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Channel: Faits divers – Zinfos974
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Le silence des moutons

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M. Junot est à mes yeux et de part mon expérience d’ancien délégué syndical et élu du personne (CE, CHSCT, conseiller du salarié) un exemple à suivre pour la défense des salariés.

Il était le seul et unique Secrétaire général d’une organisation syndicale à rester toujours en activité dans son entreprise (BNPI) tout en continuant ses missions sur le terrain social. Contrairement à d’autres syndicalistes qui dérivent dans la complaisance et les compromissions et portent atteinte au droit du travail, lui restait libre dans ses actions et toujours fidèle à ses valeurs.

A la Réunion il y a eu un inspecteur du travail qui m’avait marqué à l’époque M. Karim A.  qui avait fait un énorme travail sur toutes les grosses entreprises du Nord Est et im semble bien que cela lui avait couté son poste en accélérant sa mutation. S’il y avait d’autres inspecteurs comme lui M. Junot serait moins inquiet dans ses missions qu’il mènent pour les salariés.

Des inspecteurs comme celui là,  des procureurs comme M Legras, des  Paul Junot ce sont des valeurs sûres au service du bien commun et de leurs engagements.,

M. Junot ne faisait jamais semblant, ne jouait pas double jeu, ne trahissait jamais les personnes qui lui faisaient confiance, même dans les situations difficiles.  Pour tout ça il mérite la médaille   du courage  et l’ordre national du mérite. Il doit surement faire des jaloux même dans sa propre organisation syndicale….. Merci mon ami Paul largu pas zot tienbo ensemble.


Où est le respect à Saint Pierre ?

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J’ai exploré la rue Luc LORION, avec ses dépôts d’ordures sauvages persistants sur les trottoirs, tels que des batteries de voiture et des débris de meubles.

J’ai interrogé les résidents de Ravine Blanche, qui ont subi des travaux de démolition matinaux sans préavis, avec l’apparition de rats dans leurs maisons.

J’ai parcouru la ville à la recherche de signes du respect promis, notamment sur les ronds-points congestionnés et auprès des commerçants du centre-ville qui cherchaient en vain une compensation pour la suppression de 200 places de parking.

J’aurais aimé le trouver sur les étals des forains, mais leur espace de travail avait été réduit. Lors d’une réunion publique, il n’y avait pas assez de chaises pour tous les participants, ce qui ne reflétait pas le respect dû à la population.

Notre espoir réside désormais dans un retour du respect à travers une gouvernance municipale plus proche des citoyens, des actions concertées de quartier et une planification transparente du développement économique.

Comme disait Aristote “Seule l’excellence et la capacité politique donnent droit au pouvoir”.

L’excellence renvoie à l’exigence politique.

Pour la mettre en œuvre il est nécessaire de réfléchir aux grands thèmes de développement d’avenir de la ville et sa citoyenneté, en répondant aux enjeux écologiques et en tenant compte de la place de Saint Pierre au sein de la Région Réunion.

Le respect à Saint-Pierre, c’est aussi faire respecter Saint-Pierre dans son contexte régional.

[Droit de réponse] Logement pour les femmes battues pendant le Grand Raid : le préfet de La Réunion déplore une polémique infondée

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[Droit de réponse]

Ce sujet est trop grave et sérieux pour que de fausses informations soient diffusées, comme elles ont pu l’être par un article de Zinfos974 diffusé samedi 7 octobre.

La question des difficultés d’hébergement des victimes de violences intrafamiliales en période de Grand Raid en raison d’un engorgement des offres d’hébergement est bien prise en compte par l’État et ses partenaires.

La concertation évoquée par la présidente de l’UFR samedi 7 octobre a bien eu lieu en avril dernier avec l’ensemble des acteurs concernés et notamment les associations.

A cette occasion, il a en effet été convenu avec les associations présentes d’étudier la possibilité de compléter (et non de remplacer) l’offre d’hébergement des femmes victimes de violence déjà existante par d’éventuels hébergements chez des particuliers bénévoles en période de Grand Raid.

Il n’a toutefois jamais été évoqué de contrôle des bénévoles par la direction de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DEETS, et non la DIECCTE qui n’existe plus depuis deux ans), mais plutôt une attention à avoir par les associations elles-mêmes quant aux conditions d’hébergement qui seraient proposées par leurs bénévoles.

Depuis lors, la DEETS a consulté par deux fois les associations afin, d’une part, d’approfondir cette possibilité d’hébergement et, d’autre part, de recueillir les autres propositions des associations. L’UFR n’a pas répondu, ni pour questionner cette proposition, ni pour en proposer d’autres.

Tous les signalements (appels au 115) de victimes de violence sont d’ores-et-déjà et tout au long de l’année systématiquement pris en compte pour un hébergement dans les plus brefs délais. Les victimes de violences intrafamiliales sont accueillies de manière ultra prioritaire dans les structures d’accueil et d’urgence ou à défaut en pension, gite ou hôtel. Pendant le Grand raid, une attention particulière sera portée par les services de l’État pour qu’aucune victime ne soit sans solution d’hébergement.

 

Pierrot Dupuy réagit au droit de réponse de la préfecture

Le préfet accuse Zinfos974 de diffuser de « fausses informations », une accusation grave à l’encontre d’un média, alors que Zinfos974 relaie les paroles de la nouvelle sénatrice, Evelyne Corbière, membre de l’UFR aux côtés de la présidente de Région, Huguette Bello. Toutefois, même si Evelyne Corbière est celle qui soulève le problème rencontré avec les services de la préfecture, elle n’est pas citée dans le droit de réponse. Pourquoi ?

La Réunion et son avenir institutionnel fragile après la réforme constitutionnelle de 2003

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Mesdames, Messieurs,

Les élections Sénatoriales du 24 septembre 2023 et les débats en cours sur l’évolution du statut de la Corse, ont remis sous les feux de l’actualité la question du STATUT de la Réunion et la nécessité de le défendre.

Afin d’informer au mieux vos lecteurs, auditeurs ou téléspectateurs à propos du dossier en objet, je vous indique un argument factuel qui nous éclaire objectivement sur l’article 73 amendé lors de la réforme constitutionnelle de 2003 et présenté comme verrou garantissant notre avenir dans le strict droit commun français .. .. Non seulement cette affirmation est contredite dans les faits, par l’introduction d’un nouvel article 72-4, dans la même rédaction de la réforme de 2003, MAIS DE SURCROÎT, les faits objectivement avérés démontrent que les adaptations des Lois, reconnues comme nécessaire par tous, se font déjà avec efficacité, en amont, dès les débats :

Quelques exemples :
• Loi sur le POUVOIR D’ACHAT de juillet 2022, avec adaptation du « bouclier loyer »,
• Loi sur la RÉFORME DES RETRAITES de mars 2023, avec la rehausse du « plafond de l’ASPA » à 150.000€ pour mieux répondre au nombre record des RETRAITÉS PAUVRES détenus par la Réunion,
• Loi sur « LE PLEIN EMPLOI », dont les débats sont en cours, avec l’article 11 qui prévoit un délai de 6 mois après sa promulgation, pour sa possible adaptation aux spécificités de !’Outre-Mer.

Dès lors, il est clair que le 73-5 ne doit plus être la cause de frustrations et encore moins de mauvaise foi.

Par contre, le 72-4 EST UN RÉEL DANGER !

En effet, il TRAHIT L’ESPRIT ET LA LETTRE de la Constitution de 1958 du Général de Gaulle,
Il permet L’ÉVOLUTION STATUTAIRE de DÉPARTEMENT D’OUTRE-MER en COLLECTIVITÉ D’OUTRE-MER par une consultation populaire, ce qui est impossible pour un Département français de l’Hexagone,

Il installe une fragilité statutaire permanente, préjudiciable au DÉVELOPPEMENT DURABLE de la Réunion,

Il est difficile à supprimer car sa suppression nécessite que l’on réunisse un CONGRÈS À VERSAILLES,

Enfin, il constitue, à tout moment, un« CHANTAGE AU LARGAGE» .. ..

Ainsi, il ouvre la boite de pandore,

Il place une épée de Damoclès au dessus de la tête des Réunionnais,

TOUS LES DEPARTEMENTALISTES DE BONNE FOI, de droite comme de gauche, doivent faire, de sa SUPPRESSION, UNE PRIORITÉ.

Lors de la réforme constitutionnelle de 2003, aucun département d’Outre-Mer ne l’avait demandé.

Mr André ROUGÉ est l’instigateur de ce piège.
Il milite au Parti des Forces Nouvelles (PFN) durant ses études.
Dès 1986, il milite au RPR puis à l’UMP et enfin au LR.
DÉLÉGUÉ NATIONAL À L’OUTRE-MER, Michel Fontaine fut localement son contact direct.
En 2016 il rejoint le Front National, devient délégué à l’Outre-Mer de Marine Le Pen et depuis 2019, Député Européen du Front National. …

Je vous remercie de rappeler les faits tels qu’ils peuvent être vérifiés, à chaque fois que
vous serez témoins de tentations de la part de certains à les déformer voire les réécrire.

Contrôle des voies réservées aux bus : « Les utiliser nuit à leur bon emploi »

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Il ne faisait pas bon emprunter les voies de bus ce mardi matin à Sainte-Suzanne. Les gendarmes de l’EDSR (Escadron Départemental de Sécurité Routière), accompagnés des gendarmes de la compagnie de Saint-Benoit, ont procédé en présence de Parvine Lacombe, directrice de cabinet du préfet de La Réunion et cheffe de projet sécurité routière, au contrôle du respect de l’utilisation des voies de bus. Les voies réservées aux transports en commun (VRTC) sont des outils à l’usage des collectivités pour améliorer la fluidité du trafic au niveau des axes régulièrement congestionnés.

Le Code de la route tolère que certains usagers spécifiques empruntent ce type de voies, notamment les taxis, les cyclistes, ou encore les véhicules d’intérêt général  « Ces voies sont (…) malheureusement empruntées par des usagers qui n’ont aucune légitimité à circuler sur ces axes« , indique le capitaine Alexandre Develay, commandant de l’Escadre de Sécurité routière départemental de la gendarmerie de La Réunion. .

« On est souvent sur la vitesse, l’alcool, les stupéfiants, mais il y a d’autres infractions génératrices d’accidents, notamment le fait d’emprunter les voies réservées pour les transports en communs« , rappelle Parvine Lacombe, qui rappelle que « les utiliser nuit à leur bon emploi » . « Ces voies sont essentielles pour faciliter les trajets, éviter les embouteillages et ainsi rendre plus attractifs les transports en communs« , ajoute la la cheffe de projet sécurité routière. « L’objectif de cette action est de rappeler qu’il n’est pas autorisé d’utiliser les voies réservées aux transports en commun et de verbaliser les contrevenants par une amende de 135 euros ».

Ces contrôles s’inscrivent également dans le cadre d’une expérimentation qui va être lancée dans les prochains mois suite au volontariat de la Région Réunion d’expérimenter le système LAPI (Lecture Automatique des Plaques d’Immatriculations). Ce système consiste à faciliter les contrôles des forces de l’ordre par un système automatique de lecture de plaques qui sera installé sur les routes départementales équipées de voies de bus. Les contrevenants recevront directement leur amende dans leur boite aux lettres.  

 

Décès de Claudine Tarby

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C’est avec tristesse que j’ai appris le décès de Claudine Tarby.

Membre de l’emblématique groupe Pat’Jaune, elle était une musicienne talentueuse au sourire inoubliable. Je salue sa mémoire et son engagement sans faille en faveur de l’identité musicale réunionnaise dans son immense diversité.

En mon nom personnel et au nom de l’ensemble du Conseil Régional, j’adresse nos plus sincères condoléances à sa famille, à ses proches et aux membres du groupe Pat’Jaune.

Cyrille Melchior rend hommage à Claudine Tarby

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C’est avec tristesse que j’apprends le décès de Claudine Tarby, percussionniste et chanteuse du groupe Pat’Jaune.

Je veux rendre hommage à un pilier de ce groupe, une belle voix, un talent, un sourire, une personnalité discrète qui aimait chanter, partager, et valoriser la culture réunionnaise. Au cours de sa longue carrière, elle n’a cessé de reprendre les standards de la chanson réunionnaise et de mettre en avant l’Héritage culturel des Hauts de l’île.

A sa famille, à ses proches et aux membres des Pat’Jaune, j’adresse en mon nom personnel et au nom de l’ensemble des Conseillers départementaux mes condoléances les plus sincères.

Travaux nocturnes sur la RN2 de Sainte-Marie

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Sur la RN2 à Sainte Marie et à Sainte Suzanne, pour permettre la suite des travaux pour la VRTC, la circulation sera basculée en mode bidirectionnel sur les voies de la chaussée côté montagne entre Gillot et Bel Air, de 20h à 5h la nuit du mardi 10 octobre.

De plus, les bretelles d’insertion des échangeurs compris entre Duparc et Bel Air seront également fermées à la circulation dans le sens Est/Nord.


Frédéric Miranville : « L’Université de La Réunion décapitée, à qui le tour ? »

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Suite à un appel du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR), j’ai été informé le 06 octobre dernier de la décision de me suspendre de mes fonctions pour une durée de 1 an à titre conservatoire. Le MESR a également indiqué qu’il allait saisir la section disciplinaire à mon encontre pour suspicion de harcèlement moral envers des collègues et excollègues. Il annonce également que l’inspection générale a effectué, sur la base de l’article 40 du code de procédure pénale, un signalement à Mme la procureure de la république.

La soudaineté et la violence d’une telle décision, très rare dans l’écosystème de l’enseignement supérieur et de la recherche française, sur la base de 7 signalements qui ont été produits, ne peut que me choquer et me consterner profondément. L’Université de La Réunion, la plus grande des universités ultramarines françaises, vient de faire l’objet d’une décapitation en règle.

Bien que la mesure de suspension soit prise à titre conservatoire et qu’elle ne constitue pas règlementairement une sanction, la durée d’une année choisie par le ministère ainsi que les termes de son communiqué de presse ne peuvent que me laisser comprendre que je suis déjà coupable à ses yeux et que tout l’engagement qui a été le mien et celui de mon équipe, pour faire progresser l’établissement en matière de réussite étudiante, de recherche scientifique, de rayonnement international, d’égalité et d’inclusion, de qualité de vie au travail et de transition écologique et énergétique, est insignifiant au regard des signalements opérés et de l’enquête administrative qui a été réalisée.

En 2023, l’Etat français permet de suspendre un Président d’Université, légitimement et démocratiquement élu, pour une année alors même que je n’ai eu connaissance ni des signalements opérés, ni du rapport définitif qui aurait été rendu par l’inspection générale, en violation totale de l’article 6 de la convention européenne des droits de l’homme.

Dès lors, comment ne pas considérer comme une sanction une suspension d’une telle durée et la saisine d’une section disciplinaire, alors même qu’à aucun moment une confrontation des versions n’a été réalisée dans le cadre d’une véritable procédure contradictoire avec les plaignants ?

Pour ma part, mon action a toujours été guidée par le travail, par un engagement constant au service des étudiants et des personnels de mon établissement et par l’intérêt général. En aucun cas, je ne me suis livré à des actions pour délibérément produire des situations de harcèlement moral envers qui que ce soit ! au contraire, je crois pouvoir dire que depuis que j’ai été élu à la présidence de l’Université de La Réunion, je n’ai cessé d’être mis en cause par une minorité manipulatrice et malsaine, qui veut prendre le pouvoir par la force plutôt que par les urnes. Qui harcèle qui dans cette affaire ? nous allons désormais pouvoir le découvrir, en transparence et aux yeux de tous.

D’ores et déjà, je tiens à exprimer mes plus chaleureux remerciements aux nombreuses personnes, collègues de l’établissement, Présidents d’autres universités ou encore personnalités politiques, qui m’ont transmis leur témoignage de soutien et d’affection dans ce moment très difficile que je traverse, avec ma famille, mes proches, mon équipe et le groupe qui m’accompagne.

Je pense aussi aux étudiants et aux personnels de l’Université de La Réunion, qui ont dû apprendre cette nouvelle avec stupeur et étonnement, comme bon nombre de personnes.

Je tiens à leur dire que je suis avec eux, en toutes circonstances, et que je ferai la lumière sur ce qui est à mes yeux une terrible erreur d’appréciation sur une situation qui transpire la manipulation et qui relève de la cabale politique.

L’Université de La Réunion est une grande université, un bel établissement, qui porte des valeurs de travail, d’excellence, de bienveillance et d’ouverture aux mondes. Ceux qui ont conduit à cette décapitation ne les partagent manifestement pas.

Avec une telle décision, le mode d’emploi est désormais donné pour qu’une minorité autocentrée et radicale puisse renverser, par un simple courrier, des gouvernances élues démocratiquement.

Je ne peux que penser à mes collègues présidentes et présidents d’universités, qui donnent audelà du raisonnable pour faire fonctionner leurs établissements, quelque soient les crises et les contextes, au service des étudiants, de leurs personnels et des missions universitaires. Une telle décision ne peut que les interpeler.

Je fais confiance à notre République et à notre Justice pour rétablir la vérité et j’aurai l’occasion de livrer ma version des faits et de donner une tout autre lecture de la situation prochainement.

Pr Frédéric MIRANVILLE
Président élu de l’Université de La Réunion

Filets retirés à Boucan Canot et aux Roches Noires

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En prévision de la houle, et par mesure de sécurité, la Ville de Saint-Paul a retiré les filets sur les plages de Boucan Canot et des Roches Noires ce mardi matin 10 octobre 2023. Par conséquent, la baignade et les activités nautiques sont interdites jusqu’à nouvel ordre. La flamme rouge a été hissée.

Le Pole Emploi vient à votre rencontre au Barrage

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L’objectif de la matinée est de favoriser l’échange avec la population.

Orientation, conseils et partage seront au rendez-vous de 8h00 à 12h00.

Cet événement gratuit est ouvert à tous les résidents de Saint-Paul qui souhaitent en apprendre davantage sur les opportunités d’emploi, de formation et d’insertion professionnelle.

Saint-Paul, terre apprenante et participative, encourage la jeunesse Saint-Pauloise à participer à cette matinée !

Coupe de la Réunion de football : La Ville de Saint-Paul félicite la Saint-Pauloise pour leur parcours exceptionnel

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Ce dimanche 8 octobre, les passionnés de football de Saint-Paul et de Saint-Pierre se sont rassemblés en grand nombre au stade Michel Volnay de Saint-Pierre pour assister à une finale de la Coupe de la Réunion de football qui restera gravée dans les mémoires. L’excitation était à son comble alors que la Saint-Pauloise et la Saint-Pierroise se sont affrontées dans un duel inoubliable.

Le stade Michel Volnay était le théâtre d’un spectacle électrisant, avec une ambiance palpitante qui a enveloppé les supporters des deux équipes. Les joueurs sont entrés sur le terrain sous les acclamations enthousiastes de la foule, prêts à donner le meilleur d’eux-mêmes pour décrocher le titre de champion.

Dès le coup d’envoi, le match a pris une tournure épique. Les deux équipes ont montré un niveau de jeu exceptionnel.

La Ville de Saint-Paul félicite la Saint-Pierroise pour leur victoire méritée et à la Saint-Pauloise pour leur parcours exceptionnel. Nous attendons avec impatience la prochaine saison de football et les nouvelles aventures sportives qui nous attendent.

Marché nocturne du 14 octobre 2023

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C’est sur la Place Paul Julius BÉNARD de Saint-Gilles-les-Bains qu’aura lieu le prochain marché nocturne : ce samedi 14 octobre 2023 de 16h à 22h.

De nombreux exposants seront présents afin de promouvoir leurs créations et leur savoir-faire.

Un bel évènement pour mettre en avant les acteurs économiques de la station balnéaire. Alon bat’ un karé !

Pour La Réunion de la non-violence

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Cette situation interpelle bien évidemment les Conseillers départementaux que nous sommes.

En tant que chef de file de l’action sociale, le Département s’attache à promouvoir la cohésion sociale et familiale, à prévenir les violences, notamment au sein des familles, et plus largement au sein de la société réunionnaise, en encourageant la solidarité intergénérationnelle, l’humanitude, la bienveillance envers les plus fragiles. Nous nous efforçons d’accompagner la jeunesse dans la lutte contre les addictions, le harcèlement ou l’isolement, qui sont des terreaux malheureusement fertiles de la violence.

Si la marche de notre histoire a certes été marquée par des moments de violence, nous avons malgré tout su nous rassembler, pour faire société, pour bâtir le bien-vivre ensemble réunionnais, socle d’un peuple rassemblé autour des valeurs de paix et d’harmonie.

Aussi, en ces temps troubles où la violence prend le pas de façon terriblement inquiétante, j’en appelle à la responsabilité de chacun d’entre nous. Retrouvons le sens des solidarités et de l’unité, celui du bon sens et de l’apaisement.

Faisons nôtre cette citation de Mahatma Gandhi : « la non-violence n’est pas un vêtement que l’on peut revêtir et enlever à sa guise. Elle se trouve dans le coeur et doit être une pièce inséparable de notre être ».

Dans le coeur et dans l’être de l’humanité réunionnaise, agissons pour La Réunion de la non‑violence.

STOP à la VIOLENCE

Le Département mettra en place prochainement une instance d’écoute, de dialogue et d’action au sein de ses services pour lutter contre ces phénomènes.

Pour 4 euros, un barbecue vire à l’expédition armée

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« Une scène d’épouvante« , tance le procureur. Cette phrase résume en substance la soirée du 22 septembre dernier dans une résidence de Sainte-Marie. Les résidents se retrouvent pour un barbecue, l’ambiance est festive. Un jeune homme est missionné pour aller chercher une bouteille de Whisky avec 30 euros. À son retour, les résidents le soupçonnent d’avoir gardé les 4 euros de monnaie. L’affaire prend alors des proportions inattendues et démesurées. Le jeune se plaint auprès de proches d’avoir été maltraité. La réaction ne se fait pas attendre puisqu’en mois d’une heure, deux proches débarquent avec trois amis. Venus de Saint-Denis dans deux voitures, ils arrivent dans la résidence pour avoir des explications. Ils estiment que leur communauté a été offensée par le mauvais traitement subi par leur camarade. L’expédition tourne au pugilat. 

Soudainement, les résidents se mettent à courir dans tous les sens effrayés pour rejoindre leurs appartements. En effet, trois individus brandissent une hache, un sabre et un katana. Ils poursuivent les résidents, balançant des coups dans tous les sens avec les armes pour toucher. Un homme va malheureusement subir un coup de katana à la main en voulant protéger sa tête. Il est grièvement blessé avec les tendons et les nerfs de la main sectionnés. Une ITT de 45 jours lui sera délivrée. Dans le même temps, la vendetta se poursuit dans les couloirs de la résidence à coups de hache sur les portes. Une scène de violence extrême qui se termine par les vols des sacoches et des téléphones des résidents partis se réfugier. 

Ils décrivent une situation qui a dégénéré

L’enquête permettra d’identifier les auteurs et de les placer en garde à vue début octobre puis de les déférer au tribunal le 6 octobre. Ils sont tous placés en détention provisoire pour être jugés en comparution immédiate ce lundi. Trois sont poursuivis pour des violences aggravées et deux conducteurs pour complicité.

À la barre, les versions divergent mais les faits sont globalement reconnus à l’exception d’un agresseur qui indique : « Je n’étais pas là, j’tétais chez moi« . Ils décrivent une situation qui a dégénéré et expliquent qu’ils voulaient simplement faire peur. Les deux conducteurs expliquent qu’ils ont eu peur et ont décampé quand les armes ont été sorties. Sur les cinq prévenus, seul un fait montre d’un casier judiciaire comportant deux mentions. En revanche, pas l’ombre d’une esquisse d’explication sur les 4 euros de la discorde par les prévenus. 

« Il y avait une volonté de blesser, de tuer. La victime a une ITT de 45 jours et 4 mois d’immobilisation minimum. Il est de passage à la Réunion pour voir sa famille et devait débuter une formation d’éducateur sportif« , fustige la partie civile. Pour le procureur, « c‘est une scène d’épouvante. Ils savaient ce qu’ils allaient faire. Ces faits sont d’une violence inouïe, c’est un miracle qu’il n’y ait pas eu de mort« , poursuit le parquet qui requiert des peines de 3 ans de prison pour l’auteur du coup de katana, 30 mois pour les deux autres porteurs d’armes et 20 mois de prison pour les deux conducteurs. Il requiert également leur maintien en détention. 

Les défenses des deux conducteurs demandent la relaxe

Les défenses des deux conducteurs demandent la relaxe, estimant qu’ils ne savaient pas que leurs dalons étaient montés armés dans leurs voitures. La défense de l’auteur du coup indique que celui-ci est inséré et qu’il a agi par effet de groupe, qu’il a été entrainé par les autres, que « c’est un suiveur« . Le conseil du porteur de la hache, qui est le seul à avoir un casier, estime pour sa part que ce n’est pas lui qui porte le coup.

Au final, le tribunal prononce la culpabilité des cinq prévenus. Les trois porteurs d’armes sont condamnés à 30 mois avec maintien en détention et les deux conducteurs à 24 mois de sursis à titre de peine d’avertissement. Ils ont tous interdiction de détenir une arme pendant 5 ans. 


Régime spécifique d’approvisionnement : « Il faut que l’État respecte sa parole », demandent les coopératives

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Les membres de différentes coopératives des filières agricoles et animales se sont mobilisés à quelques minutes de la signature du plan pour la souveraineté alimentaire à La Réunion avec tous les acteurs du secteur et l’État. Les organisations d’éleveurs et agriculteurs ainsi que la Chambre d’agriculture s’inquiètent d’un possible désengagement du Gouvernement en faveur du Régime spécifique d’approvisionnement avec la mise en place du nouveau programme pour l’auto-suffisance.

« On est plafonné à un certain seuil, cela fait 10 ans que l’on essaie de travailler avec l’Etat pour qu’il nous aide avec Bruxelles pour compenser le manque à gagner. Cela fait un an que l’Etat nous dit travailler et aujourd’hui on se retrouve avec un dilemme et les représentants des ministères affirment que le problème est réglé et que collectivités locales mettront main à la poche. Même si cela ne compense pas la part des prix à l’importation. Les 5 millions qui nous manquent, aujourd’hui on nous dit que ce sont les collectivités qui les ont, mais ces dernières nous disent qu’elles n’ont pas budget nécessaire pour cette somme« , déplore Henri Lebon, président de l’Urcoopa (Union Réunionnaise des Coopératives Agricoles) et de la CPPR (Coopérative des Producteurs de Porcs de la Réunion).

L’Etat et les collectivités locales se renvoient la balle, expliquent les acteurs du secteur agro-alimentaire. « Si on ne nous donne pas moyen d’aller vers l’autonomie c’est comme faire un 600 m haies avec une béquille« , lance-t-il. « Le ministre dit qu’il y a un milliard en plus pour son budget et nous, on ne demande que 5 millions. C’est vraiment malsain leur petite bagarre« , s’insurge l’éleveur.

Les agriculteurs tiennent à rappeler que le RSA (Régime de spécifique d’approvisionnement) profite à tous les Réunionnais car il s’applique aux matières premières quand elles arrivent sur l’île.  « On tient mais on sera obligé de faire répercuter ça et c’est le consommateur qui va payer« , conclut-il.

Bruno Robert, vice-président de la Chambre d’Agriculture, abonde dans le sens des coopératives : « Nous leur apportons notre soutien sans faille. On va signer tout à l’heure ce plan, les filières se sont organisées, on était sur une dynamique de conquête avec beaucoup d’initiatives mais nous avons connu malheureusement des crises. Aujourd’hui, on joue en défense, avec l’espoir de reconquérir les parts de marché« .

Appel à candidature : exploitation d’activités à vocation économique et touristique

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La gestion du Domaine Public Maritime (DPM), (Littoral de Saint-Leu, partie comprise entre la Ravine des Colimaçons et la Ravine du Cap), propriété de l’État, a été confiée à la Ville de Saint-Leu, pour une durée totale de sept (7) ans, dans le cadre d’une convention de gestion, signée le 21 septembre 2021 et son avenant de prolongation, soit un terme au 31 décembre 2028.

Dans le cadre de cette gestion, la Ville de Saint-Leu est autorisée à accorder des autorisations d’occupation temporaire pour l’exploitation des équipements dédiés aux activités à vocation économique et touristique, implantés sur le Domaine Public Maritime et dont elle est propriétaire.

Ainsi, en application des dispositions

Du Code Général de la Propriété des Personnes Publiques, et notamment son article L2122-1, qui dispose que « Nul ne peut, sans disposer d’un titre l’y habilitant, occuper une dépendance du domaine public d’une personne publique ou l’utiliser dans des limites dépassant le droit d’usage qui appartient à tous » ; • De l’ordonnance N° 2017-562 du 19 avril 2017 qui a modifié le régime d’attribution des autorisations d’occupation privative du domaine public et impose une publicité et une mise en concurrence préalable à la délivrance des autorisations ou la conclusion de contrats d’occupation et d’exploitation ;

La Ville de Saint-Leu lance, un appel à candidature en vue de désigner les attributaires des Conventions d’Occupation Temporaire de deux points dédiés à l’activité de restauration de type restaurant de plage.

Présentation des lots
Lot n°1
parcelle cadastrale : AV1055

Adresse : 66 Rue du Lagon, 97436 Saint-Leu

Désignation commerciale actuelle : rondavelle fermée

Activité possible : restauration de type restaurant de plage

Lot n°2
parcelle cadastrale : AV0579

Adresse : 6 rue de la Compagnie des Indes, 97436 Saint-Leu

Désignation commerciale actuelle : rondavelle fermée

Activité possible : restauration de type restaurant de plage

Les conditions d’autorisation, d’occupation et d’exploitation des lots sont précisées dans les pièces du présent dossier.
Les plans des sites et leurs périmètres sont présentés en annexes.

Télécharger le dossier de candidature : https://www.saintleu.re/pdf/aot/aot-rondavelles.pdf

Risques et nuisances à La Réunion : Une exposition comparable quel que soit le niveau de vie

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Le communiqué de l’Insee :

Les bruits routiers gênent 16 % des Réunionnaises et Réunionnais, notamment dans les Bas de l’île, à une altitude de moins de 150 mètres. L’eau potable est fréquemment de mauvaise qualité pour 5 % de la population et jusqu’à la moitié lors des épisodes de fortes pluies. Les risques d’inondation concernent 11 % des habitants. Les mouvements de terrain menacent 7 % de la population, surtout dans les Hauts de l’île. Les habitants sont plus fréquemment exposés simultanément à plusieurs de ces risques ou nuisances dans la partie est de l’île. Les populations pauvres ne résident pas davantage que les populations plus aisées dans les zones d’exposition à ces risques et nuisances.

Cette étude a été réalisée dans le cadre d’un partenariat entre l’Insee et la Direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Deal) de La Réunion.

Pour en savoir plus
• Robin M., Coudrin C., « À La Réunion, une même exposition aux risques et nuisances, quel que soit le niveau de
vie », Insee Analyses La Réunion n° 84, octobre 2023.
• Deal, Données environnementales mises à disposition sur Carmen sous forme de cartes.

Tribune de Perceval Gaillard sur le conflit israélo-palestinien

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Tribune de Perceval Gaillard

« L’attaque terroriste menée par le Hamas depuis la bande de Gaza contre la population civile israélienne a horrifié le monde et suscité une vague de condamnations légitimes. En France l’ensemble des forces politiques l’ont condamnée, y compris la France insoumise. »

Pourtant une offensive médiatique et politique de grande ampleur visant uniquement la France insoumise a lieu ces derniers jours, instrumentalisant ainsi les victimes de ce conflit à des fins de politique politicienne intérieure. Abjects procédés qui déshonorent celles et ceux qui s’y prêtent.

Ainsi la Première ministre n’hésite pas à nous qualifier « d’antisémites » publiquement, un député de la minorité présidentielle réclame la levée de l’immunité parlementaire de tous les députés LFI et un sénateur LR réclame même la dissolution de la France insoumise pour, je cite, « apologie du terrorisme »…

Que diable avons-nous dit ou fait pour mériter un tel traitement ? Nous sommes-nous réjouis de l’attaque et de ses conséquences ?Sommes-nous des alliés du Hamas ? Partageons-nous ses objectifs et son idéologie ? Non, bien évidemment rien de tout cela.

Nous avons simplement rappelé le contexte de cette attaque et ses causes :

– la politique de colonisation illégale menée par le gouvernement d’extrême-droite israélien en Cisjordanie qui jette de l’huile sur le feu en permanence et a considérablement affaibli la défense du territoire national israélien pour satisfaire les colons extrémistes religieux.

– le soutien apporté au Hamas par la droite israélienne en général et Netanyahu en particulier depuis des années pour affaiblir l’Autorité Palestinienne et diviser les Palestiniens.

Dire cela est-il antisémite ? Si oui alors la presse israélienne est antisémite, elle qui étrille Netanyahu et son gouvernement sur la politique de colonisation menée en Cisjordanie et ses liens avec le Hamas.
https://fr.timesofisrael.com/pendant-des-annees-netanyahu-a-soutenu-le-hamas-aujourdhui-on-en-paie-le-prix/amp/

https://www.haaretz.com/opinion/editorial/2023-10-08/ty-article-opinion/netanyahu-bears-responsibility/0000018b-0b9d-d8fc-adff-6bfd1c880000?fbclid=IwAR28Yq6-nuNjQgOPaUAPIsYlMYhfnyIZvEdTDq3GKPPIXa77O-UXhjqrG-Q

Si critiquer la politique du gouvernement israélien revient à être antisémite alors c’est une bonne partie de la gauche israélienne qui l’est aussi, à commencer par le Parti Communiste Israélien qui dit exactement la même chose que nous…

Que s’est-il donc passé en France pour qu’il ne soit plus possible de dire chez nous ce qu’il est encore possible de dire là-bas ? Que s’est-il passé en France pour que les partis traditionnels de gauche rompent avec la position historique de notre camp, celle de nos camarades israéliens en premier lieu, pour s’aligner sur la position de la droite israélienne ?
Que s’est-il passé en France pour que l’on passe en 20 ans d’une politique d’équilibre (entre le droit à la sécurité d’Israël et le droit du peuple palestinien à disposer d’un état souverain) à l’alignement total de notre diplomatie sur celle de l’extrême-droite israélienne ?

La paix au Proche-Orient mérite mieux que cette récupération politicienne abjecte à laquelle se livre la caste politico-médiatique instrumentalisant ainsi la lutte contre l’antisémitisme pour des raisons de politique intérieure. L’antisémitisme est la matrice de tous les racismes. Nous le combattons depuis toujours et n’avons de leçons à recevoir de personne sur ce sujet. Le triangle rouge que nous sommes nombreux à porter sur nos vestes rappelle à toutes et tous le combat mené par nos grands-parents et arrières-grands parents qui ont fini dans les camps nazis à côté des juifs qui portaient l’étoile jaune.

Comment appeler des gens qui renversent la réalité, insultent l’histoire et s’attaquent aux héritiers des antifascistes tout en laissant tranquille un parti fondé par des Waffen SS ?

« L’histoire se répète toujours deux fois, la première fois comme une tragédie, la seconde fois comme une farce » disait Karl Marx en son temps. Si assurément la tragédie est en cours au Proche-Orient, la farce, grotesque et pathétique, a clairement lieu dans notre pays.« 

Accident au Moufia : Un motard décède suite à une collision

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Un motard a été mortellement blessé suite à un accident qui s'est produit au Moufia à hauteur du Rectorat. Selon les témoins, le motocycliste aurait été engagé sur la voie de bus en sens inverse et aurait percuté une voiture qui entrait dans le parking de l'Académie de La Réunion. L'homme, jeté à terre, a été d'abord pris en charge par les passants qui lui ont prodigué un massage cardiaque. Malgré les efforts des témoins et des secours, la victime n'a pas survécu.
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