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SHLMR : "Et si c’était votre voisin, qui vous sauve la vie…"

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SHLMR :
La SHLMR a annoncé hier l’installation des deux premiers défibrillateurs dans leur parc de logements à Saint-Benoît. Avant la mise en place de ces défibrillateurs automatisés, les habitants du groupe d’habitations ont dû être formés à l’utilisation du matériel.
 
La SHLMR le rappelle : "Il y a 1000 à 2000 décès par crise cardiaque tous les ans à La Réunion. L’arrêt cardiaque est une urgence vitale qui nécessite une prise en charge précoce. Lorsqu’un arrêt cardiaque survient, le facteur temps va être déterminant dans la réussite de l’intervention. Chaque minute sans battement du coeur diminue les chances de survie de 10%. Après 10 minutes sans défibrillation, très peu de gens survivent". D'où l'importance de voisins qui savent "sauver des vies".
 
Le déploiement des défibrillateurs va se poursuivre en 2018 à Bras Panon et à Saint-Denis. Le siège social du groupe à Saint-Denis sera également équipé.
 

SHLMR :

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Mercredi 20 décembre 2017, jour férié : les collectes de déchets de la semaine sont décalées au lendemain

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Mercredi 20 décembre 2017, jour férié : les collectes de déchets de la semaine sont décalées au lendemain
Le TCO informe les habitants des communes de La Possession, Le Port, Saint-Paul, Trois-Bassins et Saint-Leu, que le mercredi 20 décembre 2017 étant un jour férié, il n’y aura pas de collecte de déchets ce jour-là.

Sont concernés : les emballages recyclables (bacs jaunes), les ordures ménagères (bacs bleus ou verts), les déchets végétaux et les encombrants.
Toutes les collectes de la semaine seront décalées d’une journée : les collectes habituellement assurées le mercredi seront reportées au jeudi, celles du jeudi au vendredi et ainsi de suite jusqu’au samedi 23 décembre 2017.
Pour toute information complémentaire, le 0800 605 605* est à votre disposition du lundi au vendredi de 8h à 16h (*appel gratuit depuis un poste fixe à La Réunion).

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Sécurité Routière : Alcool, stupéfiants ... Les contrôles s'intensifient

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Sécurité Routière : Alcool, stupéfiants ... Les contrôles s'intensifient
Après un weekend marqué par de nombreux accidents dont un mortel, le premier jour de la semaine compte déjà son premier accident grave.

Lundi matin à Sainte Marie, au niveau du lieu Ravine des Chèvres les Hauts, un véhicule finit dans un ravin et nécessite l'intervention des secours. Le bilan est de 2 blessés dont un grave.

Le point commun de tous ces accidents est la consommation d'alcool ainsi que la prise de stupéfiants. 

Hier soir, à Sainte Marie, des contrôles inopinés ont été effectués en présence du préfet. Plusieurs alcoolémies et une conduite sous stupéfiants ont été constatées.

Sur sa page Facebook, La Gendarmerie de la Réunion annonce que la mobilisation ne faiblit pas pour que " les fêtes restent les fêtes ".

Rappel : celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas !








Rappel : celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas !

Sécurité Routière : Alcool, stupéfiants ... Les contrôles s'intensifient

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Inauguration de : Au Bonheur des Enfants - 16 décembre 2017

Un chiot ayant subi des sévices secouru par un jeune couple

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Un chiot ayant subi des sévices secouru par un jeune couple

Les images font peine à voir. Une jeune chienne d'à peine 450 grammes a été retrouvée allongée par terre, tétanisée, après avoir subi des actes de maltraitance.

"Cette fois-ci ce serait de jeunes enfants du quartier de Bras fusil (Saint-Benoît) qui auraient mutilé un petit chiot de 5 semaines en enfonçant un morceau de bois dans ses parties génitales", déplore l'association RPA. 

Heureusement pour la petite boule de poils, Rudy et Estelle étaient là pour lui porter secours. Le jeune couple a été alerté par les pleurs et gémissements de l'animal, en pleine nuit. Choqué, Rudy a confié que ce n'était pas la première fois que des actes de maltraitance étaient repérés dans le quartier, rapporte RPA.

Déshydratée, la chienne a dû être hospitalisée. Des examens doivent également être réalisés pour vérifier qu'il n'y a pas de lésions internes. Une cagnotte a été créée pour les soins divers. 

 


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L’aéroport se prépare à une affluence record cette année

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L’aéroport se prépare à une affluence record cette année
L’année 2017 est "exceptionnelle" selon l’aéroport Roland Garros. Il connaît une forte croissance de son activité depuis la fin de l’année dernière et dès le mois de novembre, le nombre de passagers a franchi la barre des deux millions et devrait dépasser les 2 250 000 fin décembre, niveau jamais atteint jusqu’alors.
 
La haute saison de l’été austral a bel et bien commencé. Certaines matinées et soirées verront près de 2 000 passagers se présenter au départ, en moins de 4 heures. "Cette forte affluence nécessite des dispositions particulières", affirme l’aéroport. Pour rappel, la mise en service récente du nouveau circuit entre l’enregistrement et l’embarquement ainsi que l’ouverture de nouveaux espaces contribuent à fluidifier la circulation au sein de l’aérogare. Les restrictions d’accès à l’aérogare sont donc désormais limitées.
 
Les conditions d’accès au parking public, à la voie de dépose-minute et aux commerces de l’aérogare restent inchangées. Le hall public demeure accessible dans son intégralité aux passagers et à leurs accompagnants, à l’exception de la nouvelle salle "kiss and fly", aménagée au 1er étage (niveau 2) de l’aérogare, avant la zone des contrôles. Un filtrage sera mis en place au bas du nouvel escalier et du nouvel escalator conduisant au niveau 2.
 
Ces dispositions concernent les journées suivantes :
Jeudi 21 décembre en soirée de 18h30 à 23h.
Samedi 23 décembre (matin) de 5h à 12h.
Jeudi 28 décembre (soir) de 18h30 à 23h.
Jeudi 4 janvier (soir) de 18h30 à 23h.
Samedi 6 janvier (matin) de 5h à 12h.
 

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Election au Département: "Nous avons assisté au déchirement d’une majorité", analyse le PCR

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Le PCR réagit à l'élection qui s'est tenue hier au Conseil départemental. "Nous avons assisté au déchirement d’une majorité, et en même temps à l’affirmation de la continuité dans la politique du Département", estime le parti. Voici le communiqué du bureau de presse :
Election au Département:

Après l’élection du Président de l’assemblée départementale, les commentaires font état d’une nouvelle page politique. Laquelle ? En réalité, nous avons assisté au déchirement d’une majorité, et en même temps à l’affirmation de la continuité dans la politique du Département.

Cependant, nous n’avons pas observé de nouvelles perspectives en faveur de la population qui est quotidiennement confrontée au chômage, à l’illettrisme, à la pénurie de logement, à la cherté de la vie, etc.

On ne voit pas surgir une espérance, un espoir nouveau, au moment où le Président de la République appelle à contribuer aux Assises des Outre-mer, et à évoquer tous les problèmes sans tabou.

Plus que jamais, les Réunionnais doivent se mettre d’accord sur un projet global et cohérent de développement durable et solidaire, puis, de le porter à Paris et à Bruxelles.

Pour sa part, le PCR a déjà remis sa contribution à la Ministre des Outre-mer lors de son voyage à La Réunion.


Fait au Port, ce lundi 18 décembre 2017
Le Bureau de presse


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Vols et tentatives de vols à St-Leu: "Le coupable idéal" relaxé

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Vols et tentatives de vols à St-Leu:
Il a clamé son innocence de son interpellation à sa présentation devant les juges ce lundi au tribunal de St-Pierre. 

Dimitri, 26 ans, est accusé de vols et tentatives de vols dans son quartier de St-Leu. Les faits remontent à la nuit du 13 au 14 décembre dernier. Un individu dérobe, en passant par une fenêtre de la cuisine, un sac à main contenant 130 euros en liquide et différents papiers mais aussi une sacoche. Durant cette nuit, l’homme enchaine les petits larcins. Il s’introduit dans une maison dont la baie vitrée n’est pas verrouillée pour y voler une carte bancaire et tente la manoeuvre dans un autre logement, mais cette fois-ci sans succès. Dans un jardin, il volera alors une chemise Lacoste étendue sur une corde à linge. Mais alerté par le bruit, le propriétaire sort et décide de suivre le malfrat jusqu’à chez lui, là où habite Dimitri, sa mère et son petit frère. 

Interpellé le 15 décembre sur son lieu de travail en possession d’un poing américain, arme de catégorie D, Dimitri continue de nier, "j’étais malade ce soir-là, je ne suis par sorti". Tous dans le quartier connaissent le jeune homme et son parcours judiciaire chargé pour avoir déjà été condamné 19 fois dont douze pour vols. Dimitri est d’ailleurs sorti de prison en juin et son bracelet électronique lui a été retiré en septembre dernier.

"Les éléments présentés ne collent pas"

La prison où le jeune homme a subi les pires violences. Depuis il a trouvé un "ti contrat " à la mairie de St-Leu et dit avoir beaucoup de projets . Alors de retour en détention samedi dernier, le mis en cause va tenter une nouvelle fois de se suicider en s'entaillant les veines. 

"Je me sens impuissant ", a-t-il déclaré hier à la barre, jugé en comparution immédiate. Des témoignages, des images de vidéosurveillance et son identification sur photo, le parquet a requis un an de prison ferme, deux ans de mise à l’épreuve, la révocation d’un précédent sursis et l’obligation de suivre des soins. 

Pour sa défense, Me Jean-Maurice Nassar, " l'on veut faire de Dimitri un coupable idéal".  Le prévenu n’est pas reconnaissable sur les clichés de la vidéosurveillance, les objets dérobés n’ont pas été retrouvés et victimes comme témoins connaissent déjà Dimitri, "les éléments présentés ne collent pas", a-t-il plaidé. 

En l'absence d'éléments probants, Dimitri a été relaxé pour les accusations de vols et tentatives de vols. En revanche, il a été condamné à 3 mois de prison ferme aménageables pour port d’arme, son précédent sursis n’a pas été révoqué. Une chance pour ce père de 6 enfants de consolider son avenir.  

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"La Réunion n’est pas une colonie et ne l’a jamais été"

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Un essai, "pavé dans la mare". C'est ainsi que se présente l’ouvrage rédigé par Olivier Fontaine, Docteur en Histoire et diplômé de l’Université de la Réunion, intitulé "Histoire de la Réunion et des Réunionnais, quelques mises au point", sorti en septembre et fruit de 20 ans de recherches. L’auteur revient, dans un entretien, sur l’histoire de la colonisation dans notre île et sur l’introduction de l’esclavage.
Comment vous est venue l’idée de ce livre? 

Au fur et à mesure de mes recherches en Histoire, j’ai découvert un certain nombre de choses et au bout d’un moment j’avais une base d’information générale sur la thématique de l’histoire de la Réunion. Il y avait pas mal de choses à préciser.

L’histoire de la Réunion a été placée à un moment donné dans un enjeu idéologique, on a un peu raconté tout et n’importe quoi et il s’agissait de dépoussiérer tout cela et revenir aux faits.

Quelle est la thèse développée dans ce livre?

Le fil conducteur de cet ouvrage est d’expliquer que la Réunion n’est pas une colonie et ne l’a jamais été. Cela ne correspond pas à ce que l’on appelle colonie aujourd’hui lorsque l’on parle de l’histoire de la colonisation.

Le problème vient d’une confusion qui s’est glissée dans cette histoire de la Réunion et qui a pu servir les ressorts de l’idéologie. À la base, la Réunion n’a rien à voir avec une colonie du Second empire colonial français, à savoir les colonies nord-africaines par exemple.

Dans ce cas, quelle est la définition d’une colonie au sens historique du terme?

C’est un territoire sur lequel il y a déjà une population, qui est conquis militairement, par des traités, sur lequel un pays dominant s’installe et qui va organiser la colonie en fonction de ses intérêts.

Il va y avoir surtout deux populations. La population du colonisateur et la population colonisée, avec des lois et des statuts différents. Il va y avoir une utilisation maximale du potentiel du territoire colonisé.

Pourquoi utilise-t-on de manière courante le mot "colonie" lorsque l’on parle de la Réunion dans ce cas?

Ce mot a d’abord eu un sens dans l’histoire et ce sens a changé avec l’histoire de la colonisation. Aujourd’hui, on ne retient que le second sens du terme qui est devenu péjoratif, de domination et d’exploitation des peuples.

Or la Réunion, quand elle a été désignée comme colonie, cela correspondait au premier sens du terme. C’est un terme qui a un lien avec l’agriculture, avec la mise en exploitation des terres, avec une racine agricole. C’était un endroit où l’on implantait des populations et qui avait pour mission de mettre le territoire en valeur, de défricher, de planter.

À l’époque du peuplement de la Réunion, la France a envoyé des colons en 1665. C’était des gens spécialement recrutés pour cette mission : des artisans et des petits paysans. En fait, les premiers habitants installés à la Réunion sont des colons parce qu’ils sont là pour ce but agricole. La Réunion va donc prendre la dénomination de colonie, avec cette idée-là.

Elle va s’appeler colonie depuis le 17e siècle jusqu’au 20e siècle. Mais entre temps, le mot "colonie" va lui changer de sens et devenir péjoratif.

Il va donc devenir tentant d’associer la Réunion, qui est déjà appelée colonie, avec les colonies du Second empire colonial français.

Cette nuance a pourtant toute son importance dans le discours politique qui est prononcé aujourd'hui?

Tout cela s’est mis en place au moment des décolonisations dans les années 1950, 1960. Le but était de faire passer la Réunion et donc la population réunionnaise pour une victime de la colonisation, à l’égale des Algériens, des Indochinois, des Camerounais et de pouvoir demander des réparations et prétendre à une autonomie. C’est donc devenu un enjeu idéologique et politique.

Que dire donc aux jeunes Réunionnais qui entendent ces discours, popularisés aujourd’hui?

Il faut lire, chercher à s’informer par eux-mêmes. Ce qui ressort, c’est que finalement, la Réunion a une histoire unique et c’est une très bonne nouvelle. Elle ne correspond pas à l’histoire des anciennes colonies, ni à celle des autres départements et territoires d’Outre-Mer. C’est une histoire unique dans l’histoire de France. C’est une nouvelle qui va à contresens du discours ambiant.

On entend beaucoup la Réunion être comparée à la Guadeloupe, la Martinique, aux Antilles. Qu’est ce qui fait que la Réunion n’est pas comparable à ces autres départements?

Le premier point vient du fait que la Réunion était une île déserte. Il n’y a pas eu de population détruite et dont la culture a été anéantie, ce qui n’est pas le cas aux Antilles, qui ont un lien avec ce passé colonial au second sens du terme colonie.

Ensuite, le peuplement de la Réunion et son histoire sont très différents, au niveau de l’agriculture et des modalités de son peuplement. Et cela fait une grosse différence.

Dès le départ, les colonies des Antilles ont été conçues pour produire des denrées coloniales pour le marché européen. Très tôt, elles vont exporter du sucre et du café.

À la Réunion, ce n’est pas du tout cela. Au départ, ce ne sont pas des planteurs qui s’installent. On installe des colons à la Réunion car elle est sur la route des Indes. Ce sont donc des marchands de la Compagnie des Indes qui vont faire du commerce. La mise en valeur des terres ne les intéresse pas.

La Réunion va être peuplée car elle est une escale à mi-parcours. Les premiers colons envoyés ici vont donc ravitailler les bateaux. On va essayer de faire produire à la Réunion des denrées exotiques mais cela ne va pas fonctionner. On va en fait y planter principalement du blé, du maïs, du grain et des cultures vivrières. La production de café et d’épices à destination de l'Europe restera secondaire et n’ira pas à l’exportation sur le marché européen.

La France va, au début du 18e siècle, occuper l’île Maurice, qui est déserte et va devenir un port militaire et de commerce. À l’époque, la Réunion, Maurice, Rodrigues composent un seul territoire, cohérent dans son emménagement. La Réunion a pour fonction de nourrir et ravitailler ce port de Maurice et les troupes stationnées là-bas. Très tôt, la France affronte l’Angleterre et le conflit va aussi se dérouler en Inde. Les Mascareignes sont la base arrière de la France, un point très stratégique jusqu’en 1815.

Dans l’esprit des gens, il y a un certain anachronisme. On ne peut pas appréhender des faits qui se sont déroulés il y a plusieurs siècles avec les connaissances et l’état d’esprit d’aujourd’hui.

On ne peut bien sûr pas faire l’impasse sur l’introduction de l’esclavagisme sur notre île. Comment s’est-il déroulé?

C’est un sujet très intéressant à la Réunion. Quand les européens arrivent - les Portugais notamment - l’esclavage existe déjà dan l’océan Indien. À Madagascar, sur la côte de l’Afrique de l’Est ou en Arabie ou en Inde et en Chine, l’esclavage est un phénomène enraciné dans ces sociétés indo-océaniques.

Quand les Portugais, les Hollandais, les Anglais et les Français arrivent sur ces territoires pour échanger et commercer avec ces peuples, ils vont voir l’esclavage qui existe partout. Parmi les biens de commerce qu’ils vont se voir proposer, malheureusement il y a des esclaves. Ce commerce est très organisé et ce système commercial va donc perdurer.

Pour la Réunion, au départ, la Compagnie des Indes qui est une compagnie commerçante, n’a pas pour objectif l’agriculture coloniale.

Elle cherche des paysans pour ravitailler ses bateaux. Dans ses statuts, elle ne mentionne pas l’esclavage. Elle regarde vers Madagascar et son potentiel commercial. La compagnie formule donc une interdiction de faire des Malgaches des esclaves.

Il faut avoir à l’esprit que les premiers habitants qui arrivent à la Réunion sont majoritairement des hommes français et des européens. Ils vont manquer cruellement de femmes.

La majorité des couples qui vont se former à la Réunion par la suite seront métisses. Certains vont épouser des malgaches qui sont arrivées libres de Madagascar, ou des Indiennes. La population est métisse et libre. La première génération d’enfants qui naît à la Réunion est largement métissée.

C’est cette génération qui installe l’esclavage à la Réunion. Il va être installé par hasard, avec deux facteurs. Les choses se passent mal à Madagascar avec le massacre de Fort-Dauphin. Il y a des survivants qui arrivent à la Réunion et ils engendrent la méfiance parmi les Malgaches déjà présents à la Réunion. Il va donc y avoir une dégradation des relations.

Petit à petit, cette population va se retrouver infériorisée par rapport à la population libre, composée majoritairement des couples mixtes et de leurs enfants métisses. Elle va se retrouver dans une position de servitude.

Les choses se passent aussi mal pour la France en Inde entre 1671 et 1674. Jacob de La Haye va déposer des prisonniers à la Réunion, qui seront intégrés à la population servile qui est en train de se mettre en place.

Petit à petit, au cours des escales de bateau, des employés de la Compagnie des Indes sans instructions de la part de la Compagnie à Paris, vont décider de prendre des arrangements avec le règlement et choisir de venir vendre, à titre individuel, des esclaves à la Réunion.

Il va y avoir des habitants pour les leur acheter. Les habitants souhaitent cette population servile et vont donc l’installer.

À partir de la fin du 17e siècle et du début du 18e siècle, les premiers à introduire des esclaves en grand nombre sur l’île sont les pirates, qui sont opportunistes et vont donc apporter des esclaves.

L’introduction de l’esclavage va se mettre en place de manière spontanée, hors du contrôle des autorités parisiennes. Il n’y a pas eu d’ordres donnés par Paris.

Il faut savoir que la compagnie nomme Étienne Regnault comme Gouverneur en 1665. À son retour à la Réunion et sans instructions, le Vice-Roi des Indes, Jacob de La Haye, nomme Henry Hesse d'Orgeret. Tous les gens qui vont diriger la Réunion de 1671 à 1689 n’ont pas été nommés par la Compagnie des Indes ni par le Roi. Ce sont des gens qui sont nommés car il n’y avait plus d’autorité.

C’est au moment justement où il n’y a plus d’autorité constituée dans l’île que l’esclavage s’installe à la Réunion. Quand Henry Habert de Vauboulon arrive en 1689 en tant que premier Gouverneur nommé par le Roi, l’esclavage existe déjà et le Roi le sait. C’est d’ailleurs à ce moment que l’on prononce officiellement le mot "esclave".

À l’époque, la Compagnie n’a pas pris de décision par rapport à cela. En 1702, les habitants de la Réunion vont demander à la Compagnie de leur envoyer des esclaves car ils n’en ont pas assez.

Au début du 18e siècle, les habitants expriment à la fois leur inquiétude sur une insécurité grandissante avec la présence d’esclaves de plus en plus nombreux, et leur demande d’esclaves supplémentaires. La Compagnie va leur demander de choisir ce qu'ils veulent, et la population va finalement décider de faire venir plus d’esclaves sur l’île.

L’esclavage va donc être entériné après coup par le pouvoir royal et la Compagnie des Indes.

Donc l’idée selon laquelle il y a eu des bateaux de colonisateurs blancs qui ont amené avec eux des esclaves est erronée?

Oui, car la population sur l’île à la base est très largement métisse et libre, c’est elle qui va instaurer l’esclavage. Il n’y a pas dès le départ de clivages entre les blancs et les noirs. Les premiers propriétaires d’esclaves sont en majorité métisses. Par la suite, il y aura toujours des métisses propriétaires d’esclaves à la Réunion.

Dès 1730, quand on va faire venir des travailleurs indiens libres, et que des esclaves vont être affranchis, eux aussi vont devenir propriétaires d’esclaves. À la Réunion, c’est un marqueur social, qui démontre une certaine aisance. Ils n’imitent pas un modèle qui aurait été importé dans l’océan Indien par les européens. Ils imitent un modèle qu’il y a partout.

À l’époque, en allant à Madagascar, les Malgaches possèdent des esclaves. Les populations côtières de l’Afrique de l’Est possèdent aussi des esclaves. D’ailleurs les traitants qui vont aller chercher des esclaves pour les Mascareignes achètent des esclaves aux Malgaches, qui les leur vendent.

Qu’est-ce qui est dangereux aujourd’hui dans le discours politisé qui a tendance à opposer les gens sur leurs origines, européennes ou non?

C’est manichéen et inexact en regardant l’histoire de la Réunion. C’est quelque chose qui a été mis en place au moment des combats de la décolonisation. La Réunion n’a jamais été une colonie.

Evidemment, les motivations des Antilles étaient différentes. Quand les "vieilles colonies" demandent la départementalisation après la guerre, cela va être validé par les pouvoirs politiques.

La départementalisation à la Réunion va connaître plusieurs problèmes, car la France sort ruinée de la guerre et n’a pas les moyens de sa politique. Elle signe la départementalisation mais précise que celle-ci prendra du temps.

En 1959, le général De Gaulle jouit d’un certain prestige et le PCF (Parti Communiste Français) est en baisse de popularité. Paul Vergès, en difficulté dans son propre parti après la mort de son père, cherche à consolider sa position au sein de ce qui est encore à l'époque la section réunionnaise du PCF. En créant le PCR (Parti Communiste Réunionnais) et en imitant ce qui se passe aux Antilles, il se place là où on ne l’attend pas. Le coup de génie de Paul Vergès a été de comprendre à la fin des années 1950 qu'il pouvait utiliser les combats de la décolonisation pour sa propre carrière politique.

Il va donc adopter les codes du tiers-mondisme, en déformant l’histoire de la Réunion de manière à justifier son combat.

Ce qui est formidable, c’est que la Réunion étant une île tropicale, loin de la métropole, avec une population métisse, l’assimilation avec une colonie est vite faite. Il suffit de reprendre tout le vocabulaire et les schémas liés au Second empire colonial pour que, automatiquement, une partie de l’opinion publique française et réunionnaise valide l'idée que la Réunion est une colonie à décoloniser.

Vous parliez de tiers-mondisme, comment peut-on le définir?

Le tiers-mondisme naît au moment de la décolonisation. Dans les années 1960, 1970, les intellectuels de gauche et les politiques vont investir les nouveaux peuples indépendants du tiers-monde de la mission de laver tout le mal qu’aurait fait la civilisation occidentale. C’est une vision manichéenne qui va parer tous les peuples du Sud de toutes les vertus. En face, il y a les méchants occidentaux qui n'ont que des défauts. Cela va conduire à construire un discours victimaire et revendicatif du Sud contre le Nord.

C’est un combat idéologique. Par exemple, les pays arabes et les peuples africains ont été esclavagistes, mais comme ils ont été également des colonies des occidentaux. Par solidarité entre anciens peuples colonisés, lorsqu'on dénonce l’esclavage, on dénonce l’esclavage des européens mais surtout pas celui de ceux qui le pratiquaient en Afrique et dans les pays arabes.

Il y a un très gros problème, et je crois que c’est également pour cela que j’ai voulu écrire ce livre. Malheureusement en métropole les politiques connaissent très mal l’histoire de l’Outre-mer et de la colonisation. Là-bas aussi, il y a énormément de lieux communs. À Paris, la population d’Outre-mer la plus représentée vient des Antilles.

Ils sont les plus proches du pouvoir et l’image des départements d’Outre-Mer qu’ont les politiques et la population française est celle véhiculée par les Antilles. La Réunion, qui ne correspond pas aux Antilles, est souvent assimilée à ces îles.

On pourrait vous accuser de réécrire l’Histoire, de la présenter sous un jour cherchant à déculpabiliser le colonisateur. Que répondez-vous?

Je me place sur le terrain de l’Histoire. Un historien n’est pas là pour dire le bien et le mal, il n’est pas juge. Mon but est de respecter et dire les faits. Je me base sur des sources que je dépouille et confronte. C’est un travail critique également.

Il y a ce travail d’historien. Cela n’enlève en rien les souffrances qu’ont pu connaître les esclaves. La condition des esclaves reste la même, et ce n’est pas cette condition qui est remise en cause. Les souffrances des châtiments, de la privation de libertés, je ne remet pas cela en cause.

L’Histoire n’est pas manichéenne. J’ai pris le parti de l’historien, loin de l’idéologie politique, à travers un travail de références, qui sont recensées dans le livre.

Il n’y a pas d’exercice illégal de l’Histoire et n’importe qui peut se parer du titre d’historien et raconter n’importe quoi. Une fois mis en avant par les médias, sa parole devient véritable. J’invite tous les gens qui le souhaitent à aller consulter les sources et vérifier par eux-mêmes. C’est un débat qu’il faut mettre sur la place publique. Aujourd’hui, arriver avec ces informations provoque une certaine crispation.

Pourtant, c’est formidable que la Réunion ait une histoire différente. C’est quand même une bonne nouvelle !

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Le ZinfosNews de 12h - Mardi 19 décembre 2017

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Didier Robert - Les républicains c’est fini Accident de Sainte-Marie - Les stupéfiants en cause Sécurité routière - Les contrôles s’intensifient
Le ZinfosNews de 12h - Mardi 19 décembre 2017


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Correctionnelle: A-t-il compris qu'il ne fallait plus boire et conduire?

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Correctionnelle: A-t-il compris qu'il ne fallait plus boire et conduire?
La garde à vue lui a suffi de leçon, assure-t-il… "Une nuit enfermé, avec tout ce que j’ai entendu, c’est effrayant". Cet habitant de Sainte-Marie de 33 ans a un problème d’alcool, ça c’est certain… mais comme l’indique son avocat, il n’a pas l’air "d’être dans la défiance" de l’autorité du tribunal correctionnel.
 
Malgré le fait d’avoir été mis à la rue par sa famille à 18 ans avec déjà un jeune enfant à charge, il s’est formé, a enchaîné les petits boulots et travaillent aujourd’hui depuis 10 ans dans la même boîte. Il a l’air sérieux de ce point de vue là ; rien à dire.
 
Mais c’est son casier qui dérange les juges. En 2006, dégradation de biens, en 2012 conduite en état d’ivresse, en avril dernier violences, dont des violences conjugales, encore sous les effets de l’alcool et en novembre dernier, il a été condamné à nouveau à six mois de sursis et une suspension de permis de quatre mois pour conduite en état d’ivresse et refus de se soumettre au contrôle routier.
 
Le Sainte-Marien conduisait donc sans permis, avec 1,26 mg d’alcool par litre de sang, à Sainte-Marie dimanche matin. Ayant causé un accident, pas celui qui s’est avéré mortel, mais un accident assez conséquent pour attirer l’attention des forces de l’ordre.
 
"J’ai un problème", avoue-t-il. Séparé de sa concubine depuis un mois, ça fait également plus d’un an qu’il n’a pas vu ses enfants. "Je veux ma place dans la société, je ne veux pas aller en prison", insiste-t-il. Mais il l’a sa place dans la société… C’est la prison qui risque de mettre fin à cela car il perdrait son emploi et sa maison, pour laquelle il a un crédit.
 
Et ça, le tribunal en a bien conscience. S’il a été condamné à cinq mois de prison, c’est sans mandat de dépôt et la peine est aménageable. Il s’en sortira peut-être avec un bracelet électronique. Une chose est certaine, régler son "problème d’alcool" en réglera bien d’autres. C’était aujourd’hui sûrement sa dernière chance.

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Coco Beach: Le collectif de Défense du domaine public maritime demande la fermeture administrative

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Coco Beach: Le collectif de Défense du domaine public maritime demande la fermeture administrative
Suite au contrôle des forces de l'ordre samedi dernier au Coco Beach et la saisie de 300kg de denrées impropres à la consommation, le Collectif de Défense du Domaine Public Maritime s’inquiète de voir le restaurant préparer une grosse soirée dans le cadre des festivités du 20 décembre.

"Nous interpellons dans un premier temps le Directeur de l'ARS sur le trouble du voisinage en raison des nuisances sonores, dans un second temps, nous interpellerons la DSV sur le risque sanitaire dû à la viande avariée, enfin, nous interpellerons de nouveau la DEAL pour défaut de permis de construire" déclare le collectif.

"Nous ne pouvons nous contenter des dispositions annoncées dans la presse par la nécessité d’une mise aux normes de l’établissement et la présentation de l’étude d’impact qui n’est pas conforme", conclut le collectif, qui demande un "signe fort" des autorités.

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Le ZinfosNews de 18h - Mardi 19 décembre 2017

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Le ZinfosNews de 18h - Mardi 19 décembre 2017


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Didier Robert coupe la tête de Jean-Paul Virapoullé à la Région

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Didier Robert coupe la tête de Jean-Paul Virapoullé à la Région
Ca n'aura pas trainé. Didier Robert a décidé de retirer ses délégations à Jean-Paul Virapoullé à la Région.

Le président de la Région avait déclaré dans les instants qui ont suivi l'élection de Cyrille Melchior à la présidence du Département que ce scrutin aurait au moins un avantage, celui de permettre une clarification de la situation politique à la Réunion.

Et il avait clairement laissé entendre que cette clarification allait avoir des répercussions à la Région, mais aussi dans les diverses collectivités de l'ile.

A notre question : "Peut-on être en même temps dans la majorité à la Région et dans la majorité au Département", sa réponse avait été sans appel : "Non !"

Le premier signe visible de cette "clarification" est tombé en fin d'après-midi : Le président de la Région a décidé d’enlever à Jean-Paul Virapoullé, son 3e vice-président, ses délégations sur l’expérimentation, les affaires européennes et institutionnelles ainsi que le nouveau modèle de développement économique de La Réunion.

Dans l'esprit de Didier Robert, il faut en finir avec ces hommes politiques qui, à l'image de Nassimah Dindar ou de Jean-Paul Virapoullé sont d'un bord politique aujourd'hui et d'un autre demain. En créole, on dit que comme le vacoa, "ils coupent deux côtés"...

Alors que Jean-Paul et Jean-Marie Virapoullé avaient donné leur parole à Didier Robert, alors que la conseillère générale de Saint-André, Viviane Payet Ben Hamida, binôme de Jean-Marie Virapoullé, avait encore téléphoné la veille du scrutin à Didier Robert pour lui garantir sa fidélité, les deux conseillers départementaux ont voté sans scrupules pour Cyrille Melchior. Et Jean-Marie Virapoullé a même obtenu le poste de 1er vice-président pour le prix de sa trahison.

Et dans la presse hier, Jean-Paul Virapoullé faisait mine de ne pas comprendre la colère de Didier Robert...

En général, ce genre de coups bas se règle en coulisses, souvent par des fâcheries, mais tout en essayant de sauver les apparences pour le grand public.

Cette fois, Didier Robert a décidé de jouer cartes sur table et de couper la tête de son 3ème vice-président au su et au vu de tout le monde.

La guerre est véritablement déclarée à Droite. Jean-Paul Virapoullé en est la première victime. Nul doute qu'il y en aura d'autres. Des deux côtés...

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Rixe mortelle: Un couple en garde à vue

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Rixe mortelle: Un couple en garde à vue
On croyait d’abord à de la légitime défense… Mais aujourd’hui un couple est soupçonné d’avoir entraîné la mort de Pierre Deluche, 36 ans, le 12 août dernier au Tampon. Selon le Quotidien, le couple a finalement été placé en garde à vue lundi.
 
Les voisins de la victime, âgés d’une vingtaine d’années, auraient été à la terrasse d’un café quand il les a agressés. C’est en se défendant qu’ils auraient blessé Pierre Deluche ; il est décédé la nuit d’après. Mais la victime est décrite comme un homme sans histoires, au casier judiciaire vierge.
 
Une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Saint-Pierre. Le couple pourrait être mis en examen.
 

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Le Tampon : Un homme écrasé par un boeuf

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Le Tampon : Un homme écrasé par un boeuf
Un homme d'une soixantaine d'années est mort écrasé par un boeuf ce mardi soir au Tampon. La scène s'est déroulée lors du défilé de la fête de la Liberté. Une fête qui coïncidait avec de nombreuses festivités ce jour-ci au Tampon où s'y tenait également l’inauguration du 2ème chemin Tampon / Trois-Mares organisée par la mairie.

C'est lors du défilé qu'un homme a été écrasé par un boeuf puis par la charrette. La victime a été médicalisée inconsciente par le SMUR et acheminée au CHU de Terre Sainte où son décès a été prononcé.

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Le Coco Beach prié de baisser rideau ce mardi soir

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Le Coco Beach prié de baisser rideau ce mardi soir
Le Coco Beach contraint de fermer boutique. Le célèbre restaurant de plage de l'Hermitage n’a pu maintenir son activité ce mardi soir à cause d’un climat électrique comme le laisse entendre la direction de l’établissement.

Selon nos informations, le restaurant s’est en fait plié à l’interdiction ordonnée par la mairie d’organiser cette soirée. Contactée en fin d’après-midi, la Ville n’a pu nous confirmer la publication d’un arrêté allant en ce sens. Il y a quelques minutes, l'établissement ajoute sur sa page officielle que c'est pour des raisons "indépendantes de notre volonté" qu'il a dû annuler la soirée Sunset Party. Une annulation qui n'est donc pas de son ressort et dont il a été informé "tardivement", regrette la gérance. 

Il faut ici rappeler que l’établissement est dans l’oeil du cyclone depuis des semaines. Tout d’abord en raison de la mobilisation du collectif contre la privatisation du littoral qui estime que le Coco Beach, tout comme d’autres établissements de bord de mer, ne respecte pas la réglementation en matière de respect du domaine public maritime. 

Et enfin depuis la descente, samedi soir dernier, des services de l’Etat qui ont mené une opération coordonnée, tant en matière de sécurité que d’hygiène au sein du bar-restaurant. 300 kg de denrées impropres à la consommation ont ainsi été détruites. 

Ce mardi 19 décembre, le Coco Beach devait proposer à sa clientèle une soirée Before 20 Desamb’, de 20H à minuit. Des artistes locaux comme Lindigo y étaient programmés.

Le Coco Beach prié de baisser rideau ce mardi soir

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[JEU] La sortie du mercredi : PADDINGTON 2

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Valable du 20/12/2017 au 26/12/2017
Synopsis
[JEU] La sortie du mercredi : PADDINGTON 2
Genres | Animation, Comédie
1h 43min

Paddington coule des jours heureux chez les Brown, sa famille d’adoption, dans un quartier paisible de Londres, où il est apprécié de tous. Alors qu’il recherche un cadeau exceptionnel pour les cent ans de sa tante adorée, il repère un magnifique livre animé, très ancien, chez un antiquaire. Pas de temps à perdre : il enchaîne les petits boulots pour pouvoir l’acheter ! Mais lorsque le précieux ouvrage est volé, Paddington est accusé à tort et incarcéré. Convaincus de son innocence, les Brown se lancent dans une enquête pour retrouver le coupable…

Bande annonce …

Pour jouer …
[JEU] La sortie du mercredi : PADDINGTON 2
Pour jouer, envoyez PALMES au 7388
( 2x0,65€ + prix d’un sms)
et gagnez un pass pour 2 personnes
sur le film de la semaine.

50 places à gagner par semaine
 
Zinfos 974 n’est pas responsable de la déprogrammation éventuelle d’un film.

Pour retirer vos places, c’est très simple, présentez vous muni de la pièce d’identité du gagnant chez notre partenaire
Les places sont à retirer 15 jours maximum après le tirage au sort.

Bubble Tea (à l’angle de l’Avenue de la Victoire et  de la rue Labourdonais à Saint-Denis)
Téléphone : 02 62 93 48 79
Horaires :
11h30-20h00 du mardi au jeudi
11H30-22h00 le vendredi et samedi
15h00-19h00  le dimanche

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[REVUE DE PRESSE] Mercredi 20 décembre 2017

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À la Une de vos deux journaux locaux ce matin, la "guerre ouverte" entre Jean-Paul Virapoullé et Didier Robert pour le JIR, appelée "grande clarification" pour le Quotidien.
[REVUE DE PRESSE] Mercredi 20 décembre 2017
Faits divers

Les festivités du 20 désamb ont été endeuillées hier au Tampon, un homme de 61 ans est mort, écrasé par sa charrette-boeuf, qui participait au défilé populaire.

À la Ravine des Cabris, un homme totalement ivre a tiré des coups de feu en l'air lundi, terrifiant tout le quartier. Un précédent sursis a été révoqué, il dort à la prison de St-Pierre.

[REVUE DE PRESSE] Mercredi 20 décembre 2017
Politique

Didier Robert a privé Jean-Paul Virapoullé des ses délégations à la région, en réponse à l'élection du président du conseil départemental, Jean-Marie Virapoullé ayant rejoint la nouvelle majorité, et contribué à son élection.

Didier Robert quitte "Les Républicains", il va envoyer une lettre de démission aux instances dirigeantes de LR. Le président de région rappelle qu'il a des convergences d'opinion avec le parti du président de la République, mais ne rejoindra pas "En Marche" dans l'immédiat.

[REVUE DE PRESSE] Mercredi 20 décembre 2017
Culture

Pour les festivités du 20 désamb, St-Joseph a accueilli Johnny Clegg, le célèbre chanteur Sud-Africain militant contre l'apartheid. Johnny Clegg concluait hier sa dernière tournée mondiale.

À St-Denis, un concert de Kréolokoz et Tiken Jah Fakoly est donné ce soir en mémoire des esclaves réunionnais, célébrant l'abolition de l'esclavage.

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Deux suspects du braquage du Super U de St-Paul interpellés

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Deux suspects du braquage du Super U de St-Paul interpellés
Hier, aux aurores, le GIGN a procédé à l'interpellation de deux suspects, lors de deux opérations simultanées, à Plateau Caillou, et à La Ravine des Cabris. Ces interpellations se sont produites dans le cadre de l'enquête sur la série de braquages commis en juillet-août de Saint-Leu à Saint-Paul.

Les deux suspects sont à la caserne Vérines, interrogés sur des vols en bande organisée. Leur garde à vue pourrait durer jusqu'à 96 heures. Ils seront interrogés sur d'éventuels alibis, et sur les indices relevés par la section de recherche de la gendarmerie.

La série de braquages avait commencé au Mc Donald's de Sainte-Marie, dont le maigre butin était de 220€. Braquage suivi de celui de la station service Total de l'aire de La Saline, sur la route des tamarins, pour un butin d'une valeur de 2000 à 3000€. Le plus mémorable de cette série de braquages est celui du Super U de Saint-Paul, ayant nécessité l'intervention du GIGN, mais dont le butin fut nul.

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