En outre, les déchets alimentaires, bien que biodégradables, favorisent la prolifération des rats, des chiens et des chats errants qui représentent un danger pour les visiteurs.

Au regard de ces enjeux, le Parc national de La Réunion, la gendarmerie, la police municipale , les communes de Saint-Philippe, de Sainte-Rose, la CASUD, la CIREST et l'Etat ont décidé d'agir conjointement et de façon régulière.

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