À la une du Journal de l’île ce dimanche, focus sur Bernard Grondin, militant indépendantiste réunionnais, devenu "chef de l’Etat réunionnais" le 5 novembre dernier lors de "Lasanblé Kontkolonial" de son parti. Dans un long entretien au JIR, il livre sa vision d’une Réunion indépendante, "libérée" du joug "colonial" de l’Etat français.
De son côté, Le Quotidien revient sur le conflit entre la famille Adekalom, qui vit dans la zone très convoitée de l’Etang-Salé, et l’administration, qui risque de l’expulser pour faire place à un futur complexe-golf de 115 hectares. "Après la génération de Thérésien, c’es celle de Nicolas qui se retrouve confrontée à la menace d’une expulsion qui ne dit pas son nom", écrit le média.
De son côté, Le Quotidien revient sur le conflit entre la famille Adekalom, qui vit dans la zone très convoitée de l’Etang-Salé, et l’administration, qui risque de l’expulser pour faire place à un futur complexe-golf de 115 hectares. "Après la génération de Thérésien, c’es celle de Nicolas qui se retrouve confrontée à la menace d’une expulsion qui ne dit pas son nom", écrit le média.
FAITS-DIVERS
Déjà condamné à 12 ans de réclusion criminelle en première instance pour le viol d’une auto-stoppeuse en juillet 2014, un Tamponnais âgé d’une trentaine d’années a écopé hier d’une peine plus sévère en appel. Sa peine a été alourdie d’un an. Au cours de ce procès en appel, le prévenu était particulièrement "virulent" dans sa défense nous apprend le Journal de l’île, assurant aux robes noires que la victime était consentante pour une relation sexuelle tarifée. Or, la victime a indiqué péniblement à la cour qu’elle avait refusé les avances du Tamponnais, avançant qu’elle avait le Sida pour lui faire peur, mais que cela n’avait pas réfréné les pulsions de son agresseur. N’exprimant aucun remords ni regrets, le détenu n’a pas été acquitté par le tribunal, qui a alourdi sa peine d’une année supplémentaire.
Deux chauffeurs de bus de l’Est de l’île ont été contrôlés positifs à des stupéfiants hier lors d’une opération menée par les forces de l’ordre aux abords des établissements scolaires de Bras-Panon, Salazie, Saint-Benoît, Sainte-Marie, Sainte-Suzanne et La Plaine-des-Palmistes. Plus de 175 bus ont été contrôlés lors de ces contrôles nous apprend la presse écrite du jour. Hormis les deux chauffeurs contrôlés positifs aux stupéfiants, aucun chauffeur n’a été alcoolisé. Le gendarmes ont tout de même relevé 42 infractions, pour des éléments de sécurité manquants principalement.
Déjà condamné à 12 ans de réclusion criminelle en première instance pour le viol d’une auto-stoppeuse en juillet 2014, un Tamponnais âgé d’une trentaine d’années a écopé hier d’une peine plus sévère en appel. Sa peine a été alourdie d’un an. Au cours de ce procès en appel, le prévenu était particulièrement "virulent" dans sa défense nous apprend le Journal de l’île, assurant aux robes noires que la victime était consentante pour une relation sexuelle tarifée. Or, la victime a indiqué péniblement à la cour qu’elle avait refusé les avances du Tamponnais, avançant qu’elle avait le Sida pour lui faire peur, mais que cela n’avait pas réfréné les pulsions de son agresseur. N’exprimant aucun remords ni regrets, le détenu n’a pas été acquitté par le tribunal, qui a alourdi sa peine d’une année supplémentaire.
Deux chauffeurs de bus de l’Est de l’île ont été contrôlés positifs à des stupéfiants hier lors d’une opération menée par les forces de l’ordre aux abords des établissements scolaires de Bras-Panon, Salazie, Saint-Benoît, Sainte-Marie, Sainte-Suzanne et La Plaine-des-Palmistes. Plus de 175 bus ont été contrôlés lors de ces contrôles nous apprend la presse écrite du jour. Hormis les deux chauffeurs contrôlés positifs aux stupéfiants, aucun chauffeur n’a été alcoolisé. Le gendarmes ont tout de même relevé 42 infractions, pour des éléments de sécurité manquants principalement.
JUSTICE
Ça bouge du côté des avocats. Comme relaté par Le Quotidien, les robes noires du barreau de Saint-Denis, "ont décidé de renouer avec la tradition et les symboles" lors de la passation de pouvoir entre le bâtonnier Chendra Kichenin et son successeur, Me Laurent Payen. Une cérémonie a été organisée jeudi soir dans le salon de l'hôtel de ville du chef-lieu. Le fameux bâton de pèlerin, sculpté à l’image de celui de Saint-Nicolas, saint-patron des juristes a été remis au nouveau bâtonnier.
Ça bouge du côté des avocats. Comme relaté par Le Quotidien, les robes noires du barreau de Saint-Denis, "ont décidé de renouer avec la tradition et les symboles" lors de la passation de pouvoir entre le bâtonnier Chendra Kichenin et son successeur, Me Laurent Payen. Une cérémonie a été organisée jeudi soir dans le salon de l'hôtel de ville du chef-lieu. Le fameux bâton de pèlerin, sculpté à l’image de celui de Saint-Nicolas, saint-patron des juristes a été remis au nouveau bâtonnier.
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