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[VIDEO]Une unité de police à VTT en renfort sur le front de mer de St-Pierre

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[VIDEO]Une unité de police à VTT en renfort sur le front de mer de St-Pierre
La commune de Saint-Pierre se dote d’une brigade de police en VTT. Une unité composée de 10 hommes. Leur mission : renforcer la présence des forces de l’ordre sur tout le front de mer et le centre-ville. Il s'agit de la première unité équipée de vélo à assistance électrique à La Réunion. "Une police plus proche de la population, plus équipée, dotée de moyens d’intervention", se félicite Michel Fontaine, maire de St-Pierre. 

La ville qui est "quelque part un peu victime de son succès, avec sa station balnéaire et l’attractivité de son centre-ville". Cette "approche innovante et pragmatique" soulignée par Vincent Lagoguey, sous-préfet de St-Pierre, "illustre la volonté du gouvernement de proposer une police adaptée aux réalités du terrain". 


La brigade sera déployée 7 jours sur 7, uniquement en journée, pour des questions de sécurité, dans les secteurs concernés dès ce mercredi. 

Pour les policiers, les déplacements à vélo permettront ainsi de " donner une image plus dynamique" et d’apparaitre "plus proche des jeunes".   

Coût de ces 10 vélos à assistance électrique d’une autonomie de 120 kilomètres en mode économique et 60 en mode sport : 2 700 euros l’unité, sans compter la maintenance réalisée par une entreprise St-Pierroise. 

Avec l’installation des caméras de surveillance, 250 à l’horizon 2020, la brigade vient ainsi compléter "le maillage en matière de sécurité et de prévention de la délinquance". Sur le territoire, selon les dernières statistiques, les atteintes aux personnes et aux biens sont en recul, affirme le commissaire Sébastien Abadie. 

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Fossoyeur égorgé: Les dalons d'Hubert Leste jugés coupables pour non dénonciation de crime

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Fossoyeur égorgé: Les dalons d'Hubert Leste jugés coupables pour non dénonciation de crime
Vous-vous souvenez peut-être de l’affaire du f ossoyeur Patrick Dijoux retrouvé enterré chez son dalon à Saint-André en décembre 2014. Pour rappel, le 21 décembre, un coup de fil de la belle-mère du coupable, Hubert Leste, avait alerté la police sur un homicide qui se serait produit lors d’une soirée chez lui deux jours auparavant. En effet, en inspectant les lieux, les forces de l’ordre avaient aperçu un pied dépassant d’une monticule d’herbes dans la cours d’Hubert Leste.
 
Deux jours auparavant, une dispute entre les deux hommes avait éclaté lors d’une soirée bien arrosée. Après l’avoir frappé par derrière à deux reprises sur la tête avec une barre de fer, Hubert Leste - alors que la victime était par terre déjà grièvement blessée rampant au sol - l’avait égorgée. Jugé aux Assises en mars dernier, il avait écopé de 20 ans de réclusion criminelle.
 
Il ne s’agissait donc pas de son procès ce mardi. Devant le tribunal correctionnel se tenaient trois prévenus, présents au moment des faits, mais qui n’ont pourtant alerté aucun pompier ni aucune force de l’ordre. Isabelle F., 25 ans au moment des faits, voyant que la victime avait reçu deux coups à la tête, avait jugé qu’il était plus prudent de partir. Son conjoint, Romain D., 19 ans, est ensuite arrivé sur les lieux. Ayant laissé une clé USB sur place, le couple retourne sur les lieux et constatent les dégâts : Patrick Dijoux, égorgé, dans une marre de sang. Le troisième prévenu, Jordan C., 19 ans, arrive plus tard et se retrouve témoin de la même scène.
 
Les prévenus étaient donc devant le tribunal pour non dénonciation de crime, la qualification de non assistance à personne en danger ayant été abandonnée ; la victime étant décédée au moment des faits. C’est ce que souligne d’ailleurs Me Julien Barraco, avocat de Romain D. : "Lorsqu’ils ont vu la scène, c’était trop tard, il n’y avait plus rien à faire", explique-t-il avant de demander la relaxe pour son client, caractérisant les prévenus de "victimes", au vu de "l’image traumatisante qui restera gravée".
 
Si le procureur n’a pas été sensible à cet argument, il a néanmoins retenu l’élément de peur "de la famille Leste" et le fait que les parents du jeune Jordan C. lui avaient interdit d’informer les forces de l’ordre, qui "n’excusent en rien mais explique". Il a donc requis 2 à 3 mois de prison avec sursis pour les trois prévenus.
 
Ils ont finalement été condamnés à deux mois avec sursis.
 
"Un parcours judiciaire éprouvant pour les proches de la victime", selon les avocats des parties civiles, qui rappellent les jugements aux Assises, au tribunal pour enfant puis en correctionnel. Une histoire qui a pris fin ce mardi.

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Un tueur en série mangeait ses victimes avec de l’ail et du persil

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Un tueur en série mangeait ses victimes avec de l’ail et du persil
La cour d'Assises des Alpes-Maritimes juge actuellement Michel Lambin, 67 ans pour avoir assassiné un gardien d'école en 2002. 

Son ex-compagne, Nicole Rossi, témoigne à la barre ce lundi. Elle dit avoir vécu avec lui pendant 25 ans. Lors d'un interrogatoire en 2009, elle révèle lui imputer 9 autres meurtres mais les faits étaient déjà prescrits à l'époque. 

Elle dira de son ancien concubin qu'il est "le mal incarné", "un fétichiste". Elle explique aussi qu'il gardait toujours une partie de ses victimes : "si ce n’était pas la tête, c’était les pieds, et si c’était pas les pieds, c’était encore autre chose" dit elle. 

Elle l'accuse ensuite d'avoir tué son beau frère avant de le cuire à la cocotte-minute. Ce serait sa deuxième victime. 

Elle affirme ensuite devant les jurés ébahis : "Je sais que ça va paraître incroyable, mais il bouffait des morceaux de ses victimes, avec de l’ail et du persil, et il me disait que cela n’avait rien à voir avec la viande, que c’était d’une délicatesse". 

Avant d'ajouter : "Ce n’est pas un tueur à gages, c’est un tueur en série, et s’il venait à être relâché, il ne fera rien d’autre que de me découper en morceaux, vivante, il me l’a dit à Caussols". 

C'est donc un début de procès riche en accusations qui va durer 10 jours. L'accusé connaîtra la sentence le 22 décembre prochain. 

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[VIDEO]St-Pierre : Une journée de sensibilisation à l'accueil des personnes à mobilité réduite

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[VIDEO]St-Pierre : Une journée de sensibilisation à l'accueil des personnes à mobilité réduite
Parcours en fauteuil roulant, en canne et bandeau, découverte auditive…Ce mardi à St-Pierre, se tenait la Journée de sensibilisation à l’accueil des personnes à mobilité réduite dans les Etablissements Recevant du Public (ERP). L’objectif est ici de sensibiliser les agents aux bonnes pratiques d’accueil dans tous les sites de la mairie de la ville. 

Sur la commune, 98 ERP sont inscrits à l’agenda d’accessibilité programmé (Ad'AP) permettant d’entrer en conformité avec la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Plus de 511 places de stationnement handicapé ont été ainsi répertoriées sur le territoire dont 120 en centre-ville.


Des travaux ont déjà été réalisés "quelques rues, routes avec des trottoirs adaptés. Nous avons également quelques sites qui ont été mis aux normes d’accessibilité depuis 2014", précise Marie-Thérèse Bonne, adjointe déléguée en matière d’handicap et d’accessibilité à la mairie de St-Pierre. Pour autant "le parc de bâtiments est important"

​L’Ad’AP de la collectivité prévoit l’étalement de la mise aux normes des ERP sur une période de 10 ans pour un coût total de 10 millions d’euros. 

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[JEU] La sortie du mercredi : STAR WARS 8

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Valable du 13/12/2017 au 19/12/2017
Synopsis
[JEU] La sortie du mercredi : STAR WARS 8
SCIENCE-FICTION  |  DURÉE : 2h30


 

Bande annonce …

Pour jouer …
[JEU] La sortie du mercredi : STAR WARS 8
Pour jouer, envoyez PALMES au 7388
( 2x0,65€ + prix d’un sms)
et gagnez un pass pour 2 personnes
sur le film de la semaine.

50 places à gagner par semaine
 
Zinfos 974 n’est pas responsable de la déprogrammation éventuelle d’un film.

Pour retirer vos places, c’est très simple, présentez vous muni de la pièce d’identité du gagnant chez notre partenaire
Les places sont à retirer 15 jours maximum après le tirage au sort.

Bubble Tea (à l’angle de l’Avenue de la Victoire et  de la rue Labourdonais à Saint-Denis)
Téléphone : 02 62 93 48 79
Horaires :
11h30-20h00 du mardi au jeudi
11H30-22h00 le vendredi et samedi
15h00-19h00  le dimanche

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[REVUE DE PRESSE] Mercredi 13 décembre 2017

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À la Une du JIR ce mercredi, la descente aux enfers d'une assistante maternelle, qui se dit persécutée par Nassimah Dindar. Le Quotidien titre lui sur la pétition en ligne contre les sacrifices d'animaux dans les cérémonies tamoul.
[REVUE DE PRESSE] Mercredi 13 décembre 2017
Faits divers

Trois jeunes majeurs ont été condamnés à de la prison ferme hier, pour deux braquages commis en mars 2017, à main armée. Si leur butin est maigre, 57€ et des viennoiseries, soit la caisse d'une pizzeria et l'étal d'une boulangerie. L'un des prévenus avait déjà été condamné à 4 ans de prison pour évasion avec violence, il y repart pour 4 ans. Les deux autres, inconnus de la police, écopent d'un an ferme chacun. 

Un homme de 42 ans s'est sectionné avec un sabre la moitié des doigts hier à la Plaine des Palmistes. Il a dû être héliporté au CHU.
 

[REVUE DE PRESSE] Mercredi 13 décembre 2017
Société

Les anciens de l'ARAST étaient en cour d'appel hier, ils demandent un reclassement au sein du département, ce que celui-ci leur refuse. Une affaire qui dure depuis 10 ans, et dont le délibéré est fixé au 27 mars prochain.

Trois nouveaux prototypes de filets sont en cours d'installation à Boucan Canot, en vue de tests de solidité. Ils seront évalués dans six mois, par le CRA.

 

[REVUE DE PRESSE] Mercredi 13 décembre 2017
Politique

Le budget de la région dépassera le milliard d'euros en 2018, mais des restrictions budgétaires sont prévues, sur les frais de fonctionnement, mais aussi sur les investissements.

Saint-Joseph intègre le parc national, décision votée hier lors du conseil municipal, malgré les réticences de l'opposition quant aux contraintes liées au parc, qui s'est abstenue, et de certains membres de la majorité. 

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Quelques gestes éco-citoyens pour un quotidien durable

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Quelques gestes éco-citoyens pour un quotidien durable
Saviez-vous que vos appareils consomment 10% d’électricité en plus lorsqu’ils sont en veille ? Saviez-vous également que 10 000 litres d’eau sont gâchés tous les ans lorsque l’on se brosse les dents?

La SPL Energies Réunion a réalisé un spot d’information afin de sensibiliser sur les économies d’énergie que tous, petits et grands, pouvons réaliser au quotidien.


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Découvrez et réservez vite les deux Zarlor à partager ce mois-ci !

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Le mois de décembre est le mois de la gourmandise, du partage et de la convivialité. Vous serez comblés avec ces deux trésors – Zarlor – que propose l’Office de Tourisme Intercommunal de l’Ouest (OTI Ouest).
Découvrez et réservez vite les deux Zarlor à partager ce mois-ci !

Samedi 16 décembre : Vien Manz in gazon dann fon la rivière

En famille ou entre amis, cette journée est faite pour vous…

Partez pour une balade découverte d’1h30, accompagnés de notre éclaireur de l’Ouest Clovis, dans le lit de la Rivière-des-Galets, entre les remparts de Dos d’Âne et de Sans Soucis, avec en prime une vue panoramique sur les pitons et îlets du cirque de Mafate. Vous pourrez vous rafraîchir dans un des bassins frais qu’offre la rivière. Un vrai délice !

Après cette balade, vous ferez une pause bien méritée autour d’un pique-nique traditionnel, au bord de la rivière : marmites, carris, riz, vous attendront, préparés pour vous spécialement par un gîte de Mafate, qui aura fait le déplacement pour l’occasion !
L’aller et le retour jusqu’au point de départ de la balade se feront en 4×4 !

► Les places sont limitées à 30 personnes afin de rester dans une ambiance conviviale.
Pour les enfants de moins de 6 ans, il faut prévoir de les porter dans un porte enfant spécial marche.
Tarifs : 55€ par adulte / 43€ entre 9 et 11 ans / 26€ entre 6 et 8 ans

Découvrez et réservez vite les deux Zarlor à partager ce mois-ci !

Dimanche 17 décembre : Nout Racine – Senteurs et saveurs de Bourbon

  Voilà une façon originale de découvrir les traditions et les coutumes de la vie "lontan" avec ce Zarlor nout racine.
Vous plongerez dans ce que notre île a de plus intime et de plus authentique : le goût péi.

Tout d’abord partez à la (re)découverte des fruits et légumes lontan, jadis bannis de nos assiettes, parce que considérés comme "mangé la misère", dans un authentique jardin créole : "Le Kan des Marrons ".
Puis vous serez incollables sur le petit trésor réunionnais : le café Bourbon Pointu.
 Avec la visite de la café-hier vous serez immergés dans l’histoire, les cultures, les étapes de la préparation et la dégustation du café. Le "Bourbon Pointu" est classé parmi les meilleurs cafés du monde !
Cette journée ne pouvait se finir que par un déjeuner créole traditionnel (entrée + riz,grains, carri + dessert).
► Tarifs : 49€ par adulte / 33€ par enfant (de 6 à 11 ans)
Les places sont limitées… Réservez vite ces deux rendez-vous :
• auprès de l’Office de Tourisme Intercommunal de l’Ouest  au 0810 797 797 (service 0,054 € / min + prix d’un appel local)
• ou directement en ligne : www.ouest-lareunion.com

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Révision de la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE) de la Réunion

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Révision de la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE) de la Réunion
Pour la période 2019 – 2028


I – Objet de la programmation pluriannuelle de l’énergie

Cadre réglementaire

La programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) est instituée par la loi n°2015-922 relative à la transition énergétique pour la croissance verte, promulguée en août 2015.
Elle constitue le volet opérationnel « Énergie » du schéma régional climat air énergie de la Réunion (SRCAE), adopté en décembre 2013.

Objet

La PPE précise les objectifs des politiques énergétiques régionales, sur l’ensemble des usages (électricité, transport, chaleur et froid), hiérarchise les enjeux, identifie les risques et difficultés associés et permet ainsi d’orienter les travaux des années à venir pour la gestion de l’ensemble des énergies sur le territoire de la Réunion.

Calendrier d’élaboration de la PPE en vigueur 2016 – 2023

La loi prévoit que la PPE est co-élaborée par l’État et la Région. À la Réunion, les travaux d’élaboration se sont déroulés sous l’égide de la Gouvernance Énergie de la Réunion qui rassemble l’État, la Région et le Département, EDF, le Sidelec, l’Ademe et les acteurs du domaine de l’énergie, au premier semestre 2015.
Après les phases de consultation, la PPE a été approuvée par le conseil régional en décembre 2016 et par décret interministériel en avril 2017.

II – Synthèse de la programmation pluriannuelle de l’énergie de la Réunion en vigueur 2016 – 2023

II.1 – La situation énergétique de la Réunion en 2015

L’île est contrainte d’importer massivement des ressources fossiles (charbon et fioul) pour ses approvisionnements énergétiques.
Schématiquement, les usages énergétiques se répartissent entre 3/5 pour le transport, 1/4 pour l’électricité, 7,5 % pour la chaleur et quelques autres usages. Ils dépendent à 86 % des importations de produits énergétiques par la Réunion.

 Concernant la production électrique :
La part des énergies renouvelables (ENR) est significative et varie autour de 35 % dans le mix électrique.
 
II.2 Objectifs de maîtrise de la demande d’énergie électrique de la PPE en vigueur 2016-2023

Les projets identifiés pour contribuer à l’amélioration de l’efficacité énergétique sont notamment des projets de réseaux de froid et de climatisation à l’eau de mer des grandes profondeurs, de production solaire thermique, d’isolation, d’équipement des ménages (éclairage, électroménager) moins énergivore, des projets emblématiques de bâtiments tertiaires bioclimatique.
La PPE en vigueur 2016 – 2023 fixe un objectif de réduction de la consommation électrique de 360 GWhélec, chaque année à partir de 2023.

II.3 – Développement des énergies renouvelables dans la PPE en vigueur 2016 – 2023 
 
Les principaux projets identifiés par la PPE en vigueur de développement des énergies renouvelables à l’horizon 2020 sont : 

- l’adaptation des moyens de production pour la combustion de plaquettes bois et d’autres combustibles renouvelables ou de récupération dans les centrales thermiques du Gol et de Bois Rouge ; 

- les projets de production photovoltaïques avec stockage, dans le cadre d’appels d’offres régionaux permis par la publication de la PPE ; 

- la modernisation et l’extension du parc éolien.

II.4 – Sécurité énergétique – production à partir d’énergies fossiles

Le développement de moyens de production de pointe et de secours, afin d’assurer la sécurité d’approvisionnement du système électrique, s’avérant indispensable, la PPE prévoit à l’horizon 2018 l’implantation d’une turbine à combustion, dans le sud, devant fonctionner à partir de 80 % d’énergie renouvelable (sur la base d’un fonctionnement de 800 heures par an). Une vigilance particulière est portée au mode de production de ce bioéthanol.

Insertion des ENR intermittentes : Le développement des ENR intermittentes fait peser des risques importants sur le système électrique réunionnais. En effet, l’intermittence du photovoltaïque conduit à diminuer l’inertie du système électrique. Le seuil de déconnexion des ENR intermittentes (principalement photovoltaïque et éolien sans stockage) était de 30 % de la puissance produite instantanée injectée dans le réseau. Il doit évoluer progressivement pour atteindre 35 % en 2018 et viser 45 % à l’échéance de 2023.

II-5 – Transport dans la PPE en vigueur 2016 – 2023 

Basés sur le schéma régional des infrastructures et des transports (SRIT) de la Réunion de 2014, les objectifs de l’évolution des modes de déplacement sont : 

- augmentation significative de la part des transports en commun, de 6 % aujourd’hui à 8 % en 2018 et 11 % en 2023 ; 
- baisse de la consommation des énergies fossiles du secteur des transports terrestres, de 4 % en 2018 et 10 % en 2023 par rapport aux consommations de 2014.

Pour atteindre ces objectifs, la PPE en vigueur 2016 – 2023 prévoit l’amélioration de l’offre des transports collectifs, le développement des modes doux et du transport par câble, l’amélioration de la logistique urbaine et la promotion de la mobilité électrique adaptée.
S’agissant de la mobilité électrique : l’énergie électrique du réseau étant encore trop carbonée, chère à produire et fortement subventionnée, le modèle économique proposé dans le cadre de la PPE en vigueur 2016 – 2023 consiste à charger les véhicules électriques par des bornes alimentées à partir d’énergies renouvelables.

 
Conclusions

Les objectifs de maîtrise de la demande d’énergie, de déploiement des énergies renouvelables doivent permettre d’améliorer significativement le taux d’indépendance énergétique de la Réunion. Celui-ci devrait passer de 16 à 27 % en 2023, ou, en ne considérant que l’usage électricité, de 38 à 72 % en 2023.


III – Mise en œuvre de la PPE sur 2016 – 2017

- le photovoltaïque : les résultats de l’appel d’offres de la CRE en août 2017 pour la Réunion sont les suivants : 

- Pour les installations photovoltaïques équipées de dispositifs de stockage (batteries) : une vingtaine de projets lauréats pour une puissance de 25 MWc environ ;
- Pour les installations en autoconsommation : 13 projets lauréats, pour 4,5 MWc en autoconsommation.

- EDF a présenté des études préalables pour l’optimisation des centrales hydroélectriques de Takamaka ; 

- Biomasse : l’État et le Conseil régional élaborent un schéma régional biomasse, qui précise les objectifs et les modalités de mobilisation de la biomasse pour l’énergie. Le projet de schéma sera arrêté début 2018. Le SRB tiendra lieu de plan de mobilisation de la biomasse (au titre de l’article L141-5 II 4° du code de l’Énergie), annexé à la PPE 2019 – 2028 ; 

- Un appel d’offres est en cours pour 5 MW de stockage centralisé sur le réseau électrique haute tension, afin d’augmenter l’insertion des énergies renouvelables intermittentes ; 
- Sécurité d’approvisionnement dans l’Ouest et le Sud : le chantier de turbine à combustion fonctionnant au bioéthanol, est bien avancé, avec une mise en service prévue en mars 2018.


IV – Révision de la PPE pour la période 2019 – 2028

La loi de Transition énergétique prévoit une révision régulière de la programmation pluriannuelle de l’énergie, pour aller vers une autonomie énergétique en 2030 dans les DOM.
À l’occasion de cette révision, les réflexions porteront plus particulièrement sur : 

- Des objectifs ambitieux à atteindre en matière de transport et de déplacement : part croissante des transports collectifs, développement des véhicules électriques et d’un réseau de bornes de charge ; 
- Les objectifs et les moyens de maîtrise de la demande d’énergie, afin de réduire la consommation ; 
- Le développement des énergies renouvelables, notamment en favorisant l’insertion des énergies dites intermittentes, comme le photovoltaïque (énergie solaire) ; 
- Le développement des moyens de production de pointe et de secours, nécessaires pour assurer la sécurité d’approvisionnement du système électrique.

Cette PPE devra s’appuyer sur le Bilan prévisionnel 2017 d’EDF, qui prend en compte le système électrique, le parc de production, la consommation et les besoins de production électrique.


V – Information et contributions du public
 
Vous pouvez apporter vos contributions et vos questions par écrit, à l’adresse e-mail suivante :
consultation-ppe-reunion@developpement-durable.gouv.fr
jusqu’au 31 janvier 2018 inclus

 Votre contribution sera transmise au comité de rédaction de la PPE de La Réunion.
Vos questions alimenteront une foire aux questions (FAQ) qui sera mise à jour régulièrement sur le site Internet de la DEAL, à l’adresse suivante :
http://www.reunion.developpement-durable.gouv.fr/programmation-pluriannuelle-de-l-energie-ppe-r336.html

Le projet de PPE 2019 – 2028 fera également l’objet d’une consultation de l’Autorité environnementale au 3e trimestre 2018 et d’une consultation du public fin 2018.

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Une famille a tout perdu dans l'incendie de sa maison à St-Joseph

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Une famille a tout perdu dans l'incendie de sa maison à St-Joseph
Une maison s'est embrasée hier en fin d'après-midi dans le quartier des Jacques à St-Joseph. 

La famille Payet a tout perdu. Le fils adolescent s'en est sorti in extremis, il n'avait pas compris ce qu'il se passait chez lui.  

Oiseaux, chien, tortue... Tous les animaux sont morts.

Un élan de solidarité s'est immédiatement mis en marche afin d'aider la famille.

Une famille a tout perdu dans l'incendie de sa maison à St-Joseph

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Tu es lycéen, lycéenne ? Participe au concours culture !

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Tu es lycéen, lycéenne ? Participe au concours culture !
"Projets innovants"

RÈGLEMENT DU CONCOURS


ARTICLE 1 : L’ORGANISATEUR

Le concours est organisé par le Conseil Régional de La Réunion, Hôtel de Région Pierre Lagourgue
Avenue René Cassin
BP 67190 - 97801 Saint-Denis cedex 9.


ARTICLE 2 : CONDITIONS DE PARTICIPATION

La participation à ce concours est gratuite et réservée aux lycéens sans condition d’âge, scolarisés dans un établissement public ou privé.
Les participants devront réaliser un projet innovant à caractère culturel autour de la culture réunionnaise.
Ils sont libres quant à la façon de traiter le sujet. Le projet peut être réalisé seul ou en groupe constitué de 6 personnes maximum.


ARTICLE 3 : PARTICIPANTS MINEURS

Dans l’hypothèse où les élèves participant au concours seraient mineurs lors de leur participation, une autorisation de participer au concours doit être signée par (le ou les) titulaire(s) de l’autorité parentale.
Le (ou les) titulaire(s) de l’autorité parentale doit (doivent) accepter d’être garant(s) du respect par le participant (lycéen) de l’ensemble des dispositions liées au concours.
Le formulaire d’autorisation parentale devra être remis signé en même temps que le dossier projet établi et transmis à la collectivité.


ARTICLE 4 : MODALITÉS DU CONCOURS

Pour concourir, les participants devront faire parvenir, à la collectivité, le formulaire d’inscription qui devra être validé par le chef d’établissement. Ce formulaire devra s’accompagner d’une production écrite détaillée sur le projet innovant envisagé.
Les participants ont l’entière liberté de choix quant à la façon de traiter le thème imposé « autour de la culture réunionnaise », sous réserve du respect des lois et règlements en vigueur et plus généralement des dispositions relatives à l’ordre public et aux bonnes moeurs.

Les projets proposés peuvent s’inscrire dans les domaines du spectacle, des arts plastiques, de la photographie, du cinéma, de l’art vidéo, de l’art numérique, de la littérature, …

Pour participer à ce concours, le (ou les) candidat(s) suivra (ont) les étapes suivantes :

- Début des inscriptions le 8 décembre 2017 et clôture le 5 février 2018 :
1- Remplir le formulaire d’inscription téléchargeable sur le site www.regionreunion .com

2- Remplir les documents : autorisation parentale pour les participants mineurs, droit à l’image pour les personnes apparaissant dans les vidéos ou photos, téléchargeable sur le site www.regionreunion. com

3- Transmettre avant la date du 05 février 2018 les pièces justificatives citées aux points 1 et 2 ci-dessus, accompagnées du dossier détaillé du projet aux adresses électroniques suivantes :

- veronique.leconstant @cr-reunion.fr 
- wendy.larisson@cr-reunion.fr

- Présélection des projets :
Le jury, composé de représentants du Conseil Régional, de l’Académie de La Réunion et d’un artiste local, présélectionnera parmi l’ensemble des projets reçus, au maximum 10 projets.
La présélection des 10 projets se fera à la date du 12 février 2018.

Ces projets seront évalués selon les critères suivants : 

- la qualité du contenu 
- la créativité et l’originalité du projet 
- les moyens et le délai de mise en oeuvre

Chaque équipe présélectionnée devra remettre sa production dans sa version définitive, au plus tard le 16 avril 2018, afin d’être convoquée pour une présentation devant le jury. Le projet devra comprendre le parrainage d’un artiste local.
Les équipes seront informées par courriel de la date et heure de cette présentation.

Délibération du jury :
A l’issue de cette présentation, le jury délibérera et désignera les lauréats pour une remise des prix au cours du mois d’avril 2018.
Les lycées et les lauréats seront informés par courriel.

 
ARTICLE 5 : PRIX

Les 3 meilleurs projets se verront attribuer un prix. Le jury, constitué à cet effet, se réserve le droit de récompenser les équipes les plus originales , inventives et innovantes.

Premier prix :
Un séjour à Paris qui comprend transport, séjour en pension complète et visite de musées et expositions pour le groupe et un accompagnateur Les parents s’engagent à autoriser leur enfant à participer à ces activités extra-scolaires.

Deuxième Prix :
Un séjour en Afrique du Sud (Cap Town) qui comprend transport, séjour en pension complète et visite de musées pour le groupe et un accompagnateur Les parents s’engagent à autoriser leur enfant à participer à ces activités extra-scolaires.

Troisième Prix :
Une journée qui comprend un survol en hélicoptère, restauration et visite d’un musée régional Les parents s’engagent à autoriser leur enfant à participer à ces activités extra-scolaires

 
ARTICLE 6 : REMISE DES PRIX

- Le palmarès sera prononcé en avril 2018 et les prix remis aux lauréats du concours. 
- Les prix ne sont pas échangeables et ne pourront être remplacés par une attribution pécuniaire. 
- Les projets non primés ne feront l’objet d’aucune indemnité.
A l’issue de ce concours, la région diffusera les informations liées sur le site www.regionreunion. com


ARTICLE 7 : ENGAGEMENTS ET GARANTIES

1- les groupes participants garantissent sur l’honneur être titulaires des droits d’auteurs des photos utilisées dans le cadre de leurs projets. Ils sont seuls responsables de tous droits relatifs aux images qu’ils utilisent ou présentent dans leurs projets.

2- Si les projets comportent une ou plusieurs personnes reconnaissables, elles doivent avoir obtenu au préalable l’accord de reproduction et d’exploitation de leur image, et si le sujet est mineur, l’autorisation parentale.

3- Les participants garantissent que leurs projets soumis au jury sont originaux et inédits et qu’ils sont les seuls détenteurs des droits d’exploitation liés à cette production.

4- Les participants s’engage à respecter ces obligations et à garantir aux organisateurs contre toute revendication, recours ou action de la part de tiers se prévalant de droits privatifs ou de tout autre droit sur des productions audiovisuelle ou photographiques. Tout non respect de ces obligations entraînera l’élimination du ou de(s) participant(s).


ARTICLE 8 : CESSION DE DROITS

Du seul fait d’acceptation de ce règlement, les participants autorisent l’organisateur :

- à utiliser leurs noms, prénoms 
- à utiliser leurs photos ainsi que leurs titres pour tous types d’exploitation tant actuels que futurs, sur tous supports, sans limitation d’espace et pour la durée de la propriété littéraire artistique sur la production d’après les législations tant françaises qu’étrangères et les conventions internationales actuelles ou futures, y compris les prolongations qui pourraient être apportées à cette durée.
De ce fait, toutes les productions relèvent de la propriété du Conseil Régional de La Réunion.


ARTICLE 9 : RESPONSABILITÉS

1- L’organisateur ne saurait être tenu pour responsable des retards et pertes éventuels d’envois.
2- la participation au concours implique l’acceptation pleine et entière du règlement, et oblige à chaque participant à s’interdire toute réclamation.
3- l’organisateur se réserve par ailleurs le droit de refuser tout dossier incomplet, réceptionné après la date de clôture, non conforme aux critères précédemment cités ou présentant un aspect litigieux (plagiat, caractère injurieux, contraire à l’ordre public et aux bonnes moeurs…).


ARTICLE 10 : DÉPÔT DU RÈGLEMENT

Le règlement du concours peut être obtenu gratuitement et directement à partir des sites internet dédiés à ce concours : www.regionreunion.com

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Création d'une louveterie: Une pétition pour dire "non à l'abattage des chiens par arme à feu"

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Création d'une louveterie: Une pétition pour dire
Une pétition en ligne a été lancée, ce mardi, pour dénoncer la décision du président de la CASUD, André Thien Ah Koon, de créer une louveterie à La Réunion. Selon les deux associations de protection animale, L'Arche de Freyja et le Crapa (Collectif réunionnais d’assistance et de protection des animaux) "ce permis de tuer les chiens" apparaît comme "une pratique d'un autre temps, sortie tout droit d'un film moyenâgeux". Les conséquences pourraient être "dramatiques", "avec des dérives de cow-boys qui se croyant libres d'agir en toute impunité deviendraient les bras armés de la cause anti-chiens".

Les élus auraient ainsi "laissé s’amplifier" une problématique pourtant connue depuis une vingtaine d’années alors que des "solutions douces et pacifistes, raisonnées et raisonnables" existent. Les deux associations citent notamment la verbalisation des propriétaires de chiens divagants, la condamnation des élevages "marron" qui pullulent sur les réseaux sociaux et sur les sites dits de "petites annonces" et davantage d'aides à la création de nouveaux refuges. 

Les associations comptent agir, "si nous en arrivions à une telle éventualité". Des plaintes "contre le Préfet et toutes les personnalités associées à cette démarche monstrueuse" seront déposées, avec l’appui des "grosses fondations".

A l’heure où nous écrivons ces lignes, 2 887 personnes ont signé la pétition. 

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Lettre ouverte au 1er adjoint de La Possession

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Lettre ouverte au 1er adjoint de La Possession
Cher Monsieur Hubert,

Le 30 octobre dernier avait lieu un conseil municipal au cours duquel était discutée l’attribution d’une protection fonctionnelle à la maire de la possession et à son adjointe aux affaires sociales. Cette délibération faisait suite à une enquête des services de gendarmerie dans le cadre de plusieurs plaintes pour des faits de harcèlement moral.  

A cette occasion, je suis intervenu pour contester les termes tronqués et illégaux des délibérations qui nous étaient proposées. Loin de moi l’idée de vouloir renier le droit à la protection fonctionnelle des élus.

Ma première remarque concernait la protection fonctionnelle de Madame Lauret. Cette dernière fait l’objet d’une plainte pour harcèlement moral en sa qualité de vice-présidente du CCAS et non pas en sa qualité d’adjointe au maire, aussi je me suis interrogé sur le fait de savoir ce que venait faire cette délibération au sein du conseil municipal. C’est alors que votre juriste, saisissant toute de suite la boulette commise, a immédiatement confirmé l’erreur et demandé le retrait de l’affaire concernée. Ainsi, vous n’avez pas pu à cette occasion nous démontrer l’humour décapant qui est le vôtre, ainsi que toute l’étendue de vos connaissances juridiques. Mais ce n’était que partie remise ! 

Ma deuxième remarque portait sur le caractère illégal de la mention « sous réserve que l’élue concernée ne soit pas condamnée ». En toute transparence je portais à votre connaissance une jurisprudence du Conseil d’Etat qui précise clairement qu’il n’est pas admissible « d’assortir une décision d’octroi de la protection fonctionnelle d’une condition suspensive ». Ce projet de délibération étant entaché d’illégalité, je vous demandais donc poliment de le retirer de l’ordre du jour, faute de quoi je vous informais de mon intention de saisir le juge administratif.

C’est à l’issue de mon intervention que moi, qui comme vous ai exercé les fonctions de premier adjoint au maire, j’ai reçu une véritable leçon de la grandeur qu’un titre peut conférer à un citoyen lambda. Avec l’assurance de celui qui maîtrise naturellement tout, vous m’avez demandé je vous cite : « d'arrêter de lire mes notes ». Enfin fort de votre toute puissance vous êtes allé jusqu’à demander ironiquement à « voir mon cv pour voir quel était mon niveau de compétence ». Enfin sûr de votre droit, vous avez tranché en mettant l’affaire de protection fonctionnelle au vote en me précisant « vous n’avez qu’à l’attaquer » Je ne pouvais que m’incliner humblement devant tant d’esprit.

Finalement, ce ne sera pas nécessaire que je me fatigue à attaquer la délibération en question puisque celle-ci est prévue d’être retirée, comme bien d’autres avant, lors du conseil municipal de ce mercredi pour être remplacée pour la troisième fois par une autre version. Peut-être qu’ébranlé par un moment de lucidité ou pénétré par un semblant d’humilité, vous avez enfin entendu mon argumentation ? Ainsi vous reconnaissez implicitement mon niveau de compétence et je vous en remercie. Maitrisant les principes de bienséance, je ne vous ferai pas l’offense de vous demander le vôtre, les faits parlent d’eux mêmes.  

Aussi pour vous prouver ma reconnaissance, je me propose de vous fournir quelques informations supplémentaires concernant ce projet de nouvelle délibération qui doit offrir le bénéfice de la protection fonctionnelle à la première magistrate. Ainsi avec vos confrères de la majorité, lorsque vous voterez cette affaire à l’unisson, vous ne pourrez pas dire ensuite que vous ne saviez pas !    

Tout d’abord, permettez-moi de m’interroger sur la formulation « qu’« au regard des éléments transmis, les faits pour lesquels Mme la présidente fait l’objet d’une plainte pour harcèlement moral ne peuvent être regardés comme ayant le caractère de faute détachable de l’exercice de ses fonctions etc. … » Quels éléments transmis prouveraient le caractère non détachable de ses fonctions ? Je n’en vois aucun dans vos documents. A moins que vous ne citiez le rapport au vitriol de février 2016 du Défenseur des Droits, Monsieur Jacques Toubon, qui qualifiait déjà les pratiques dénoncées par une plaignante de « faits avérés de harcèlement discriminatoire » au sein de la gestion communale.  

Les règles sont claires et les exemples ne manquent pas, la collectivité doit se positionner et décider d’accorder ou pas la protection fonctionnelle au vu des éléments du dossier dont elle dispose au moment où elle prend sa décision, où sont-ils ? 

En réalité, cette délibération tente grossièrement de manipuler la justice et l’organe délibérant du conseil municipal qui est ici instrumentalisé pour servir les intérêts personnels et politiques de la maire de La Possession. 

Enfin, avant que vous remettiez en doute mon niveau de compétence, je vous offre de quoi méditer vous et vos collègues, et faire travailler un peu plus votre service juridique « l'octroi illicite de la protection fonctionnelle peut caractériser le délit de détournement de fonds publics, Cour de cassation, chambre criminelle, 22 février 2012, N 11-81476)

Je n’ose imaginer les conséquences s’il s’avérait un jour que les faits commis étaient bien détachables de la fonction élective de la maire de la commune. Tous les votants crédules pourraient se retrouver de fait complices d’un détournement de fonds publics…Mais pour l’instant, Monsieur le premier adjoint, vous pouvez continuer à vous taper sur le ventre et à faire de l’humour gras, c’est connu, le temps judiciaire n’est pas le temps politique….A bon entendeur !   

Philippe ROBERT
Conseiller municipal d’opposition à La Possession                                                     
Conseiller Départemental 

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SIDR : Un accord trouvé entre les grévistes et la direction

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SIDR : Un accord trouvé entre les grévistes et la direction
En grève depuis lundi, les salariés de la SIDR ont trouvé un accord avec la direction ce mardi.

Soutenus par l’IUR CFDT, CFE-C et FO, ils protestaient contre le rachat de la SIDR par la SNI (Société nationale immobilière).

Les "suppressions d'emplois et perte de métiers", et l'absence "d'engagements en matière de maintien des avantages sociaux" étaient également en cause.

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​L’Usine sucrière de Stella lieu de mémoire et des souvenirs

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​L’Usine sucrière de Stella lieu de mémoire et des souvenirs
Personne ne s’attendait à que cette campagne sucrière de l’Usine sucrière de Stella de 1977 s’avérait être la dernière, mais au moins, les quelques années passées dans cette Usine, me laissent encore en mémoire, des souvenirs toujours vivants, quarante ans après sa fermeture. Une façon de rendre hommage à ces travailleurs d’Usine qui se sont battus pour sauvegarder ce site exceptionnel, emblématique de l’histoire de la Réunion et de la commune de St-Leu.

Je m’en souviens comme si c’était hier, de ce jeudi à 3h45 du matin fin décembre 1977, à peine un peu plus d’une semaine avant les fêtes de Noël, la sirène de l’Usine de Stella se mit à siffler cette  nuit là, à plusieurs reprises, avec une certaine intensité, suivie d’une séquence des gongs de la grande cloche,  suspendue dans l’enchevêtrement de poutres en fer à plusieurs croisillons, solidement bétonnés au sol, face à l’Usine. La population des quartiers avoisinants le savait, ce sont des signes habituels, annonçant la fin de la campagne sucrière.

Au cas contraire, c’était l’alerte d’un danger imminent tel qu’un feu aux alentours ou dans un champ de canne… Ce n’était pas le cas, puisque nous, de l’intérieur on regardait ces grosses machines broyant les dernières tiges s’arrêter tour à tour, jusqu’à l’extraction du dernier jus de canne transformé en sirop puis en masse cuite pour devenir quelques heures plus tard le sucre roux de l’Usine sucrière de Stella.

Jusqu’à que les bruits des machines qui s’estompaient au fur et à mesure, plongeant les divers quartiers avoisinant dans un profond et grand silence, après 4 mois d’un fonctionnement  interrompu sauf le dimanche ou en cas d’une panne, mais cette année 1977, des pannes majeures ne sont pas survenues.

Comme à l’habitude, la dernière semaine, les cannes à broyer se faisant rares de jour en jour, les propriétaires canniers retardataires se pressaient pour les dernières livraisons, attardés en raison de la pluie de saison. Dans l’ensemble, les planteurs étaient satisfaits voire heureux, d’avoir pu livrer leurs chargements de canne à temps, de plus la quantité de saccharose présente dans la canne était même en augmentation ainsi avec un bien meilleur tonnage à comparer à 1976. Tous les ingrédients pour que planteurs soient payés à bon prix en cette année 1977.

Du côté des « travayers tabisman », de cette nuit de mercredi à jeudi, l’ambiance était dans la plaisanterie à savoir le montant de la « gratification » qu’on allait percevoir en cette fin d’année, parler du voyage à l’Île Maurice qui se dessinait avec le comité d’entreprise. De plus, l’Usine avait bien fonctionné avec plus de tonnages en canne broyés et une augmentation du sucre produite par rapport l’année précédente. Peu de perte résiduelle, pas une même une journée de grève ! Chacun de nous, s’attendaient à recevoir une bonne prime de fin d’année, ce qu’on désignait familièrement « nout p’tit graton ».

Moi, je m’en souviens encore de cette dernière nuit à l’Usine, dans le laboratoire où je travaillais, il y avait un petit réchaud et chaque nuit dans des moments « creux »où il y avait moins d’analyses ou des  prélèvements à accomplir, qui servaient à tester la pureté du sucre, la viscosité du jus, la teneur du sucre dans la canne, l’analyse de la bagasse… C’est dans ces moments là, que je pouvais préparer un petit rougail de saucisses et on le mangeait avec du riz…  Mais pour cette dernière nuit, j’avais fait mijoter une bonne soupe chaude que j’avais partagé avec quelques collaborateurs, et surtout, une fois de plus avec mon père Gabriel, lui qui était le « conducteur du moulin » à quelques dizaines de mètres, moi perché un peu plus en hauteur, dans le laboratoire. Des moments privilégiés de partage inoubliables entre un père et un fils.

Mais après les congés de fin d’année agrémentés par quelques jours de vacances à l’île sœur. C’est au premier semestre de 1978, que la sentence de mise à mort de l’Usine de Stella a été annoncée et exécutée. Laissant sans voix ses « travayers tabisman », comme autant de traces inoubliables et indélébiles, d’une Usine qui a connu de très belles années d’exploitation et de rentabilité, sacrifiée au nom de la restructuration de l’industrie sucrière.

Après l’arrêt de l’activité de l’Usine, le site ayant été laissé en total abandon sur plusieurs années. Par la suite, des élus du conseil régional de l’époque nourrissaient un vaste  projet de réhabilitation. Finalement, c'est un matin du 26 juillet 1991, un moment fort de l’inauguration que la nouvelle « étoile du matin » va de nouveau se remettre à briller en devenant Musée.

Aujourd’hui, les vestiges des bâtiments, les vieilles machines, les objets inédits, les documents d’archive, les espaces muséographiques, salles d’exposition, les portraits d’anciens travailleurs exposés… permettent aux visiteurs d’associer des images concrètes aux témoignages dispensés par des hôtesses mais aussi par des « audio-guides » disponibles, ou encore avec des rencontres avec ses « travayers tabisman», la mémoire vivante restante pour ce Musée.  40 ans  jour pour jour, ce travail de mémoire m’est devenu nécessaire pour  valoriser tout un pan de notre histoire, héritage qui ne doit pas sombrer dans l’oubli.

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Etudiants de L3 STAPS du Tampon : La note de psychologie du 1er semestre sera "neutralisée"

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Parce qu’ils estiment ne pas avoir reçu les enseignements nécessaires, des étudiants de L3 STAPS du campus du Tampon ont refusé de passer l’épreuve de psychologie la semaine dernière. En cause : l’un des deux enseignants à de multiples reprises en arrêt maladie. Alertées, la présidence et la direction de l’Université de La Réunion indiquent via un communiqué que la note de psychologie du 1er semestre sera  "neutralisée".
Etudiants de L3 STAPS du Tampon : La note de psychologie du 1er semestre sera 
La semaine dernière, plusieurs étudiants de troisième année de licence Sciences et techniques des activités sportives (L3 STAPS) ont pris la décision de ne pas assister à l'examen de psychologie. En effet, pour des raisons de santé, l'un des deux enseignants de cette matière a été arrêté à de multiples reprises.

Si la présidence de l'Université de La Réunion et l'équipe de direction de la faculté Science de l'Homme et de l'Environnement renouvellent leur soutien plein et entier au collègue ne pouvant assurer les cours, elles sont conscientes du désagrément qu'engendre cette situation.  

En ce sens, une réunion d'équipe s'est tenue hier afin d'étudier les solutions à apporter pour assurer un enseignement de qualité à nos étudiants. Le deuxième maître de conférence en poste en psychologie devrait être épaulé par le recrutement d'un ou plusieurs intervenants pour le second semestre.

D'autre part, il sera proposé au président de jury de STAPS que la note de psychologie du premier semestre soit "neutralisée", afin de ne pas pénaliser les étudiants concernés.

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SVK toujours convoitée à d’autres fins

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SVK toujours convoitée à d’autres fins
Le scénario de l’Assemblée Générale Ordinaire élective de l’association Siva Vishnou Kaaly des Temples Mourougâ et Shakti de la rue Saint-Louis à Saint-Paul, fixée statutairement en cette fin d’année, en l’occurrence le 17 décembre prochain, pour le renouvellement de ses membres dirigeants, est écrit depuis bientôt huit ans. Pour ainsi dire, au lendemain même de cet avènement historique du 20 décembre 2009 !

S’il est clair, pour tout un chacun, que la rénovation, l’innovation et la reconstruction, plus que nécessaires et indispensables au sein de notre association et groupement, ne signifient réellement pas le dégagisme ! Nul ne le pense, nul ne le dit !

Par contre, cela tombe sous le sens que cette régénération, ce renouvellement, ces changements nouveaux et différents, pour personne, n’impliquent catégoriquement pas le retour indésirable des dinosaures fossilisés à maintes reprises successives déboutés par le verdict des urnes. Tout le monde le sait, tout le monde le croit et tout le monde se le dit !

Les dévots, les adhérents et les sympathisants savent parfaitement et en sont bien conscients que pour nos rituels, notamment ceux du feu sacrificatoire, il est de coutume de ne point opter pour des bois morts !

L’assemblage trompeur de ces derniers avec des jeunes morceaux, aussi prometteurs, peuvent-ils paraître, cachant à peine les rondins plus qu’usagés du fagot, ne donnera jamais le bon bûcher escompté !

Nos divers récits du « Maga Barldon » nous enseignent que la peau de brebis que se drapent épisodiquement toutes créatures au dessein malintentionné n’est qu’illusion, astuce grossière et stratégie vaine à effet boomerang.

Pour preuve, avant même la tenue des consultations, des esprits encore une fois bernés, n’ont été qu’éphémèrement dupés et reconnaissent qu’en démocratie, ici associative, le retour – non cautionné, donc ! - de dirigeants jadis désavoués constitue une réelle menace. D’autant que manifestement ceux-là ne semblent guère être guéris, malgré leur longue convalescence, de leur syndrome belliqueux et hégémonique cultivant division, exclusion et exclusivité …

Les craintes des ceux qui redoutent que ces « voix de leur Maître », ces copies conformes à leurs originaux, seront autant panurges que furent leurs créateurs, revenants également, trente ans durant sous les mandatures passées, sont réellement fondées.

Dommage, vraiment dommage que nul ne parle de véritable rassemblement et d’ouverture large et réelle. La politique politicienne et les exploitations éhontées des querelles et mésententes des familles risquent aussi de revenir au galop pourrir la sérénité des lieux. Au grand dam de la démocratie et de la spiritualité. Il ne reste plus à chacun des adhérents de choisir en leur âme et conscience !

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Forte hausse de l'emploi salarié dans l’industrie touristique : +33,4% entre 2008 et 2016

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Forte hausse de l'emploi salarié dans l’industrie touristique : +33,4% entre 2008 et 2016
L'emploi salarié dans l'industrie touristique à La Réunion se porte bien. Dans son bulletin annuel publié en octobre dernier, l'Observatoire régional du tourisme rapporte que notre département enregistre une forte croissance des emplois dans ce secteur, avec une hausse de 33,4% entre 2008 et 2016. Au total, 11 239 personnes étaient salariées dans ce secteur en 2016, soit 2 813 emplois de plus qu'en 2008.

Les chiffres de La Réunion représentent deux fois les chiffres de la Martinique ou et de la Guadeloupe et cinq fois ceux de la Guyane rapporte l'observatoire.

Ainsi, en 8 ans, le nombre d'entreprises de l'industrie touristique a globalement progressé : +31,5%, avec une croissance annuelle de 3,1%. Si l'activité "Transports" stagne à 50 établissements par an en moyenne, l'activité "Hébergements" (123 établissements) retrouve ses scores de 2008 et de 2012.

Mais la vraie satisfaction vient de la branche "Restauration". En effet, les entreprises de ce secteur représentent près de 70% des établissements de l'industrie touristique en 2016 avec 1 054 entreprises. Avec celles de l'hébergement (8%), elles détiennent les plus grandes parts de marché. À noter que depuis 2008, l'activité "Loisirs" (102 entreprises) a pris le pas sur la location de voitures (93 entreprises) et les services touristiques (90 entreprises) en nombre d'établissements.

Le secteur de la restauration est également celui qui pourvoit le plus d'emplois salariés en 2016 (45,2%), suivi des transports (18%) et l'hébergement touristique (16,3%).

En revanche, les effectifs sont les plus nombreux dans le secteur du transport avec 45 emplois salariés par entreprise. Ils sont relativement stables en restauration, en location de voiture et en services touristiques, qui emploient en moyenne entre 5 et 9 salariés par entreprise.

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Crise letchis : F. Faby, le PDG de Colipays rassurant

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Il ne faut pas se voiler la face, la crise letchis est bel et bien là sur tout l'Océan Indien... Le PDG de Colipays, à la veille de Noël, a cependant tenu à dédramatiser la situation et a rassurer les amateurs du délice rouge.
Crise letchis : F. Faby, le PDG de Colipays rassurant
Certains producteurs annonçaient il y a quelques semaines une baisse potentielle de leur récolte de 85%... Frédéric Faby, le PDG de Colipays a tenu a prendre la parole à la veille des fêtes de Noël. Explications : "Il en reste un tout petit peu. Certains vergers ont été épargnés. Colipays grâce à son tissu relationnel a réussi à préserver une quantité de letchis suffisante pour pouvoir fabriquer ses fameux colis de fin d'année".

Chaque année plus de 100 000 colis fruits sont ainsi expédiés. La production de la Réunion en letchis seuls est de 15 000 à 20 000 tonnes par an, Colipays en envoie entre 500 et 600 tonnes. Frédéric Faby précise : "Il y en a beaucoup moins mais suffisamment pour satisfaire les besoins de nos clients. Cette crise, et la pénurie qui en a découlé, a entrainé certes un coût à l'achat juste fou, 5 fois le prix habituel".

Et la qualité des fruits dans tout cela aurait-elle été impactée par les caprices de la météo, trop chaude cet hiver austral ? " La qualité des fruits en revanche est constante et réellement au rendez-vous. La saison ne sera pas longue, c'est certain mais il est possible de faire plaisir à la famille et aux amis en Métropole avec cet incontournable de notre île ".

Une saison des letchis qui sera très courte, des prix qui flambent mais un fruit au rendez-vous cependant... C'est dit !

 

Crise letchis : F. Faby, le PDG de Colipays rassurant

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La grande pauvreté à La Réunion, est due aux procédures trop lourdes

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La grande pauvreté à La Réunion, est due aux procédures trop lourdes
Ma colère contre la dictature de certains organismes, CGSS, CAF, et services de l'État, les impôts locaux, qui  rackettent, les plus pauvres.  Du harcèlement pour faire payer de très chères taxes locales, aux plus pauvres, ceux qui sont en dessous  du seuil de pauvreté a L’île de La Réunion où le coût de la vie est beaucoup plus élevé. 1015€ pour tous ceux qui sont en dessous, diminuer leur charges, impôts, et taxes, et surtout revoir le plafond d'accès aux droit à la CMU C et a L'ACS pour tous les aînés de plus de 55 ans avec de très faible revenus.                                                                                    

Je dénonce les organismes CGSS et CAF, MDPH, les finances publiques, impôts racket, caisse de retraite, bailleurs sociaux….. services des impôts,  finances publiques , mutuelles santé et assurances de s’enrichir avec les plus pauvres, et maltraitent les plus fragiles (maltraitance morale, administrative) cherchent a les décourager, les poussent vers la dépression.                                                                                                       
La retraite est un repos bien mérité, après 40 ans voire plus de 50 ans d’activité, cotisé ou pas cotisé ils ont tous travaillé, surtout avant que le RSI, et RSA n'existent, s’il ne travaillaient pas ils ne mangeaient pas, mais des fonctionnaires autoritaires, des donneurs d’ordre ont décidé de leur pourrir la vie, par de plus en plus de tracasseries administratives. Devant nous dans ces organismes ce n’est plus des êtres humains qui nous reçoivent mais des robots mal lunés, procréés pour nuire, leur réponse est toujours non, des retraites de 200€ a 700€ comme revenu total sont très nombreuses mais la CGSS refuse de le reconnaître, pour eux tout va bien.

C’est la loi si vous n’avez pas cotisé ou travaillé pour un employeur malhonnête qui ne vous a pas déclaré, pas assez de cotisations, démerdez vous, ils osent prétendre qu’il y a un service social à la CGSS mais pour qui, pas pour les pauvres, ni vers les assistantes sociales des collectivités, pour les droits à la santé c’est le parcours du combattant pour demander ces droits a la CMUC et ACS : lenteur administrative, dysfonctionnements, dans ce système tous est fait pour que les plus fragiles tombent malades de tracas, et décèdent rapidement, pareil pour ceux qui subissent des injustices, ou des erreurs judiciaires et qui ont un cancer, décédant des suites de ces injustices.

Les seuils de pauvreté en France : Le minimum vieillesse est une arnaque, des milliers ne l’ont pas. J’accuse la CGSS qui refuse de donner les vrais chiffres .                                                                                                                                                                                                                                              
En France, selon le seuil de pauvreté adopté, un individu est considéré comme pauvre quand ses revenus mensuels sont inférieurs à 846 euros (seuil à 50 % du revenu médian) ou 1 015 euros (seuil à 60 %). Le seuil de pauvreté a L’île de la Réunion ou le coût de la vie est beaucoup plus élevé : 1015€.                                                                                                                                                                              

Mais des milliers qui sont bien en dessous seraient heureux avec 1000€ surtout des aînées.   Et les seuils de la misère à L’île de la Réunion les Retraites sont de 100 a 600€, ce que les élus refusent de dénoncer.
Exemple : ma retraite sécu, de 685,03€ est montée à 690,51€. C’est du mépris,  complémentaire 328,51€ autres R 100€ total 1119 mais pas le droit a la santé, ni CMU C ni ACS. À la place des 5,48€ il aurait été préférable de remonter les plafond de droit à la CMU et a L’ACS et revoir une diminution de la taxe foncière pour les petites retraites.

Obligé de payer une mutuelle santé très chère alors que la Sécu m'a volé pendant 40 ans sur tous les salaires, cette ligne assurance vieillesse c’était une arnaque comme beaucoup de retraits sur les salaires. 

Et le revenu minimum vital pour survivre : En dessous de 500€ de revenus. Les aînés de 50 ans a 62 ans RSA ou ASS 500€ ! À la Réunion les retraites de 100 a 600€, la CGSS est une Dictature. Les aînés de 50 ans à 62 ans RSA ou ASS 500€ mais les décideurs appellent cela justice sociale et gardent pour eux l’excédent qui aurait dû être versé aux miséreux.
 

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